Prolepse

genre de la fable est un genre très codifié. En tant que récit, il met en valeur ses grandes articulations pour mieux faire ressortir les mouvements principaux du texte. La fable est un récit sur-codifié. Ici, les deux premiers vers ont valeur de prolepse : ils résument toute la fable à venir. Le vocabulaire y est simple et clair : tout est déjà dit. Les vers 3 et 4 véhiculent le même message, mais sur un mode plus imagé avec une allégorisation du Temps. Les vers 5 à 15 développent cette même idée

travaillent pas. Armorial = répertoire des familles nobles, avec leurs blason. Répudiation = rejeter. Parvenu = réussissent à parvenir. Ellipse = vide -> moment non raconter. Anticipation = retour en arrière -> flashback. Analepse = anticipation. Prolepse = parler du futur. Lyrisme = registre littéraire ou l’écrivain ou poète exprime ces sentiments. Mœurs = coutume. Vices = façon d’agir considéré comme moralement ou socialement mal, défauts, vertu. Énumération = suite de mots l’un à la suite de

comparaison « comme un coup mortel   pour mes désirs» qui montre le désespoir de DG «  causé tous ses malheurs et les miens », prolepse narrative qui conclue l’extrait et qui annonce le malheur à venir avant même le début de l’histoire = influence classique Cette rencontre est donc placée sous le signe de la fatalité

humanité et la puissance de la nature. -De détail : 1. TEMPORALITE : -Durée : Grande pause descriptive avec (ligne1, narration détaillé, (ligne 23 à 26) narration détaillé, et pour finir pause discursive. -Ordre : chronologique, avec une prolepse (ligne 17-19). 2. COMPARAISONS ET METAPHORE : (Voir feuille 1) 3. LEXIQUE : -nature, monde, de la terre. -société -de la peur (en lien avec la nature) Analyse thématique Contraste entre humanité

les yeux sur un monde qui n’est pas le leur. Ainsi, les derniers regards échangés avec sa mère et sa sœur, la dernière vision de son père ont permis a Elie de garder des images fortes de cette tragedie. Cette tragédie est aussi annoncée par des prolepses. Exemples : Les familles juives, tout comme celles d’Elie Wiesel auraient souvent eu l’occasion de s’échapper de cette horreur qui était devant leurs yeux, comme une évidance. * Moché le bedeau fournit de cette réalité encore inconnue

pas prendre trop de jours de congé. Le discours rapporté (« Ce n’est pas ma faute »), au style direct, montre que Meursault se soucie de ne pas mécontenter son patron. En outre, ces futurs annoncent le voyage décrit par la suite, il constitue une prolepse (il annonce ce qui va se passer, contrairement à une analepse, qui raconte ce qui s’est passé, un flash-back).

retours en arrière par rapport au moment du récit. Exemple : J’écris les remarques du professeur qu’il dicte après avoir expliqué les leçons. ● Le narrateur peut aussi se projeter dans l’avenir par rapport au moment du récit. On parle cependant de prolepse. Exemple : Deux ans plus tard, les chars soviétiques entrent dans Budapest. ● Il peut aussi choisir de passer sous silence certains événements qui risquent d’ennuyer le lecteur. On parle à ce moment là de l’ellipse. ● Pour être plus fidèle à la réalité

ils ont de l’imagination et un plaisir pour écrire. Agatha Christie dans Mort sur le Nil ou encore le Couteau sur la nuque qui montre tous les deux une certaine preuve d’imagination de l’auteur. Quelques uns ont joué avec des analepse et des prolepses car ils ont un plaisir de composer avec ces figures de styles. Souvent ils les utilisent pour raconter leur enfance ou leur mémoires comme Marcel Pagnol dans la Gloire de mon père et le Château de ma mère ou aussi le Cheval d’orgueil de Pierre

monde de l'énoncé est différent du moment de l'énonciation). Donc, ancrage personnel, spatial, temporel ou distance. Paroles rapportées (ou mode de discours rapporté : discours direct, indirect, indirect libre Ruptures temporelles : analepse, prolepse, pause, scène, sommaire, ralenti, ellipse (implicite), digression. Le traitement du temps donne le rythme (durée, temporalité). Ou ordre chronologique (= diachronique). Un récit peut commencer in medias res (c'est-à-dire au milieu de l'action). Dans

les deux navires. On note ensuite une deuxième ligne, moins importante. Elle part du bateau à gauche dans l'arrière plan et revient sur le bateau principal. Le navire au fond commence déjà à sombrer sur le tableau. Il agit ainsi comme une sorte de prolepse qui annoncerai le destin inévitable de l'autre bateau. Il ne faut pas oublier non plus la ligne d'horizon, qui dans un premier temps peut se confondre avec la ligne qui lie les deux gréements. L'horizon ne laisse apercevoir aucune terre, aucun signe