Public school

entre la Banking School et la Currency School. B. La controverse entre la banking school et la currency school (la controverse bullioniste) 1820 en GB : Conflit entre la Banking School et la Currency School (David Ricardo). Selon la Currency School, l’émission de billets par la banque d’Angleterre doit être strictement réglementé et correspondre à l’or que la banque détient en réserve. La monnaie, c’est l’or. Les billets sont un moyen de circulation. La Banking School (Thomas Tooke) soutient

toute augmentation de la masse monétaire, les prix augmentent car la vitesse de circulation est constante et le volume des transaction est tjr a son maximum a cause du plein emploi des facteurs de production Ricardo reprend cette théorie: Currency School: d’accord avec Say: ce qui compte c’est les prix relatifs: la quantité de monnaie crée dépend de la quantité de métaux précieux trouvés. Si les banques s’obstinent à faire plus de monnaie que de dépôts de métaux: inflation. Cependant cette inflation

seront multipliés par deux. Adam SmithLa monnaie n'est qu'un simple bon d'achat qui fluidifie les échanges, fluidité qui ne dépend pas de la quantité de monnaie. La controverse monétaire autour du Bullion ReportOpposition entre la Banking School et la Currency School à propos des raisons de l'inflation en Angleterre pendant les French Wars. Ricardo et Thorton (CS) défendent une conception de la monnaie exogène où l'inflation viendrait d'un excès de création monétaire du à l'abandon de la contrainte

de la petite Stefanie est très prometteur. À 4 ans elle se voit offrir son premier piano. Elle commence d'abord par tapoter dessus pour s'amuser, puis se met à jouer réellement, rien qu'à l'oreille. Á onze ans, elle tente de rentrer à la Juilliard School, mais finit par se rendre au Couvent du Sacré cœur, une école privée et catholique qui a notamment été fréquentée par Paris Hilton. Là-bas, le processus de création de Stefanie est bloqué : elle doit être comme tout le monde. Elle doit se fondre dans

siècle) en assistant aux cours de William Austin. De retour à New York, après sa thèse de philosophie, il étudie la composition avec le jazzman Hall Overton, puis il se lance dans un nouveau cursus universitaire, musical celui-là : études à la Juilliard School de New York de 1958 à 1961 (où il rencontre Philip Glass) ; études au Mills College de San Francisco (où enseigne Morton Subotnick) à partir de 1961. Si Steve Reich étudie le dodécaphonisme, ultra-dominant à l'époque, chez lui il écoute John Coltrane

par M. Aglietta et A.Orléan. Dans La monnaie souveraine, 1998. -A la base d’une hiérarchie sociale dès la Rome antique on voit ça avec le recensement censitaire (jusqu’en 1848 en France). -Monnaie = bien privée émise par les banques + biens publics rendant services collectifs. Elle nécessite d’être régulée par les autorités publiques= rôle de la banque centrale. Qui est gardienne de la stabilité monétaire. -Source d’externalité positive car sa valeur est d’autant plus grande qu’elle est utilisée

inférieure à la valeur du billet en tant que monnaie. L’émission de billets a opposé au 19ème siècle deux écoles : la « currency school » et la «banking school»: • la « currency school » conçoit les billets de banque comme un substitut au métal précieux: la banque centrale ne peut émettre de billets sans posséder leur contrepartie en or; • la «banking school» accepte que le billet soit émis sans une stricte contrepartie en or. La Grande-Bretagne adhère au 19ème siècle au currency principle

papier-monnaie inconvertibleInflation. Selon la Currency school monnaie neutre et doit rester stable donc faut limiter son émission. -Ricardo « expérience montre que toutes les fois qu’un gouvernement ou une banque a eu la faculté d’émettre du papier-monnaie, il en a toujours abusé » : Banqueroute de John Law en 1720 ou expérience des assignats révolutionnaires en 1796 donnent des argument aux quantitativistes => Victoire de la Currency School. B- Les principes de l’étalon-or 1. La fixité des txc

sur la confiance et la crédibilité des banques. Cependant, le grand public en France s’est longtemps méfié de la monnaie de papier (peut-être à cause de l’histoire des assignats). Il suffisait de se présenter à l'un des guichets de la Banque de France pour obtenir le change du billet en monnaie d'or ou d'argent. Deux écoles se sont affrontées au début du 19ème siècle en Grande-Bretagne : -les partisans de la "Currency school" comme Ricardo, pensent que l'émission de billets de banque doit être

maximal de billets émis. Deuxième méthode : fixer un pourcentage minimal de couverture des billets (35% : encaisse métallique doit représenter 35% des billets émis) * * Le billet inconvertible en or : papier monnaie : * Banking school VS currency school (Ricardo) : à quelle hauteur doit-on couvrir les billets par l’encaisse ? * Currency : sévère, couverture forte des billets émis par l’encaisse métallique * Banking : grande permissivité car pour permettre de trouver de l’argent