Prolepse

cette description indirecte des personnages, l’action est mise au second plan. Elle est d’abord située par rapport à l’énonciation. Le retour en arrière et la projection dans l’avenir des vers 40 à 64, placent l’action dans un cadre déterminé. Cette prolepse et cette analepse sont introduites par des connecteurs temporels : «quand Mélénas», «d’abord». Enfin, l’introduction de ce retour en arrière est faite pas un passé simple : «tu vis naitre», action brève, soudaine qui marque la coupure avec le paragraphe

couvent par ses parents: «c'est malgré elle qu'on l'envoyait au couvent » (l,19). Le registre pathétique utilisé : «cruel » (l), « coup mortel » (l), montre que le narrateur considère cela comme coup terrible de la fatalité. A la fin du texte, la prolepse « Son penchant au plaisir […] qui a causé dans la suite, tous ses malheurs et les miens » (l.20) confirme au lecteur que l’histoire n’a pas une fin heureuse et que l’amour de Des Grieux va lui apporter plus de souffrances que de plaisirs. On se

différents pour analyser le texte : Roman : narrateur et focalisation, alternance entre description et narration, fonctions de la description, types de discours (direct ou indirect), marqueurs temporels et traitement du temps (par exemple analepses et prolepses) etc. Poème : types et agencement des vers, jeux rythmiques et sonores, images etc. Théâtre : longueur et nombre des répliques, didascalies, jeux de scène, nombre et identité des personnages etc. Texte argumentatif : thèse, arguments, forme (essai/dialogue/apologue)

TEXTE 9 : la comédie sociale refusée dans l'extrait étudié. I)Une éducation projetée et conforme (De «  Demain (…) à « dans les salons »)II) Une nouvelle éducation revendiquée (« Je m'en irritais » (…) « mondaines )Elémts intro : Dans cette œuvre autobiographique, Simone de Beauvoir raconte son enfance dans une famille bourgeoise désargentée, sa difficulté à s'adapter aux attentes de son milieu, puis son émancipation par les études. 1908-1986, philosophe, romancière, mémorialiste, essayisteVocabulaire :

la Reine Noire est toujours d'actualité, existe encore. Les autres parties du texte sont quant à elles, écrites soit au passé soit au futur, comme si l'on était jamais au moment présent. On a ainsi de nombreux retours en arrière et de nombreuses prolepses. Ce roman est le récit de trois voix, de trois rêves différents qui n'aboutiront pas, il s'agit donc un roman de l'échec puisque Geoffroy n'a pas pu aller jusqu'au bout de ses recherches. Maou, elle, n'a pas réussi à s'intégrer dans cette communauté

rencontre est-elle à la fois romantique et réaliste ? Premièrement je vais expliquer en quoi ce texte est réaliste puis dans une seconde partie, pourquoi il est également romantique. Dans un premier temps, je remarque que cet extrait a un effet prolepse, c’est-à-dire qu’il énonce une évènement déjà passé, je cite « tout à coup je rencontrai la femme qui devait » (l.1). Donc dès la première phrase, le narrateur nous plonge directement au cœur de son aventure. Cet extrait est également marqué par

agressif et dominateur ; Elève vive et indépendante à apathique et dominée), avec antithèses et gradation aggravement état de l’Elève ; dénouement sanglant (« geste final ») et tragique (destin inexorable : « bien entendu », « évidemment »). => prolepse, procédé romanesque ; dc didascalies rédigées comme un roman ; scission lecteur/spectateur, angle de lecture.  3. Banalité de la conversation * Répétitions, formes redondantes : premières répliques de l’Elève. * Lieux communs : météo,

introduire un va-et-vient entre le passé et le présent). -L’ORDRE DU RÉCIT : le récit peut être linéaire (il respecte l’ordre dans lequel se succèdent les événements). Il peut effectuer des analepses (il raconte des événements à venir) ou des prolepses (il revient sur des événements passés : flashbacks). -LA VITESSE DU RÉCIT : elle détermine son rythme. Une scène mime l’événement raconté (la durée de la narration est équivalente à la durée de l’événement raconté). Une ellipse passe sous silence

détache pas de ses certitudes: « J'ai été fille avant toi. »(p.16) 3)Une tragédie moderne. a) Une tragédie qui respecte les codes de la tragédie antique: -la présence de choeur (personnage typique de la tragédie antique) -la présence de prolepse: on nous annonce par avance la mort d'Antigone; « pourquoi ton lit était-il froid quand je suis venue te border? »(p.20) La mort d'Antigone est inévitable. b)Une tragédie moderne. -Présence d'anachronismes : mention de la « carte postale »(p

j’aborde premièrement à sa structure temporelle. Normalement, l’histoire avance quand le temps avance. C’est bien le cas d’Extension du domaine de la lutte. Il raconte le récit selon l’ordre chronologique des évènements. Mais il y existe aussi des prolepses. En décrivant l’histoire selon l’axe du temps général, l’auteur nous présente quelque fois l’histoire du héros du passé et ses pensées. Proprement dire, Ce roman se divise en trois parties, la première décrit l’histoire du héros avant son déplacement :