Prolepse

craintes de début de carrière, mes incertitudes, mon manque de confiance » (p. 14). Dès lors, malgré la resistance des élèves au début, elle persévère dans son objectif de redonner à sa communauté en aidant ses éleves à realiser leur plein potentiel. La prolepse suivante montre les difficultés traversés par la narratrice pour gagner son combat : « C’était avnt. Avant les absences […][,] la révolte[..]. Avant de tomber dans le vide. » (p. 14). Malgré de nombreuses révoltes et rebellions de ses élèves, elle

Manon, elle subit l’action, c’est une victime dans son propos. Renvoie aussi à la cond° des femmes à cette époque, ce sont les parents puis le mari qui décident pour elles. « qui a a causé dans la suite tous ses malheurs et les miens » Prolepse = annonce du récit à venir. Adj indéfini (hyperbole) +GN pluriel Récit éclairée par le regard rétrospectif du narrateur qui sait ce qui va se passer cad l’ensemble des évènement tragiques. → C’est un coup de foudre de Des Grieux qui unit

différents pour analyser le texte : Roman : narrateur et focalisation, alternance entre description et narration, fonctions de la description, types de discours (direct ou indirect), marqueurs temporels et traitement du temps (par exemple analepses et prolepses) etc. Poème : types et agencement des vers, jeux rythmiques et sonores, images etc. Théâtre : longueur et nombre des répliques, didascalies, jeux de scène, nombre et identité des personnages etc. Texte argumentatif : thèse, arguments, forme (essai/dialogue/apologue)

EL : PrologueIntro :C’est un extrait tiré de l’ouvrage juste la fin du monde : une pièce de théâtre écrite par Jean Luc Lagarce en 1990. Jean Luc Lagarce est un comédien, metteur en scène, directeur de troupe et dramaturge français de la fin du 20ème siècle. C’est aujourd’hui l’un des auteurs contemporains les plus joués en France. L’œuvre juste la fin du monde met en scène Louis, un jeune homme lettré de 32 ans qui retourne dans sa banale petite ville dont il est originaire pour annoncer à sa famille

une personne, etc ( adj démonsratif par ex) Pléonasme : répétition oiseuse (=inutile) de termes Eponyme : qualifie une œuvre dont le titre est le même que le nom de l’auteur (un personnage éponyme) Analepse : retour en arrière dans un récit Prolepse : anticipation dans un récit Hypocoristique : adjectif qui sert à exprimer une attitude affectueuse Thèse : idée principale défendue par l’auteur Implicite : qui n’est pas clairement exprimé Thèse réfutée :opinion rejeté par l’auteur Raisonnement

pour analyser le texte : Roman : narrateur et focalisation, alternance entre description et narration, fonctions de la description, types de discours (direct ou indirect), marqueurs temporels et traitement du temps (par exemple analepses et prolepses) etc. Poème : types et agencement des vers, jeux rythmiques et sonores, images etc. Théâtre : longueur et nombre des répliques, didascalies, jeux de scène, nombre et identité des personnages etc. Texte argumentatif : thèse, arguments

misère et perd tout. La niche Sous un escalier, seulement «meublé» de paille Gervaise est réduite à la misère la plus totale ; elle en est à la fin de sa vie. La structure du récit Repérez Procédés du roman Repérage fonction Analepse Prolepse Répétition Mythe (transformation de l’alambic) Chapitre 2 L'alambic devient une machine terrifiante capable de noyer tout Paris.

discours est tragicomique.Dans la dernière partie, le ton est pathétique lorsqu’il exprime sa peur et sa souffrance en appelant Isabelle. 2 - La description vivante de sa mort - présent de vérité et de description > il assiste à son exécution (prolepse)- Rêve et cauchemar éveillé (vers 1278,1279 et 1281)- Opposition entre la vie et la mort (vers 1262)- Vers 1262, il pense qu’Adraste se venge même après sa mort.- Opposition singulier (Clindor) et pluriel (Afraste + bourreaux + spectateurs) = Clindor

I) La représentation de la femme dans le poème Ronsard fait une projection dans l'avenir (Prolepse) et représente la belle et jeune Hélène chez elle à la fin de sa vie (Exemple : Emploi du futur au vers 1 et 11) a) Le cadre spatio-temporel Le cadre de la scène est celui de l'intimité domestique "a la chandelle", "auprès du feu" et "foyer". Le moment de la journée choisit est le soir. Le soir a une dimension symbolique. Il représente la fin de la vie. Le peu d'éclairage présent montre un

jouer avec la temporalité grâce à trois figures en particulier. a) L’analepse : insertion dans un récit d’un moment antérieur à celui qui fait l’objet du propos. On peut parler de retour en arrière ou de flash back. (voir définition) b) La prolepse : si l’auteur commence une histoire par la mort du personnage et que ensuite il va raconter la vie de ce personnage. c) L’ellipse narrative : elle consiste en la suppression d’éléments de l’histoire, elle lui confère un certain mystère ou lui