Propylée

et archéologie Le mot pnyx désigne un lieu où l'on est serré, entassé les uns contre les autres. La Pnyx était située sur une hauteur rocheuse couramment appelée ai petrai (« les roches »), attenant au Mouseion, à proximité de l'Aréopage et des Propylées de l'Acropole. [...] Les citoyens étaient poussés vers la Pnyx par les archers scythes qui tendaient en travers de l'Agora et des rues voisines des cordeaux teints en rouge pour inciter les retardataires à se hâter. Les citoyens pénétraient par l'entrée

Construit en marbre, de dimensions énormes, extérieurement dorique, intérieurement ionique. Murs et reliefs colorés en bleu et en rouge surtout. * L’Erechtéïon : plan complexe, car dédié à trois dieux : Poséïdon-Erechtée, Athéna et Zeus. * Les Propylées : entrée monumentale à façade hexastyle dorique, adaptation à la topographie. NB : les frises du style ionique sont continues, contrairement aux doriques. * Apparition à la fin de la période classique d’un nouveau style de temple : le tholos

destination manifeste est assumée par un sujet architectural à son tour triomphant et qui consonne rigoureusement avec elle, se dressent enfin ces modèles absolument aboutis et d’art et d’architecture que sont, chacun dans la société qui les porte, les Propylées, le cloître de Moissac, la Cité Radieuse ou le Washington Airport. *** La destination manifestée, vieille comme l’architecture, prend une importance particulière à notre époque, où elle s est même traduite par un système et un vocable spécial

polarité comme principe universel de vie et de développement loin de souligner une partition entre des domaines inconciliables semble au contraire renvoyer à un dédoublement et à un dialogue de la nature avec elle-même. Ainsi, dans l’introduction aux Propylées, Goethe souligne que la polarité dans la nature n’est en rien la manifestation d’un dualisme rédhibitoire, mais bien plutôt la certitude d’une unité atteinte par une voie supérieure : « Jusqu’à présent le peintre ne pouvait que contempler avec étonnement

ici que des cœurs de poètes. » À la gloire, à la vie on demande tes droits. » À la croix grecque, Hellé, ta valeur se confie... » C'est un peuple qu'on crucifie ! » Qu'importe, hélas ! sur quelle croix ! » Tes dieux s'en vont aussi. Parthénon, Propylées, » Murs de Grèce, ossements des villes mutilées, » Vous devenez une arme aux mains des mécréants. » Pour battre ses vaisseaux du haut des Dardanelles, » Chacun de vos débris, ruines solennelles, » Donne un boulet de marbre à leurs canons géants

Athènes de financer sa politique de grands travaux (ex. Acropole). Toutes les dépenses et comptes sont inscrits sur l’Acropole. À partir de 447 BC, on commence la construction du Parthénon sur l’Acropole, avec quatre grands bâtiments : * Les Propylées (entrée monumentale), 437 – 432 BC. * L’Erechthéion, 421 – 406 BC. * Le temple d’Athéna Niké, 424 BC. * Le Parthénon, 447 – 432 BC. * Le Parthénon (447 – 432 BC) Le projet de Périclès est réalisé par une équipe d’artistes présidée

charge émotive des incidents critiques chez les participants, le caractère programmatique de ceux-ci ne doit pas pour autant échapper à notre regard scrutateur. Ainsi, Schaeffer1 donne-t-il pour exemple de ce projet de transformation la revue Les Propylées, qu’a éditée Goethe entre 1798 et 1800 pour défendre le classicisme contre les courants romantique et naturaliste en art. Notre champ d’action et de connaissances est actuellement traversé par des courants contradictoires de pensée et de philosophie

civilisation mycénienne. La ville était protégée par des remparts cyclopéens de 6 m d’épaisseur. Elle s’organisait autour du palais, modèle architectural qu’imitaient, en plus simple et plus petit, les demeures de nobles. L’entrée s’appelait les Propylées. Une cour intérieure et un vestibule conduisaient à une vaste pièce d’accueil, le mégaron, incluant au centre un foyer. Tout autour se succédaient les chambres et leurs salles de bains. Au confort des maisons, s’associait pour l’éternité la richesse

d’abord les maîtres du XVIIIème siècle en architecture, puis l’homme (1728-1799), l’artiste et le penseur; la deuxième partie consacrée à Claude-Nicolas Ledoux, présente d’abord l’homme, puis ses projets et réalisations, et enfin les 78 propylées de Paris et la cité idéale; la troisième partie, consacrée à Jean-Jacques Lequeu expose sa vie puis son oeuvre. Cote:PU A 181 OZOUF (Mona) L’image de la ville chez Claude-Nicolas-Ledoux Extrait des Annales économies sociétés civilisations

ressort souvent d’un compromis entre l’utile et l’expression du luxe favorisé par l’essor du commerce. A Paris, Louis XV offre l’immense terrain sur lequel se dressera son effigie, accompagnée des façades élevées par Ange-Jacques Gabriel telles des propylées (1757 – 1777, place Concorde). Entourée de fossés, comme un espace noble, destinée aux fêtes publiques, la nouvelle place s’inscrivait dans le paysage comme un point de vue sur la Seine, entre le jardin des Tuileries et la promenade des Champs Elysées