Putain De Silence

consomme pour oublier mon existence troublée Intoxiquée, je n'arrive plus à fonctionnerInfectée, mon visage est ravagéEmpoisonnée, mon corps est brisé Contaminée, mon cœur est essouffléJ'ai l'impression que seule la mort m'empêchera de consommerLe silence est mon chemin vers la délivranceL’instabilité émotionnel La souffranceEnlisé dans la souffrance, j'avance dans le mauvais sens,Je crains la peur, dans son innocenceJe dérape, j'échappe ma conscienceJ'ai peine à respirer, j'oublie d'existerÉcorchée

la joue, laissant une marque rouge bien distincte. « Explique-moi pourquoi tu n’as que douze de moyenne Augusteen ! » Sa voix était le seul son qui osait briser le silence effrayant qui régnait habituellement dans le petit appartement de Sidney qu’habitait monsieur Burleight avec ses filles. « Depuis que ta mère est morte dans ce putain d’accident de voiture, plus rien ne va, et toi tu n’es même pas capable d’avoir des bonnes notes ! » cria-t-il. Sa main rencontra à nouveau la joue de la fillette

règner entre nous. Comme elle parle de rentrer chez elle, j’offre de la reconduire. Elle donne au chauffeur l’adresse du Théâtre des Arts qui, me dit-elle, se trouve à quelques pas de la maison qu’elle habite. En chemin, elleme dévisage longuement, en silence. Puis ses yeux se ferment et s’ouvrent très vite […] (p. 88-90) C’est dans le taxi, que, sans doute touchée par l’attention qui consiste à vouloir la reconduire, elle prend le parti de se « jeter à l’eau » — voir : un peu plus loin, l’évocation de

Rambouillet ou… – Arrêtez votre délire ! la coupa-t-il. Et puis, vous êtes qui, au juste ? – Une fille avec un flingue, donc c’est moi qui pose les questions. Il la défia du regard, mais comprit qu’il n’avait pas la situation en main. Il laissa le silence s’installer. – Je m’appelle Alice Schäfer, je suis capitaine de police à la brigade criminelle de Paris. J’ai passé la soirée avec des amies sur les Champs-Élysées. J’ignore où nous sommes et comment nous nous sommes retrouvés ici, enchaînés l’un

Langage, expression * Le vocabulaire est simple et familier (tutoiement). Les constructions syntaxiques sont elles-aussi rudimentaires et même confuses (phrases pas terminées, répliques qui ne se répondent pas directement,…). Il y a beaucoup de silences et d’hésitations. * Les didascalies sont très présentes car elles ont un rôle aussi important si ce n’est plus que le langage. On utilise le décor (≠ comédies, tragédies où le décor n’est qu’un décor justement) En effet, ce sont elles qui

Rambouillet ou… – Arrêtez votre délire ! la coupa-t-il. Et puis, vous êtes qui, au juste ? – Une fille avec un flingue, donc c’est moi qui pose les questions. Il la défia du regard, mais comprit qu’il n’avait pas la situation en main. Il laissa le silence s’installer. – Je m’appelle Alice Schäfer, je suis capitaine de police à la brigade criminelle de Paris. J’ai passé la soirée avec des amies sur les Champs-Élysées. J’ignore où nous sommes et comment nous nous sommes retrouvés ici, enchaînés l’un

n’imaginais pas que ça ait été si loin pour lui et que ça irait si loin pour moi. J’aurais pensé à tout, et j’y ai pensé des jours entiers, une affaire de cœur, une affaire d’argent, une affaire d’État, une maladie incurable, ce qu’il y a de pire dans cette putain de vie, mais pas ça. Ah, non, mon Dieu, pas ça ! Je ne crois pas qu’une seule personne au monde ait jamais connu pareil drame. Après l’enterrement, Ophélie s’est tirée au Canada, chez sa cousine Cathy qui était mariée là-bas avec un trappeur plein

m'énerver ! Alors j'ai arrêté de parlé. Ils sont partis et m'ont laissé dans cet endroit. Je pris le temps de regarder tout autour de moi, de scruter chaque détails. Mes idées, petit à petit, redevenaient plus claires. Désormais, c'était un silence assourdissant qui régnait dans la pièce, et tout était étrange, jusqu'à l'air que je respirais. Un peu plus tard, juste par curiosité j'ai voulu voir se qu'il y avait derrière la porte, donc je me suis levé et je l'ai ouverte. Elle donnait sur un

Amour, Paix, Haine, Solitude Scène 8 (Le récit de Salina) Beaucoup de femme entourait Salina cette journée là. Elles n’entendaient d’elle aucune opinion. Elles lui expliquaient tout. Elles lui donnaient la robe, Salina l’acceptait dans le silence. Les bijoux étaient innombrables. Salina imaginait, en souriant, que tous les hommes devraient quitter le banquet. Que Saro mourrait durant le combat. Elle serait veuve et vierge. Mais malheureusement se ne fut pas le cas. Les barbares fut repoussés

à tendances, tantôt bafouilleux vers la gauche, tantôt sur la droite, au fond de leur putaine âme tous farouchement conservateurs, doseurs de fines arguties ; tout farcis d'arrière-pensées. Ça suffit la vue du réglisse ! Ils iront où l'on voudra, à l'odeur de la vache prébende, à la perspective du tréteau... C'est pas eux qui peuvent la racheter l'imbécillité titanesque, la crasse chromée du cheptel !... Putains de race ils découlent... A l'égout donc aussi l'engeance !...Qu'on nous en parle plus