Psalmodie

baptême. Le veuvage et le malheur d’autrui l’attiraient à cause de sa grande douceur ; il se mêlait aux amis en deuil, aux familles vêtues de noir, aux prêtres gémissant autour d’un cercueil. Il semblait donner volontiers pour texte à ses pensées ces psalmodies funèbres pleines de la vision d’un autre monde. L’œil au ciel, il écoutait, avec une sorte d’aspiration vers tous les mystères de l’infini, ces voix tristes qui chantent sur le bord de l’abîme obscur de la mort. Il faisait une foule de bonnes actions

feuilles de betel, il casse des cocos. Les formules tamoules qu'il prononce sont en fait des suites de mots sans phrases cohérentes, une séquence qui regroupe les noms des principaux objets du culte, les seuls dont il connaisse le nom tamoul, et il psalmodie tout cela sur un air qui rappelle beaucoup les cantiques catholiques. Il dit n'avoir jamais appris ces chants et les connaître à la suite de visions durant lesquelles les esprits les lui ont dictés. Grâce à ces chants, il invoque les esprits, qui

la résurrection d’Osiris. Djéser se réveillerait-il ? Si la force maléfique de l’avaleuse d’âmes traversait les murs du temple, elle priverait le prince de l’air lumineux indispensable à sa survie. Au petit matin, épuisée, Nimaât interrompit les psalmodies. Pâle, angoissée, Paisible alla quérir un ritualiste qui leur servit du lait frais et un pain chaud. Les premiers rayons du soleil illuminèrent le sommet de l’obélisque unique, le Grand Voyant ouvrit la porte de la chapelle. — Rassemble-toi et relève-toi

habituelles des classes laborieuses d'Italie [172]. Saint Columban veut, au contraire, dompter la nature humaine : la nourriture est réduite au minimum et on n'en prend qu'une fois par jour; le silence est perpétuel [173] ; on emploie un temps énorme à psalmodier des offices d'une longueur interminable (75 psaumes dans les grandes fêtes); les pénitences sont féroces et vont jusqu'à deux cents coups de fouet [174]. Saint Benoît était opposé à un gouvernement capricieux ; il avait recommandé de ne rien

baptême. Le veuvage et le malheur d'autrui l'attiraient à cause de sa grande douceur; il se mêlait aux amis en deuil, aux familles vêtues de noir, aux prêtres gémissant autour d'un cercueil. Il semblait donner volontiers pour texte à ses pensées ces psalmodies funèbres pleines de la vision d'un autre monde. L'oeil au ciel, il écoutait, avec une sorte d'aspiration vers tous les mystères de l'infini, ces voix tristes qui chantent sur le bord de l'abîme obscur de la mort. Il faisait une foule de bonnes actions

veuvage et le malheur d’autrui l’attiraient à cause de sa grande douceur ; il se mêlait aux amis en deuil, aux familles vêtues de noir, aux prêtres gémissant autour d’un cercueil. Il semblait 411 donner volontiers pour texte à ses pensées ces psalmodies funèbres pleines de la vision d’un autre monde. L’œil au ciel, il écoutait, avec une sorte d’aspiration vers tous les mystères de l’infini, ces voix tristes qui chantent sur le bord de l’abîme obscur de la mort. Il faisait une foule de bonnes actions

Le veuvage et le malheur d’autrui l’attiraient à cause de sa grande douceur ; il se mêlait aux amis en deuil, aux familles vêtues de noir, aux prêtres gémissant autour d’un cercueil. Il semblait donner volontiers pour texte à ses pensées ces psalmodies funèbres pleines de la vision d’un autre monde. L’œil au ciel, il écoutait, avec une sorte d’aspiration vers tous les mystères de l’infini, ces voix tristes qui chantent sur le bord de l’abîme obscur de la mort. Il faisait une foule de bonnes

baptême. Le veuvage et le malheur d’autrui l’attiraient à cause de sa grande douceur ; il se mêlait aux amis en deuil, aux familles vêtues de noir, aux prêtres gémissant autour d’un cercueil. Il semblait donner volontiers pour texte à ses pensées ces psalmodies funèbres pleines de la vision d’un autre monde. L’œil au ciel, il écoutait, avec une sorte d’aspiration vers tous les mystères de l’infini, ces voix tristes qui chantent sur le bord de l’abîme obscur de la mort. Il faisait une foule de bonnes actions

zaouia 258 véhiculant tout ce qui peut entraver la réflexion et l'effort de la connaissance. Ces pratiques se limitent souvent à la récitation de litanies «qui réveillent le souvenir des idées primordiales ; c'est la méditation et c'est la psalmodie qui réunissent l'être à la pensée divine», comme l'avait bien écrit E. Demenghem. Toutes ces pratiques sont significatives et soulignent les idées de détachement, d'extase, d'annihilation de l'individu, d'union avec une réalité suprême, le «fana»

veuvage et le malheur d’autrui l’attiraient à cause de sa grande douceur ; il se mêlait aux amis en deuil, aux familles vêtues de noir, aux prêtres gémissant autour d’un cercueil. Il semblait 411 donner volontiers pour texte à ses pensées ces psalmodies funèbres pleines de la vision d’un autre monde. L’œil au ciel, il écoutait, avec une sorte d’aspiration vers tous les mystères de l’infini, ces voix tristes qui chantent sur le bord de l’abîme obscur de la mort. Il faisait une foule de bonnes actions