Pronom relatif

la maîtresse sur sa servante. Une perte significativement notée par le glissement énonciatif qui fait passer Silvia du vouvoiement au tutoiement lorsqu’elle s’adresse à Lisette. Les deux autres mouvements s’organisent quant à eux autour d’un autre pronom, indéfini cette fois, le « on » qui acquiert chez chacune des femmes une connotation différente, antithétique. 2 Le second mouvement (de « premièrement ce que tu dis n’est pas vrai » jusqu’à « il est bel homme dit-on et c’est presque tant pis »)

chérirait »... >lyrisme dans le 4ème paragraphe avec amplification du rythme et sonorités nasales (= langueur) >la sacralisation de l'époux, malgré une rencontre rapide (négation restrictive), pronoms flous, car il est tellement idéalisé qu'il est confondu avec l'amour, on ne sait pas ce que le pronom désigne: "elle n'avait plus qu'à le rencontrer, lui!" + "adorerait" : vénération aveugle, quasi religieuse. Mise en relief de l'homme attendu par les italique « il serait lui »: il sera la parfait

du discours, qui constituent les syntagmes, sont dites « de deuxième rang », ou « catégories lexicales ». Dans le français scolaire, les catégories lexicales sont généralement les suivantes : Nom Verbe Adjectif Adverbe Pronom Déterminant Conjonction Préposition Interjection Les catégories grammaticales, elles, concernent les morphèmes grammaticaux (désinences, flexions, affixes). Elles peuvent indiquer : le temps, le mode, la personne, le nombre

lisibilité (calligraphie absconse, ratures, surchargé, ponctuation inadéquate) appelle une sanction qui peut conduire, en présence d'un obstacle majeur, à l'attribution d'une note proche de zéro. Le discours doit être impersonnel (l'emploi des pronoms "je" et "nous" est prohibé). La citation d'un texte d'un document, nécessairement courte et apparente, est exceptionnelle. L'introduction : Elle est indispensable. D'une longueur environ d'une demi-page, elle s'appuie exclusivement sur les

| |Les petits mots : ……………………………………….qui les remplacent sont des………………………………. | Dans les phrases suivantes, souligne le sujet et remplace-le par un pronom. Marie tricote un pull. ……………………………………………………………………………………………… Les bébés des éléphants s’appellent des éléphanteaux. ……………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………….. Pierre et Marie vont faire des

du pronom tonique de première personne qui s’oppose à tout le personnel évoqué. C'est en même temps la marque d'un changement de genre du texte : on passe ainsi de la description d'une société à l'introspection d'un individu. Cette rupture est renforcée par le verbe suivant... je suis : une des deux occurrences du verbe suivre, suivi lui-même d’une incise pour le rendre ambigu et lui attribuer momentanément la valeur du verbe être (ce qui renforce et justifie la rupture opérée par le pronom). le

locution conjonctive | dès que, au cas où… | locution interjective | tonnerre de Brest ! à vos souhaits… | 1) La préposition : La préposition est un mot invariable. La préposition introduit le plus souvent un nom ou un groupe nominal, un pronom ou un infinitif. Elle ne dépend d'aucun terme dans la phrase, elle n'a donc pas de fonction grammaticale. Son rôle est de marquer le lien de dépendance qui existe entre le groupe de mots qu'elle introduit et le terme dont ce groupe est complément

rouée. Enfin, la marquise de Merteuil est une femme sûre d’elle et qui possède une extrême confiance d’elle-même. Dans cet extrait, elle écrit son autoportrait et s’en vante. Dans cette extrait, la présence de la première personne, du pronom personnel « moi » et de pronoms réfléchis et se vente d’avoir eu son éducation d’elle-même et de ses qualités : « j’étais vouée » (l.1), « j’ai su » (l.2), « je recueillais » (l.4), « m’instruire » (l.5), « m’apprit » (l.5), « m’entouraient » (l.6), « j’essayai »

français qui se découpe à l’étranger et chez eux (à la cour, Henri III). Il y a une trentaine de pronom personnel à la 1ère pers. Du singulier. Forme verbale : pronominale réfléchit « je me ». Dans ces formes verbales réfléchit M. fait l’action « je me guide », « je me trouve », « je m’arrête ». Il y a une forme d’insistance « derrière moi », « ma maison », « mon plaisir », « mon appétit » (possessivité). Pronoms possessifs «  les miens », « les nôtres » « nos » (adjectif possessif). Le « nous » représente

concert pour précipiter Gervaise dans sa chute. Apparition également du « en » à partir des Lorilleux « ils en prenaient pour trois jours » jusqu’au « en » final « de ne pas s’en fourrer jusqu’aux oreilles » et sont intercalées six occurrences. Ou bien pronom personnel invariable, ou bien préposition, ou encore adverbe pronominal, ce « en » anaphorique accentue l’effet de flou et de quantité. La mangeaille indifférenciée penche vers l’orgie et non vers les agapes ! De festive, la scène devient répugnante