Préface Argumentative

Commentaire littéraire : Victor Hugo le dernier jour d’un condamné Le dernier jour d’un condamné ne compte pas moins de trois préfaces : Victor Hugo guide , d’une main de fer , un lecteur qui ne doit pas douter du sens de l’œuvre .La préface de 1832 dévoile sans aucune réserve son engagement contre la peine de mort .Dans l’extrait suivant ,l’auteur réfute l’un des arguments majeurs avancés par les défenseur de la peine de mort : selon eux , elle servirait d’exemple la société .Victor Hugo

3. Ce livre est-il seulement argumentatif ? Justifiez votre réponse. Il est également narratif : un héros, un déroulement chronologique, une situation finale… 4. Pourquoi cette méthode argumentative touche-t-elle particulièrement le lecteur ? (Donnez des exemples précis qui illustrent la stratégie argumentative de l’auteur). Le lecteur s’identifie au condamné et vit avec lui le compte à rebours et les péripéties (demande de grâce, arrivée de sa fille qui ne le reconnaît pas, etc.). 5. Dans Le dernier

religieux ; méditation profonde: vivre dans la contemplation. LA PREFACE Question 1. Une préface est un texte argumentatif qui a une double fonction : d’abord informative ; l’auteur informe le lecteur de son projet et lui explique ce qu’il veut faire, et argumentative ; l’auteur soucieux de savoir comment son projet va être accueilli par la critique éprouve la nécessité de se défendre face aux critiques que l’on peut lui faire. Une préface a donc un registre polémique. Question 2. Les contemplations

Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo 1829 préface 1832, page 41, ℓ 448 à 480 Dans la préface de la deuxième édition de Victor Hugo exprime son opinion contre la peine de mort. Ici cet essaie développe une argumentation direct. Nous allons voir comment l'écrivain fait appel à la raison du lecteur par un réquisitoire implacable, puis nous verrons qu'il s'adresse à la sensibilité du lecteur. I- l'appel à la raison du lecteur : un réquisitoire 1) le schéma argumentatif de l'extrait Texte

reconnaître, douter, hésiter à..., affirmer, assurer, confirmer, certifier, proclamer... des expressions : selon ..., de l'avis de..., de toute évidence ... et bien sûr l'utilisation du mode conditionnel La valorisation En plus de la stratégie argumentative, de la valeur des arguments et des illustrations, un argumentateur utilise aussi des procédés annexes de valorisation ou de dévalorisation. Il use d'un vocabulaire mélioratif pour mettre en valeur ses propres conceptions : registre soutenu, mots

Analyse d’un texte argumentatif : exemple Victor Hugo, extrait de la préface du Dernier jour d’un condamné, 18321 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 Ceux qui jugent et qui condamnent disent la peine de mort nécessaire. D'abord, – parce qu'il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. – S'il ne s'agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon

« melancholia » écrit en 1838 par Victor Hugo, le deuxième de Boris Vian « A tous les enfants » écrit de 1954 à 1959, puis il y a « Ce cœur qui haïssait la guerre… » écrit par Robert Desnos le 14 Juillet 1943 et il est issu de l’Honneur des poètes enfin la préface de Paul Eluard qui est également issu de l’Honneur des poètes parut le 14 Juillet 1943. Ces textes sont issu du même objet d’étude la poésie et la quête du sens . Ils traitent tous sur un sujet « triste » (la guerre et le travail des enfants) .

Lecture analytique : OE1, GT2, Texte 1 « Préface à la traduction du Nouveau Testament » En quoi ce texte d’Érasme traduit-il l’esprit de la Réforme ? → Axe 1 : La traduction de la Bible comme un accès universel au savoir : - Une parole réservée à tout le monde - La volonté du Christ - Un savoir universel → Axe 2 : Un projet humaniste universel : - Une opposition très forte jusqu’à l’excès - Une critique subversive implicite de l’Église Intro : Érasme, l’auteur du texte à étudier, est

L'écriture de soi Certains écrits s'organisent, pour tenter de répondre à cette question, autour d'une description de soi. Au xvie siècle, Montaigne, dans Les Essais, essaie de se dépeindre, pour se comprendre. L'autoportrait prend une valeur argumentative lorsqu'il se tourne vers une réflexion théorique à partir de l'observation de soi-même. Montaigne affirme ainsi « Je ne peins pas l'homme, je peins le passage », ce qui signifie que selon lui, l'homme n'est pas une unité donnée une fois pour toutes

précis. Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement qui suit un plan rigoureux et une progression argumentative. Ils sont souvent reliés par des connecteurs logiques . Ce discours s’inscrit donc dans une stratégie argumentative  : il s’agit de soutenir ou réfuter une thèse. L’énonciateur peut choisir de défendre sa propre