Pronom démonstratif

servant à désigner les êtres animés et les choses. → Nom commun : livre, étudiant, enseignant, bureau, fleur, crème… → Nom propre : Québec, Noël, Paris, Théodore, Bush… Le PRONOM : mot représentant un nom ou une proposition. → Personnel : Je, me, moi, tu, te, toi, il, elle, se, soi, y, en, on, nous, vous, ils, elles… → Démonstratif : celui, celui-ci, celui-là, celle, ceux, ce, ceci, cela, ça… → Possessif : le mien, le tien, le sien, le nôtre, le vôtre, le leur, les nôtres, les vôtres… → Relatif : qui

2. Le pronom ay Il faut écrire distinctement le pronom ay dans des contextes comme : ay nda ni/nin ‘toi et moi’. ay nda nga/a ‘lui et moi/elle et moi’. II.2.5.3. Les démonstratifs II.2.5.3.1. Les démonstratifs composés s'écrivent avec un trait d'union entre les éléments constitutifs. Exemples : ya-cine ‘ainsi’ wo-ne ‘celui-ci’ wo-hendi ‘celui là-bas’ wo-din ‘celui-là’ Remarque : Lorsque le démonstratif est précédé d'un nom, il n'y a pas lieu de porter le tiret entre ce nom et le démonstratif. Exemples

de politesse avec perdican traduit par la modalisation » tu voulais partir sans me serrer la main » et la métaphore « me refusait un baiser de frère ». -perdican méprise la religion et les nonnes en employant l’adjectif démonstratif dévalorisant « ces femmes » et le pronom « elles ». B. le registre polémique au service de la destruction des valeurs de Camille : -l’enumération de questions de rhétoriques l 1 à l3 reflètent la colère et l’indignation de perdican face à la manipulation dont camille

le chevalier de Jaucourt semble définir ce qu’est l’esclavage, il utilise d’emblée la dénomination connotée « ces malheureux », qui trouvera un écho avec l’utilisation de « ces infortunés », dont l’effet est amplifié par l’usage de déterminants démonstratifs qui semblent nous donner à voir la misère de ces esclaves. Dès la seconde phrase, cette indignation devient explicite, l’auteur souligne à quel point rien ne peut justifier la pratique d’une telle barbarie puisqu’elle va à l’encontre de notre culture

compléments, suivi d'un " il " omniprésent avec de nombreux verbes. D'abord le personnage est caractérisé, ensuite il s'anime. Ensuite intervient le cercle social, avec le pronom " on ". Trois petites nuances au niveau de la structure : Phédon, quantitativement plus approfondi, signe peut-être d'une plus grande complexité. Le pronom " on ", social, présent 6 fois chez Giton, 2 fois chez Phédon: l'un attire, l'autre repousse. Par ailleurs, le verbe " être ", peu présent chez Giton, et récurant chez

et des ensembles plus complexes : syntagmes prépositionnels et subordonnées. 2.1. Délimitation du SN D'une manière générale, on peut délimiter les frontières d'un syntagme par la pronominalisation ; l'ensemble des unités qui sont reprises par un pronom appartiennent au même syntagme : 23. [Les enfants] sont sortis [Ils] sont sortis [Les enfants de Marie] sont sortis [Ils] sont sortis *Ils de Marie sont sortis => de Marie appartient au SN [les enfants de Marie] [Les filles que j'ai vues hier] sont

sur ce qu'il a donné à A + accentué par l'utilisation des pronoms possessifs de la P2 du singulier « tes » et « ton », symbole de ce qu'il possède. Opposition une nouvelle fois, à la rime. Mots semailles et entrailles, accentués par leur place à la fin du vers, rimes riches, mais connotation différente. Baudelaire fait encore une fois un parallèle entre la vie pour A. « semailles » et la mort pour C. « entrailles ». On retrouve un pronom possessif pour C. « tes » mais la seule possession qde C

emploi spécifique : un ou plusieurs individus un emploi générique : l’ensemble d’une classe (comme les noms massifs : la farine, le vin...) b) Déterminant démonstratif Il est constitué de : ce, cet, cette, ces. Mais est également composé de formes composées : ce…-là, ce…-ci qui prennent la place d’une expansion spécifiante.  Le démonstratif n’est pas nécessairement lié à un acte de monstration puisqu’il connait deux types d’emplois : L’emploi déictique (XXIII) : qui désigne un référent présent

transitif. En français par exemple, la phrase "Les gens vinrent" s’écrirait en arabe: "Vinrent les gens" JAA ENNASSOU Les gens vinrent La phrase nominale : La phrase nominale (simple) est constituée de deux éléments : le nom (nom, pronom, démonstratif... : Mubtada' ) et l'attribut (c'est à dire ce que l'on dit du sujet : Khabar). Ce dernier peut être un nom, un verbe ou une phrase. La combinaison la plus simple est donc: Nom + Attribut En fait, le verbe "être" est souvent implicite dans

utilisée pour mieux mettre à distance du couple ceux qui s’opposent à cet amour + pronom démonstratif « ille ». Ces choix d’écritures soutiennent la philosophie des poètes lyriques qui revendiquent leur liberté et le plaisir de s’aimer sans respecter toutes les convenances. Au vers 7, l’accumulation et répétition à la rime révèle encore la volonté à afficher cette passion ce qui montre qu’il souhaite être démonstratif. Il utilise un vocabulaire de la vie courante pouvant être compris par tous, texte