Psychanalyse Des Contes De Fées

LEGRANDBLEU.COM - grandbleu@legrandbleu.com Les contes du Kou’ndou et Paroles d’Afrique Créations - tout public : Les contes du Kou’ndou dès 6 ans, Paroles d’Afrique dès 10 ans Musique, conte, jeu : Toïgar Keyba Natar Il était une fois un griot africain qui puisait de ses racines ancestrales pour raconter aux enfants, en mots et en musique, les temps lointains où les hommes et les animaux se parlaient, où la lune et le soleil étaient ennemis jurés...des contes et des légendes sur le pouvoir, la guerre

Travaux Personnels Encadrés Thème : Héros & Personnages. Rédigé par: Imane , Maureen et Inès. Sujet : L’emprise de Disney sur les Contes. Lycée Rosa Parks Nous adressons nos remerciements à Madame Malbrunot pour l’aide apportée à notre projet. Sommaire Introduction………………………………p.5 Conclusion…………….……………….p.19 Walt Disney, une entreprise puissante Le conte de Cendrillon…….………….p.20 a) L’inspiration…………………………………………………..P.6 Neige…………..p.30 Le conte de Blanche- b) De la musique à la comédie

pédagogues antiques et, pour faire court, au XVII° siècle, le Télémaque de Fénelon et les Fables de La Fontaine destinées au jeune dauphin. Par ailleurs, la présence des contes de fées et du merveilleux en général dans le paysage enfantin, est une constante. Mais ces deux axes se mêlent : on ne peut édifier sans séduire et les contes de fées, même s’ils ne sont pas toujours destinés aux enfants, permettent d’avertir et d’instruire. Du XIX° siècle à l’invention des « comics » et de la presse enfantine

qu’il développe certains passages du conte en vers. Au niveau de la symétrie structurelle des contes, le film s’ouvre sur un livre et se ferme sur le même plan, mise en scène qui a�rme la filiation aux contes écrits. D’ailleurs, si le narrateur du film, intervenant en voix o� pour introduire et conclure le film en citant l’introduction et la conclusion du conte en vers (ce qui rappelle la façon dont les contes se transmettent, par voie orale), il ne cite jamais le conte en prose, du moins ni textuellement

lui-même, l’enfant accède au monde et à l’autre. Il est également connu pour son œuvre : « la psychanalyse des contes de fées » où il émet l’idée que ces histoires racontées aux enfants jouent un rôle important dans la constitution. Pour lui le rôle de l’éducation est d’aider l’enfant à donner un sens à sa vie et la lecture des contes de fées y jouerait un rôle déterminant. Le pouvoir des contes consiste à éveiller l’imagination en incitant l’auditeur à vivre le temps du récit les aventures

Tannhäuser et Lohengrin de R. Wagner, les ‘danses macabres’ accompagnées par des êtres surnaturels avec le Freischütz de Weber, la virtuosité de Paganini, les œuvres d’Hoffmann transformées en opéra par Offenbach. En littérature, la traduction des contes d’Hoffmann, et les feuilletons de fantaisies publiés dans Le Mercure esquisse l’ambiance du fantastique. Les tableaux de J. H. Füssli comme Le Cauchemar (1781), ainsi que les dessins de G. Doré laissent les traces d’une période obscure, fantomatique

personnelles Thème 3 • Le développement social Apprentissage du rapport à autrui, de la culture, des codes... Cette partie a été pendant longtemps délaissée en raison de l’influence de la psychanalyse freudienne. Après la phase d’Œdipe, l’enfant aurait tendance à refouler ses désirs sexuels, d’où un ralentissement de son développement. Dans L’enfant de 5 à 10 ans (1940), Arnold Gesell a montré que l’évolution de l’enfant allait vers la socialisation

deuxième partie représente le récit de la psychanalyse et la troisième, la seule à avoir un titre- « La fête au village » est écrite dans un autre registre et décrit  le bonheur final.  Dans la critique, on a aussi interprété ces trois parties comme l'enfer, le purgatoire et le paradis, c'est-à-dire le parcours de l'état de « chien » à l'état de « chêne », les deux parties de la personnalité de l’auteur. Selon Anne Clarencier dans «  Raymond Queneau et la psychanalyse », le chien représente le Ça, et le

St Jean 11. H. Benony « Le développement de l'enfant et ses psychopathologies », Armand Colin 12. M. Berger « L'échec de la protection de l'enfance » 13. K. Bernfeld « Déjouer les troubles alimentaires » 14. B. Bettelheim « Psychanalyse des contes de fées », Pocket 15. R. Blind, M. Pool « Les dangers de l’écran » 16. C. Boukobza « L’écueil de la relation précoce relation précoce mère-enfant » 17. P. Brunelles « Comment vivre avec une personne atteinte de handicap moteur ? »

7 septembre 2010 Jury : Max SANIER et Isabelle HARE Table des matières Remerciements . . Introduction . . Partie 1 : Walt Disney ou l’américanisation du conte de fée européen . . I. De la réécriture du conte à sa dénaturation . . A. Quels contes originaux …? . . B. … pour quelles réécritures et quels messages…? . . C. …avec quels effets … ? . . II. Manichéisme : adaptation à l’enfant ou adaptation au cinéma américain ? . . A. Manichéisme et l’enfant . . B. Manichéisme du cinéma américain