Pronom relatif

TECHER Emilie 2°2 Emile Zola, chef de file du mouvement naturaliste écrit en 1877, l’Assomoir. Ce roman est le récit de la déchéance d’une femme, Gervaise qui tombe peu à peu dans la prostitution et l’alcoolisme. L’extrait présenté à l’étude est un passage du chapitre XII. Pour répondre à la question « en quoi ce texte s’inscrit dans le registre pathétique? » nous montrerons d’une part la faiblesse d’une fille, Lalie face à la violence de son père Monsieur Bijard. Le narrateur présente une

qu'avant ») pour solliciter le lecteur tout en lui imposant une façon de penser;il n'utilise pas de synonyme il est particulièrement redondant ce qui a pour effet qu'à la fin le lecteur n'ait plus que deux mots en tête: guerre et inutile.Il y a aussi les pronoms qu'il utilise: le « vous »(L6)pour impliquer le lecteur et le « nous » pour impliquer le lecteur dans ses opinions ainsi que la ponctuation il utilise beaucoup de point après pour que le dernier mot reste dans la tête du lecteur(souvent une des idées

Athènes me montra mon superbe ennemi. Le récit constitue comme une longue parenthèse dans l’échange dialogal, qui reprend au vers 311, avec le retour des temps de l’énonciation, présent et passé composé, et la réapparition des déterminants et pronoms de la deuxième personne : Je n’ai pu soutenir tes larmes, tes combats, Je t’ai tout avoué, je ne m’en repens pas, Il s’agit donc d’une pause dans l’action même de la pièce ; ce suspens de l’action est extrêmement courant au début d’une tragédie

demande si quelqu'un qui vit ainsi est un homme. Le pronom démonstratif “c'” renvoie aux détenus qui vivaient dans des conditions inhumaines, car ce pronom démonstratif les deshumanise, Primo Levi n'a pas utilisé la 3eme personne du singulier. “est” est le verbe être décliné à la 3 eme forme du singulier ; ce verbe est très important car l'auteur s'attardera longuement sur le sens d'exister, d'être quelquechose ou quelqu'un. “un homme” renvoie au pronom démonstratif, tout dans l'autobiographie tourne

-vision administrative de la rencontre, (« l’amour ») ; elle contrôle le contrôleur →Il y a une mise à distance de l’Amour : on ne sait pas comment cela doit sa passer ;c’est un grand événement. Grammaticalement on constate que : -« cela »−>pronom démonstratif qui reprend « les grands événements » répété X2 l 3-4 -rien de particulier sur l’emploi ce qui signifie que l’Amour est réduit à peu de chose -discours direct : «  on dit , on ne sait pas » l2-3 −>l’Amour vient naturellement, par

la rédaction de votre travail au propre. La réalisation du plan détaillé au brouillon est indispensable. - Le temps : ne jamais parler du passé au futur. - il ne faut également pas écrire à la première personne du singulier et ni employer le pronom indéfini « on » mais plutôt utiliser « nous ». - Eviter l’utilisation de formules générales comme « depuis la nuit des temps », « il y a de cela des années »… Ces formules pourraient être utilisées pour introduire n’importe quel sujet de dissertation

l'adolescent a été mis en apprentissage chez un graveur tyrannique et violent à Genève. LIRE + PROBLEMATIQUE + PLAN. I Un récit autobiographique (Celui qui écrit et celui qui agit). Evidemment, ce récit est autobiographique puisque le pronom personnel « je » est très souvent utilisé. De plus, l'auteur utilise le vocabulaire des sensations et des sentiments « douleur » (l. 21), « courage » (l. 28), « affliction » (l. 18), « avec transport » {= désir} (l. 9). Ce passage est une restitution

d’obligation ? COMPLETER LA REGLE : En français, on peut exprimer l’obligation ou la nécessité en utilisant certaines tournures verbales, comme : ….. + devoir (conjugué) + …. …...+ falloir (conjugué) + …. Il est important de noter que seul le pronom…….. peut être mis devant le verbe « falloir ». Cette tournure exprime l’obligation . Il est également possible d’utiliser d’autres tournures verbales tel que…………………………………... ……………………………………………………………………………………………………………………………… Rappel conjugaison DEVOIR

Cette même phrase, répétée trois fois dans l’extrait, relance l’invitation et rythme la description de l’excursion en l’approfondissant en détails. On peut noter aussi une certaine volonté de la part de Loti d’impliquer le lecteur, traduite par le pronom personnel « nous » et la répétition de « qui ». 2) Un exotisme mis en relief par les couleurs et la nature Le sujet de cette invitation est un voyage à Ispahan, d’où revient Pierre Loti. Cette contrée est décrite tel un pays exotique, par

« Achéron » : fleuve mythique des Enfers, avec le Styx (mythologie familière aux contemporains de LF); le passage vers les Enfers était payant. Vers 6 : mise en évidence du mot « guerre », à la rime : violence meurtrière de la peste. 7-14 v 7 : le pronom indéfini « tous » qui se retrouve prisonnier au centre du vers : espoir donné par le 1er hémistiche (« Ils ne mouraient pas tous »), réduit à néant par le second. « frappés » à la rime : violence. - Chiasme avec le croisement : mouraient