Prussiens

la IIIe République s'impose-t-elle ? 1. Rétablir la paix • Le 2 septembre 1870, l'empereur Napoléon III, capturé par les Prussiens, capitule à Sedan. Deux jours plus tard, à Paris, des républicains modérés proclament la République et forment un gouvernement de défense nationale. Gambetta, qui appartient à ce gouvernement, s'échappe de la capitale assiégée par les Prussiens, pour lever des armées en province et briser l'encerclement. Malgré quelques victoires, l'armistice est signé le 28 janvier

étendre son influence en Allemagne en s'emparant de la Saxe ; et d'autre part l'Angleterre et l'Autriche. La première refuse l'extension de la puissance russe, au nom du nécessaire équilibre des puissances continentales ; la seconde refuse l'emprise prussienne sur l'Allemagne. • La France de Louis XVIII est représentée par le très habile Talleyrand. Il profite de la mésentente des vainqueurs pour imposer la France dans les négociations et lui redonner sa place de grande puissance. Le retour de Napoléon

volume des Rougon-Macquart, intitulé La Fortune des Rougons, mais le feuilleton est interrompu par la guerre franco-prussienne. Napoléon III va être fait prisonnier, et c'est la fin du Second Empire. Le 17 mars 1871, Adolphe Thiers négocie la paix, mais les parisiens refusent de céder de telle sorte aux prussiens, et c'est le début de la Commune. En mai, Thiers s'allie aux prussiens afin de faire tomber la Commune et reprendre Paris, et procède à ce que l'on appelle "La Semaine sanglante", où de

sur les nombreuses injustices sociales ces deux représentent. Le point qui est réitère dans les deux nouvelles est le pouvoir de la hiérarchie sociale. Dans Boule de suif, la prémisse de la nouvelle est la fuite des riches de l’invasion des Prussiens pendant la guerre. Les pauvres classes – le prolétariat – ne peuvent pas fuir du danger, mais car ils ont d’argent et l ‘opportunité, les riches partent furtivement à Havre, « …avant le jour, pour éviter tout rassemblement. » (37). Le départ secret

ont perdu la guerre, mais elle continue. Les Prussiens sont en France et il n'y a plus de régime. On proclame donc la république. La 1er Septembre 1870 la république est instaurée mais il reste un problème. Il faut arrêter la guerre et prendre des décisions. * * * Après la défaite de Sedan l'armée prussienne se dirige vers Paris. Léon Gambetta, un républicain

Empire renversés dans leurs prétentions. Les bourgeois, dans leur rhétorique morale, apparaissent comme fondamentalement immoraux; les aristocrates, prônant le courage, font preuve de lâcheté; le clergé, dépeint comme vil, se soumet immédiatement aux Prussiens, laissant choir sa patrie; le démocrate, amateur de politique, apparaît comme un autre grand parleur hypocrite qui ne sait pas vivre comme il parle; la plèbe, dans le personnage de Boule de suif de profession immorale émerge pourtant comme héroïne

expressions diverses. En 1870, Napoléon III s’exile suite à la défaite de Sedan où les Prussiens ont été victorieux. Naît alors la Troisième République. Cette dernière a deux caractéristiques : il s’agit d’une république qui doit être forte pour repousser les Prussiens de France mais elle répond aux rêves des Républicains de 1848. Lors de l’année 1871, les écrivains se forment artistiquement. Mais les Prussiens avancent et arrivent à Paris. Le conseil républicain se déplace à Versailles. Adolphe Thiers

déclare la guerre à l'Autriche , alors que celle-ci s'y préparait (la reine Marie-Antoinette est la fille de l'empereur d'Autriche). La patrie est alors en danger. Justification : -les armées autrichienne et prussienne envahissent la France. -les fédérés viennent alors de toute la France pour défendre la capitale. Ceux de Marseille chantent " la Marseillaise ". -argument 2 : La guerre

discutaient plans de campagne , et prétendaient soutenir seuls la France agonisante sur leurs épaules de fanfarons ; mais ils redoutaient parfois leurs propres soldats, gens de sac et de corde, souvent braves à outrance, pillards et débauchés. Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait−on. La Garde nationale qui, depuis deux mois, faisait des reconnaissances très prudentes dans les bois voisins, fusillant parfois ses propres sentinelles, et se préparant au combat quand un petit lapin remuait

discutaient plans de campagne, et prétendaient soutenir seuls la France agonisante sur leurs épaules de fanfarons; mais ils redoutaient parfois leurs propres soldats, gens de sac et de corde, souvent braves à outrance, pillards et débauchés. Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait-on. La Garde nationale qui, depuis deux mois, faisait des reconnaissances très prudentes dans les bois voisins, fusillant parfois ses propres sentinelles, et se préparant au combat quand un petit lapin remuait sous