Psychanalyse Et Litterature Fantastique

légende —, à l'origine, le conte populaire d'un futur marié invitant par défi un mort à ses noces. À l'origine, donc, cette transgression sur laquelle devront par la suite se fermer toutes les histoires du séducteur et qui « l'enveloppe de son aura fantastique et troublante » (Jean Rousset) : le souper avec un défunt, leurs mains réunies et l'engloutissement du vivant avec celui auquel il n'aurait jamais dû parler. Dom Juan a bien, néanmoins, un acte de naissance : El Burlador de Sevilla y convidado de

3 FICHE 4 FICHE 5 Le narrateur ◗ Exercices d’application : L.-F. Céline ; A. Rahimi ; Homère ; B. Cendrars ; L. Aragon Le personnage ◗ Exercices d’application : U. Eco ; R. Bradbury ; R. Radiguet ; Vercors ; A. Dumas Les registres épique et fantastique ◗ Exercices d’application : J. Conrad ; T. Gautier ; Z. Oldenbourg ; E. A. Poe Chapitre 7 L’analyse de l’image L’image fixe ◗ Exercices d’application : V. Kandinsky ; E. Steichen ; G. Caillebotte ; J.-A. Watteau ; caricature du Charivari

écrit : Je vous remercie d'avoir bien voulu m'adresser votre enquête concernant Gide. Je ne considère pas comme une chose honnête qu'un littérateur ait toujours prêt sous la main un éditorial bien au point sur tous les sujets et distille de la littérature, même quand en vérité il n'a rien à dire. Permettez-moi donc de vous déclarer :Je n'ai jamais lu jusqu'au bout un livre d'André Gide. Il n'a joué aucun rôle dans ma vie. Je ne saurais dire quoi que ce soit sur lui.Cela n'implique aucune espèce de

Erreur ! Signet non défini. Définir la littérature comparée ...................................... Erreur ! Signet non défini. La littérature générale............................................................................................. 36 Naissance et développement de la littérature comparée.................................. 40 Le rôle de la littérature comparée et son but ...................................................... 44 Les écoles de la littérature comparée .........................

humain. Ils ont évolué à travers les siècles. CONTE Le conte est un récit court il appartient à l'univers de la poésie et avant le 19e siècle il fait partie du registre du merveilleux, mais à partir du 19e siècle il a été sous le registre du fantastique. Si l'on s'attarde sur l'origine du conte, on peut souligner qu'il serait issu des récits mythiques et s'en serait inspiré pour dépeindre les thématiques du mythe en enlevant le caractère sacré des personnages – caractère religieux. Mais le

même façon, combien les destins de Blonde Esmerée et de la Pucelle aux blanches mains sont liés. Paradoxalement, les enchanteurs et les enchantements sont de nature différente. Dans un premier temps, les combattants sont extérieurs, chevaliers fantastiques au comportement brutal, à la traîtrise avérée, c'est le cas d'Evrain, qui non seulement ne défie pas Guinglain, mais s'enfuit avant d'être clairement vaincu, en espérant que son adversaire sera frappé par les haches(27) ; son combat n'est en fin

Université Paul-Valéry Montpellier-III Service Universitaire de Formation Continue (SUFCO) Diplôme d’Accès aux Études Universitaires – A Enseignement À Distance Année 2011-2012 Cours de Littérature Enseignante : Madame Bourjea Fascicule n°3 En page précédente : Jean-Honoré FRAGONARD (1732-1806) La jeune fille lisant, v. 1776 * Sommaire 1. (Brève) introduction au XVIII° siècle 2. Article « Philosophe » de L’Encyclopédie 3. Quelques noms, titres et dates 4. Conseils bibliographiques

sont autant de caractéristiques qui appartiennent au style de Colette et qui motivent le vagabondage par l’éveil des sens. La troisième partie consacrée à la quête identitaire de l’écrivain à travers ses personnages se base essentiellement sur la psychanalyse et essaie de comprendre pourquoi Colette entreprend de se glisser dans la peau de ses héroïnes. La faille résidant dans l’identité de la vagabonde est similaire à celle de l’auteur et si cette dernière choisit de se dévoiler tout en restant en

1985, p. 133. 7. A. Meddeb, art. cit., p. 135. un corpus d'oeuvres antérieures. Mais, l'oeuvre n'appelle-t-elle pas elle-même d'autres oeuvres entre lesquelles elle s'inscrit ? N'est-elle pas condamnée à se positionner par rapport à la littérature préétablie ? Nous avons vu comment le titre convoque les langues diverses, flirtant avec leur multiplicité en les conjoignant dans l'expression de la même faculté d'imagination. Cette ambiguïté qu'installe le titre est à lire également dans la

est publiée sous la responsabilité du Centre d’études québécoises du Département d’études françaises de l’Université de Montréal. Elle présente des recherches en cours, des bibliographies, des index ou d’autres types de travaux analogues sur la littérature québécoise, réalisés par des chercheurs, étudiants ou professeurs du Département d’études françaises. Illustration de la couverture : Roland Giguère Réalisation graphique : Services de la polycopie, Université de Montréal Vente : Centre d’études