Périphrase De Décoration

est un spectacle qui a une comme base un texte, script ou un argument littéraire écrit. Cet écrit a besoin d´une mise en scène et d´une représentation par les personnages. Avec d´autres éléments comme les costumes, la musique, la scénographie, la décoration et l´illumination, l´œuvre peut être appelé piéce théâtrale. Il y a divers types de théâtre, et il y a uns dont l´utilisation de la parole est plus évidente qu´autres. Dans cette dissertation on montrera dans une première partie, l´utilisation de

de perception visuelle « voir ». Les objets du deuil : « une cravate noire et un brassard » : connotations de la couleur « noire » et le « brassard ». Le désir du directeur de se distinguer sur le plan social et moral : « la légion d’honneur » : décoration, insigne, elle récompense les mérites éminents militaires ou civils rendus à la Nation. En tenue civile, les chevaliers portent à la boutonnière un ruban rouge, les officiers une rosette rouge, les commandeurs une rosette rouge sur demi-nœud en

maréchal de France, qui acheva cette « ceinture de fer » (environ 180 forteresses et citadelles) vers 1685. Les « meubles d'or et d'argent » (ligne 26), « les étoffes ornées de broderies et de pierres précieuses », sont autant de références à la décoration (et notamment au célèbre décorateur de la Galerie des Glaces, Charles Le Brun), qui fut à cette époque un instrument de propagande, de glorification du roi Soleil. Faut-il songer au sacre de 1654 au cours duquel le roi fut revêtu de la dalmatique

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des périphrases et des métaphores, pointes . Exagérations : Les précieux vont souvent dans leur expression au-delà de la pensée logique . Ils poussent à l'extrême les comparaisons galantes, ils multiplient les adverbes ( furieusement, terriblement, épouvantablement ...) . Ils feignent de donner une importance disproportionnée à de petites choses et badinent à propos des grandes . Périphrases et métaphores : Les précieux répugnent à désigner un objet par son nom et recourent à des périphrases . On

presque tous bergers ou laboureurs » (lignes 19 et 20). Cette observation est reprise d'une manière redondante aux lignes 22 et 23 : « encore même la plupart des hommes en ce pays, étant adonnés à l'agriculture ou à conduire des troupeaux (...) ». La périphrase se rapproche de la lapalissade. L'auteur insiste, même au prix de certaines lourdeurs de style. Le lecteur a bien compris qu'il s'agissait d'un peuple laborieux de bergers et de laboureurs. Voilà ce qui peut nous rappeler les propos fameux prêtés

L’interrogation oratoire «A-t-il seulement exprimé des regrets?» (p.154), l’adresse « messieurs », les hyperboles et les superlatifs «remords éternels», «abominable forfait », «atroce», «aveuglante clarté», « jamais autant qu’aujourd’hui», les périphrases fortement théâtralisées «porter la main» au lieu de «tuer», «le corps de celle qui lui a donné le jour» (chapitre III) au lieu du «corps de sa mère» et par ailleurs de nombreuses formes de répétitions et d’insistance : «jamais», «pas une

concordance des temps . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... Les périphrases verbales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .......

XIII, qui fonda l'Académie française en 1634. 127. Qui a écrit : être ou ne pas être... voilà la question ? 128. La principale œuvre de Daniel Defoe fut publiée en 1719. Quelle est-elle ? Quelle ville est désignée par chacune des périphrases suivantes : 129. La capitale américaine ? 130. Le ville éternelle ? 131. La ville lumière ? 132. Quelle était la nationalité de l'écrivain John Steinbeck, prix Nobel de littérature en 1962 ? 133. Dans quelle

"ravive"(V.1), "massifs"(V.2), "impassible"(V.4), "miteux"(V.6), "vaporise"(V.7), donnent vie à une bataille entre la bougie et les papillons attirés par la lumière de celle-ci. D'autre part, on remarque une description métaphorique de la bougie avec la périphrase métaphorique "feuilles d'or"(V.4) qui désigne la flamme de la bougie,mais aussi avec l'évocation de couleurs antithétiques blanc avec "clarté"(V.10), "lueur"(V.2) et le noir "la nuit"(V.1), "trés noir"(V.5). Ensuite, dans le poème "La cigarette"