Père Goriot Focalisation

répétitif et monotone. On commence à être figé, on ne s’interroge plus sur notre personne ce qui nous conduit à une incapacité de raisonnement ainsi qu’à un état passif. L’état de passivité est bien ressentie dans le livre «  Le Père Goriot », d’Honoré de Balzac. Le Père Goriot est renfermé sur lui-même et assurément naïf envers le comportement de ses filles. Son inaptitude à déduire les sentiments immoraux et malhonnêtes de ses filles le mènera à sa propre mort. Bien qu’il eût pu comprendre et prendre

particulier. Dans la nouvelle Toine tirée de Toine et autres contes normands, les personnages autres que Toine et sa femme que fait évoluer Maupassant n'ont pas un intérêt primordial, alors qu'en revanche dans Le Père Goriot de Balzac, se mêlent les destins de Rastignac, Trompe-la-mort, le Père Goriot, Delphine et d'autres encore. Ainsi donc, la longueur du roman n'est pas la seule caractéristique l'opposant à la nouvelle, mais également tous les procédés d'écriture, tel que le temps de la narration

« Le Père Goriot », Balzac 1) Le Paris dans « Le Père Goriot » Centre des affaires, foyer de la vie politique et sociale, Paris constituait un champ d'observation privilégié pour un romancier toujours plus soucieux de montrer et d’expliquer les rouages de la société de son temps. Un seul quartier est décrit assez longuement au début du livre : celui de la rue Neuve-Sainte- Geneviève (aujourd'hui rue Tournefort) où se situe la pension Vauquer. Mais c’est un quartier désert, morne et misérable

par rapport à lui et d’interagir, grâce à leurs sentiments et leurs pensées (grâce à la focalisation interne notamment), le lecteur va-t-il se faire une idée de la « vision du monde » élaborée par le roman. Le personnage joue ainsi le rôle d’un filtre, d’une focale (comme on dit en photographie), qui permet au lecteur d’ajuster sa vision. Seul le roman par son ampleur, ses descriptions, et son jeu de focalisations variables (interne, externe, omnisciente) permet d’atteindre cette dimension de vision

par rapport à lui et d'interagir, grâce à leurs sentiments et leurs pensées (grâce à la focalisation interne notamment), le lecteur va-t-il se faire une idée de la« vision du monde» élaborée par le roman. Le personnage joue ainsi le rôle d'un filtre, d'une focale (comme on dit en photographie), qui permet au lecteur d'ajuster sa vision. Seul le roman par son ampleur, ses descriptions, et son jeu de focalisations variables (interne, externe, omnisciente) permet d'atteindre cette dimension de vision

Le personnage de roman Objet d'étude : Le roman et ses personnages. Corpus : Gustave Flaubert : Madame Bovary (1857) Stendhal : Le Rouge et le Noir (1830) Honoré de Balzac : Le Père Goriot (1835) Victor Hugo : Quatrevingt-treize (1874) Emile Zola : L'Assommoir (1877) Guy de Maupassant : Bel-Ami (1885). e terme de personnage désigne chacune des personnes fictives d'une œuvre littéraire. Le roman

Mlle de Verneuil ainsi que la lenteur et la dureté de l’escalade sur ce sentier où elle se tord les chevilles Focalisation Dans cet extrait, le narrateur à un point de vue interne. Le lecteur a l’impression de percevoir et de juger les choses et les êtres à travers le regard de Mlle Verneuil. On voit une verbes de perception : savoir (l.11). Tout le roman est écrit avec une focalisation zéro, le lecteur apprend tout des pensées et de la destinée de chacun des personnages. Figures de style Il compare

FICHE DE LECTURE « Le colonel Chabert » De Balzac Publié en 1844 Sommaire * Informations générales * Caractéristiques générales de l’œuvre * Etude détaillé * Résumé * Déroulement * Chronologie * Point de vue * Focalisation * Personnages * Informations générales : Honoré de Balzac est un écrivain Français né à Tours le 20 mai 1799 et mort à Paris le 18 août 1850. Honoré de Balzac a était tour à tour critique littéraire, critique d’art, essayiste, dramaturge

mémoires, historiographie Conditions pour ce type de roman: dynamisme de l’action, ton familier, littérature de faits, de sentiments, de passions Initiateur: Walter Scott Romancier: conteur, historien, critique Exemples: Dumas père “Le Comte de Monte Christo”, Hugo “Les Misérables”, Balzac “La cousine Bette” Seconde moitié du siècle Réalisme: volonté de rupture avec le romantisme • reproduction fidèle de la réalité • desir d’objectivité • documentation

la focalisation zéro (narrateur omniscient) à la focalisation interne. Duroy marche, décidé (fier), part à la conquête de la capital, il a un rythme dynamique (bien montré par les participe présent), il est plein d'assurance, de mépris pour autrui. Les verbes de mouvement (« heurtant.....poussant ») nous font penser à une mise en scène, on dirait que le héros vu par le narrateur agit comme si Paris lui appartenait, ça pourrait nous faire penser à Eugène de Rastignac dans Le Père Goriot