Préface De Cromwell Mélange Des Genres

alcades de Daganzo. {draw:frame} Juan de la Cueva : (1550-1610) Dramaturge sévillan, s'affranchit de l'exemple classique (grec) et institua, dans ses écrits théoriques (Ejemplar poetico, 1609), plus que dans ses pièces, les règles de la comedia : melange du tragique et du comique, abolition des unités de temps et de lieu,variété des mètres. Parmi ses pièces certaines rapportent les légendes et l'histoire de son pays : Los Siete Infantes de lara (Les sepyts Enfants de Lara, 1579), la Libertad de Espana

mouvement de l'histoire, le grand âge et la décadence des puissants. Son symbolisme exprime déjà à lui seul le sublime et le grotesque à l'œuvre dans le drame, figurant "cette grande échelle morale de la dégradation des races" évoquée par Hugo dans sa préface, et opérant la réalisation scénique de son rêve : "faire de cette abstraction philosophique une réalité dramatique, palpable, saisissante, utile"9. Dans Hernani, l'escalier sert encore à structurer l'espace, tout en constituant un point focal

ANTHOLOGIE POÉTIQUE : LE VOYAGE Apparition de ma cousine Carolinetta, Salvador Dali, 1934 1 SOMMAIRE -Préface...................................................................................................................... 3 -Heureux qui comme Ulysse, Joachim du Bellay, 1558............................................. 7 -Le voyage, Jean-Pierre Claris de Florian, 1799........................................................ 9 -Saltimbanques, Guillaume Apollinaire, 1913

inspiré. D très marqué par la culture anglaise ; début 18eme : véritable anglomanie en France, désir de découvrir l’Angleterre et son histoire, ses auteurs en particulier Shakespeare dont les œuvres touchent cette population romantique par son mélange des genres, son culte du grotesque qui témoignent d’une nouvelle sensibilité et qui rejoint le drame romantique. Cf Hernani en 1830 de Hugo. Il se représente sous les traits d’Edgar R de « Lucie la mère mour ? » un roman. Caractère ténébreux par le vêtement

de l’action théâtrale, exposition-nœud-dénouement. Or, ce principe ne va pas de soi, il est le reflet d’une conception rationnelle de l’action représentée. Les bienséances, les unités de temps et de lieu, la stricte distinction et la hiérarchie des genres selon laquelle tragédie et comédie s’opposeraient, à la fois par leurs personnages, leurs visées, leurs procédés et leurs effets sur le spectateur, toutes les « règles » que les auteurs classiques déclarent avoir reprises d’Aristote, ne sont pas aussi

études historiques, coupures de presse, traités théologiques...). Il nourrit son travail d'enquêtes minutieuses réalisées sur le terrain, à la manière d'un journaliste. Zola, avant d'écrire Germinal, n'hésitera pas à descendre dans une mine. V) Genres de la littérature réaliste 1/ Le roman La littérature réaliste consacrera le roman, genre jusqu'alors négligé et mineur. Parce qu'il autorise toutes les libertés formelles, le roman devient le genre parfait pour décrire avec précision la richesse

naturalisme. Les pièces étrangères de Strindberg et Ibsen paraissent. L'oeuvre de Rostand est en décalage avec son temps, un peu en retard. Ce drame historique est une bouffée de romantisme, selon les règles du genre qu'énonce Victor Hugo dans la préface de Cromwell : « La poésie de notre temps est donc le drame ; le caractère du drame est le réel ; le réel résulte de la combinaison toute naturelle de deux types, le sublime et le grotesque, qui se croisent dans le drame, comme ils se croisent dans la vie

les romantise4. » August Wilhelm Schlegel, dans ses Cours de littérature dramatique, diffuse le concept de romantique en Europe, ramenant la poésie romantique à la poésie moderne, marquée par la tradition chrétienne, progressive, ouverte aux mélanges des genres. Historique Caspar David Friedrich, Falaise de craie sur l’île de Rügen, 1818. « Le romantisme qui fut un phénomène de portée révolutionnaire dans tous les arts plonge ses racines au cœur même du siècle des Lumières. Ses principes constitutifs

3 ; Acte V, 5 . 2-Les exposés Structure externe et interne ; le racisme ; la violence /non violence ; les personnages ; style et langue ; la mort, les lois du théâtre et fonctions. LES GENRES DU THEATRE Dans le théâtre classique, les auteurs refusent le mélange des genres ; ceci pour bien caractériser la tonalité de la pièce. Les théâtraux s’étendent ainsi des pièces au ton grave à l’instar de la tragédie vers celles dans lesquelles le ton est léger voire comique comme la

chagrin, la tristesse - ces sentiments sont constants. De fait, la tristesse imprègne la vie des héros romantiques. * L’exaltation et la passion - le héros romantique passe facilement d’un extrême à l’autre. Les libertés accordées par La Préface de Cromwell permettent l’utilisation de tous les registres de langue, ainsi les héros peuvent s’exprimer avec la plus totale spontanéité, dans une langue qui traduit l’authenticité de leurs émotions et de leurs sentiments. Par exemple, Lorenzo n’hésite