Pronom personnel

ambiguïté du poème ♥ vers impairs La simplicité et la pudeur ♥ Début : lyrisme traditionnel ~> pronom possessif « nos » ~> implication des sentiments propres du poète ♥ Après : lyrisme moderne ~> généralisation ~> mise à distance du poète ~> pudeur du poème ♥ Strophes 3 et 4 : absence de pronoms personnels ~> le poète cherche la vérité générale de l’amour -------------------------------------------------

raisons qu’un femme peut avoir de se venger des hommes. Cette lecture s’attachera donc à la structure argumentative de l’extrait, à l’exposé des relations homme/femme et à l’image que la marquise donne d’elle-même. I/ A – L’emploi des pronoms personnels La lecture de l’extrait fait apparaître plusieurs éléments : - les indices d’un discours à la première personne, adressé à un « vous »... Plan Detaillé Lettre 81 Liaisons Dangereuses Plan : I. L’affirmation de soi et de sa valeur

personne (v. 627 et sq): évoquant Thésée au passé, elle passe subitement au présent, et, dans ce passage d'un temps à l'autre, le pronom personnel il change de sens − c'est en effet Hippolyte, substitut présent de Thésée, qu'il désigne ; Il n'est point mort puisqu'il respire en vous […]Je le vois, je lui parle ; et mon cœur… v. 625-629. Ce jeu sur les pronoms personnels témoigne d'une hallucination progressive de Phèdre, mais constitue aussi un moyen habile de déguiser son aveu : semblant évoquer

les deux personnages. Nous relevons en premier la position de Mathilde, elle cherche d’abord à rompre toute proximité avec son frère, alors que ce dernier utilise le pronom personnel de la première personne du pluriel « nous », Mathilde elle, marque bien une proximité grâce à l’énonciation, elle utilise le pronom personnel « je ». Cette marque d’énonciation est étendu sur toutes les répliques de Mathilde et marque une différence plus importante entre les personnages, imposée par Mathilde.

Douaumont qui est pris et repris treize fois. Le 20 mars, la 11e division bavaroise investit la côte 304 mais les Français réussissent à repousser les Allemands. c. Le pronom personnel « vous » désigne la famille de Gaston Biron et peut-être aussi les amis qu’il a laissés en partant. d. L’énonciateur mêle dans sa lettre les pronoms personnels des premières personnes du singulier et du pluriel, indiquant que son histoire est celle de tous les soldats qui ont combattu dans ce lieu. 3. « Enfer » (l. 2)

montrerons, pour finir, comment l'auteur cherche à faire réagir le lecteur. Nous pouvons observer plusieurs marques montrant la présence du locuteur notamment grâce aux pronoms personnels sujet à la première personne du singulier : "j'entends" l-1 ou "écoutez-moi" l-8 qui montrent son implication dans ce récit. Ainsi le pronom personnel "on" l-13 apparait, or il ne désigne pas seulement le locuteur mais tout le monde. "Je ne parle point" l.5 ou "nous voilà munis" l.27, dans ces exemples, l'auteur utilise

"hurlait". Le sujet et le verbe séparé sont réunis par le même phonème (r) et (u), l'adjectif "assourdissante" se rapporte par la figure de style au poète et au lecteur par un hypallage (déplacement d'épithète). Ainsi au centre du poème se trouve le pronom personnel tonique "moi" qui est relié par le phonème (ou) à l'adjectif verbal "assourdissante". "La rue assourdissante autour de moi hurlait" Le poète est comme encerclé par la rue. Dès l'incipit, le poète se place au centre du tableau dans une rue

Ce qui prédomine dans cette lettre est la douleur profonde de Mme de Sévigné. En effet, madame de Sévigné a écrit cette lettre en la centrant principalement sur elle-même en utilisant des adjectifs possessifs comme « mon », le pronom personnel « je » et le pronom complément « m' » : « Je m'en allai » ligne 4, « J'écrivis » ligne 11. On en conclue que Madame de Sévigné est totalement centrée dur elle-même et a beaucoup de mal dépasser les sentiments forts qu'elle ressent qui sont omniprésents

me suis penché sur cette âme …» . Il se base et reprend à plusieurs reprise pour dresser le portrait élogieux de l'accuser «âme», en essayant de crée une certaine compassion, mais l'avocat ne s'arrête pas là, pour insister d'avantage il utilise le pronom «je», en se mettant à la place de l'accusé: «c'est vrai que j'ai tuer», c'est une forme rhétorique employé par de nombreux avocats. Mais son discours reste totalement incohérent et stéréotyper, se qui accentue énormément son manque de connaissance

car ils ont le pouvoir de transmettre le message de l’amant. Cela peut se voir au vers onze où le poète fournit son appel direct en apostrophant la nature : ‘Je vous suppli’. La prosopopée de la nature que nous voyons à travers l’emploi des pronoms personnels ‘vous’ à plusieurs reprises dans le poème a pour rôle de souligner la grandeur des sentiments éprouvés par le ‘je’ lyrique car il appelle une force suprême. La nature va être son intermédiaire mais ce qui n’est possible que par la parole poétique