Périphrase De Décoration

encore « la tyrannie de ses parents » ligne 35. Les parents ne sont certes pas présents dans l'extrait mais ils sont symbolisés par un personnage évoqué en début et en fin d'extrait: le conducteur. Celui-ci incarne l'autorité, il est désigné par la périphrase « un homme d'un âge avancé » et morale comme un gardien implacable avec l'expression « son vieil Argus ». En outre des éléments encore plus menaçants viennent compromettre cette passion, en effet dans le texte est présente la notion de fatalité

inaliénables et sacrées de la F » = énumération d’adjectifs -> same as H + gagner le droit d’être les égale à l’H (« sacrées » = arg création divine donc irréfutables· « afin que » = anaphore + rythme ternaire -> différents buts de la DDFC -> périphrase « membres du corps social » = rappel droit + devoirs des F· « actes du pouvoir des F et ceux du pouvoir des H » = parallélisme -> portée universelle · voc mélioratif = énonciation des principes de la DDFC -> F = sujets aux problèmes sociétaux

mots parader, gandins, … et le champ lexical sur les objet que porte les bourgeois breloques à chiffre, lorgnons, cannes à pomme, boutons clairs, l'onnaing. Le forgeron Airain : Alliage à la base de cuivre et de bronze. Lambris : Élément de décoration. Gibet : Potence pour les condamnés à la pondaison. Fouaillaient : Frapper à grand cou de fouet. Maraud : Coquin, drôle. Dans les premiers vers du poème, Rimbaud marque des assonances en i avec gigantesque, ivresse, riant, louis, qui donne

l’information est ensuite organisée à partir d’aspects et des sous-aspects. Voyons ces notions avec des exemples :· Les aspects. Un texte descriptif qui a pour SUJET décrire une maison comprendra plusieurs aspects qui peuvent être : les pièces, la décoration extérieure, les meubles, etc. · Les sous-aspects. Chacun des aspects du texte descriptif pourra ensuite être divisé en sous-aspects, à savoir des contenus en relations avec les aspects qui serviront à les développer. Par exemple, les sous-aspects

hyperbolique des enfants «tous ces enfants » mis en opposition par l’antithèse « dont pas un seul ne rit ». Par ailleurs, le poète insiste sur ce qui fait le charme de l’enfant, le sourire, accompagné du déterminant démonstratif «ces » dans la périphrase « ces doux êtres pensifs », et « ces filles de huit ans », et invite le lecteur à les observer et à être témoin de leur détresse. De plus, les enfants sont désignés par trois propositions subordonnées relatives : […] insistant sur leur fragilité

entre la salle et les coulisses. Puis, en montant quelques marches humides, le poète de province aborda la coulisse, où l'attendait le spectacle le plus étrange. L'étroitesse des portants2, la hauteur du théâtre, les échelles à quinquets3, les décorations si horribles vues de près, les acteurs plâtrés4, leurs costumes si bizarres et faits d'étoffes si grossières, les garçons à vestes huileuses, les cordes qui pendent, le régisseur qui se promène son chapeau sur la tête, les comparses5 assises, les

de la même manière => barbarie des vieillard criblés de coup tué de manière a les faire souffrir, meurtre sauvage, des femme a demi brulé => encore vivante, souffrant sous la torture, d’autre violé « besoin naturel » désigné de normal , une périphrase comme normaux tout est vue dans le regard de candide, focalisation interne. B. Critique de l’armée, de la doctrine de l’optimiste inconditionnel et comportement de candide. 1. Critique de l’armée. Critique lié a celle de la guerre, héros

le petit homme noir qui donne une leçon à l’Ingénu. « On lui a fait croire que, dès qu’il aurait dit un mot, tous les hommes penseraient comme lui ; et qu’il nous ferait changer de religion comme son musicien Lulli fait changer en un moment les décorations de ses opéras. » Ce n’est pas Louis XIV qui est critiqué ici, mais le système : la monarchie absolue. « Non seulement il perd déjà cinq à six cent mille sujets très utiles, mais il s’en fait des ennemis » : c'est une démonstration de l'idéologie

qu’il convenait sans doute de lire dans les yeux des pauvres : une plainte, un reproche, peut-être même une accusation portée contre le café et ce qu’il représente. De fait, la décoration du café se prête elle-même à une double lecture6. Derrière ce qui est explicitement dénoncé par le narrateur – le luxe de la décoration et la célébration de la « goinfrerie » –, c’est un lieu de débauche que fait apparaître la description, en particulier à travers la forme suggestive de ce qu’on y sert : la « petite

“Combray”. Problématique : Quelle est la fonction de la description du salon des Verdurin ? I - Le portrait d’une société 1. Un salon bourgeois - Le salon est composé d’un « jeune pianiste », du docteur Cottard, d’une « personne du demi-monde », périphrase euphémistique désignant ce que le narrateur appelle plus tard une « cocotte », la femme du docteur, la tante du pianiste. Les personnages les plus importants sont cependant les Verdurin, et surtout Mme Verdurin elle-même, ainsi que le montre la