Psychanalyse Et Maupassant

maudits. Il fait naître l’image du poète maudit, qui, après des pulsions autodestructrices, sombre dans la démence puis finit par mourir sans avoir été reconnu à sa juste valeur. Les poètes maudits pourraient, par exemple être Baudelaire, Poe, Guy de Maupassant et Gérard de Nerval. Ce dernier, auteur du XIXe siècle, après de nombreuses souffrances, et crises de folie qui lui ont valu l’internement, est retrouvé pendu, tel le « poète maudit ». Nous avons donc décidé d’analyser un exemple qui démontre la

sur l’évolution des espèces et sur la sélection naturelle, les lois sur l’hérédité ont amené Zola à définir le projet de son cycle romanesque. -Approche esthétique : Le personnage obéit à des considérations esthétiques.  C’est ce qu’explique Maupassant dans la Préface à Pierre et Jean, essai permettant à l’auteur de prendre des distances avec une interprétation trop restrictive des théories naturalistes : le romancier, avant tout, est un artiste qui choisit, trie, compose des personnages en vue

Découvertes scientif Continuité des réalistes Lois de l’hérédité et du milieu de l’individu Suggérer un univers supérieur. ≠ réalisme + idéologie de la science et du progrès Chercher à créer un langage poétique  puissance du rêve/désir Psychanalyse Objectifs ≠ idéalisation objectivité contre mécanismes qui conduisent l’H  réussite/échec « l’art pour l’art » Beauté esthétique ≠ lyrisme des romantiques  veulent être obj Transm héréditaire ‘fatalité biologique’ Contexte familial

fléau qui touche notre société depuis les premières pages de l’Histoire de l’humanité. On la définit même comme un problème social majeur qui s’étend dans la vie de tous les individus à un moment ou à un autre de son existence. À cet effet, Guy de Maupassant, un écrivain du XIXe siècle, propose une citation sur la solitude tout à fait appropriée pour ce sujet : « Notre grand tourment dans l’existence vient de ce que nous sommes éternellement seuls, et tous nos efforts, tous nos actes ne tendent qu’à

du surréalisme Un appel au rêve : pour les surréalistes, la forme d’activité onirique est essentielle, le songe, selon eux, pourrait être la solution aux grandes questions de la vie. Exploration de l’inconscient : relations profondes avec la psychanalyse. Breton définit une méthode d’écriture dans le premier Manifeste du Surréalisme qui repose sur les théories freudiennes : c’est l’écriture automatique. Poétique du surréalisme : L’humour, forme efficace de subversion, est l’un des principes premiers

détriment du fond, la beauté esthétique du poème. Le réalisme dans le roman et la nouvelle au XIXème siècle : Au XIXème siècle, le réalisme est une réaction au romantisme. Il privilégie le genre du roman. Les auteurs concernés sont Flaubert et Maupassant. On s’intéresse au petit peuple, on le dépeint. On créer une esthétique qui cherche à donner un effet de réel : les dialogues, le discours direct, indirect, indirect libre, le sociolecte, la focalisation interne. Le naturalisme dans le roman

souffrance, de la folie, de l'échec. En ce sens, elle marque une rupture profonde avec l'optimisme du siècle des Lumières. Cet aspect trouvera un écho au XXe siècle chez les surréalistes. La sexualité Le Cauchemar, Johann Heinrich Füssli. La psychanalyse interprète volontiers le genre fantastique comme l'expression de désirs sexuels inavouables. Il est relativement facile en effet d'associer à chacun des thèmes du fantastique une forme de sexualité anormale : ainsi, la sorcellerie équivaut à la

fantasme de pouvoir et de contrôle de la science, mais également contre l’idéologie même du Progrès en revendiquant le retour du rêve, du mystère, de l’imagination et même… de l’incertitude! Aussi, des écrivains tels que Honoré de Balzac, Guy de Maupassant, Théophile Gauthier, Edgar Allan Poe et E.T.A Hoffman prêteront leur voix à tous ceux qui, comme eux, sont désenchantés par cette époque contradictoire. Ensemble, ils créeront le fantastique qui, mieux que tout autre genre littéraire, exprimera

Musset (Lorenzaccio, |1830) ; Flaubert (Madame Bovary, |1865) |Complaintes,1885) | | |1834), Chateaubriand(Mémoi- |1857) ;Maupassant (Une vie,1883) | | | | |-res d’Outre-tombe, 1848) | |

 Corot (La cathédrale de Mantes, 1865). Les peintres n’hésitent plus à représenter les nus et à utiliser des teintes franches. Le Naturalisme tente d’appliquer à la littérature une rigueur descriptive comme dans les sciences expérimentales (Zola, Maupassant). L’Impressionnisme : A partir de 1870 influencés par les progrès de la photographie les artistes veulent dépasser la simple imitation de la réalité et veulent faire ressentir les émotions qui s’en dégagent, en s’attachant à faire ressortir