Productivisme

croissance va être profitable, ils ne disent que peu de choses sur ceux pour qui elle sera infructueuse. Or comme on a pu le voir, la croissance peut-être défavorable pour certains. Depuis les années 1990, on a vu réapparaitre des critiques du productivisme, c'est-à-dire de la recherche de la croissance à tout prix. Les alter-mondialistes prônent la décroissance avec au final, une réduction de la production de richesses. Aujourd'hui le développement durable semble plus d'actualité, mais ce débat n'est

les formes suivantes : 1.Une standardisation des modes de vie. – Urbanisation, salarisation : l’accumulation du capital conduit à l’extension du salariat et de l’urbanisation à l’échelle planétaire ainsi que de tout ce qui en découle (productivisme, montée de l’individualisme, civilisation de l’automobile, etc.). – La diffusion des produits manufacturés et des biens culturels standardisés qui véhiculent partout les mêmes valeurs et normes (Coca-cola, Macdonald, films docs 4 et 5) et séries

Celle-ci prend les formes suivantes : 1.Une standardisation des modes de vie. – Urbanisation, salarisation : l’accumulation du capital conduit à l’extension du salariat et de l’urbanisation à l’échelle planétaire ainsi que de tout ce qui en découle (productivisme, montée de l’individualisme, civilisation de l’automobile, etc.). – La diffusion des produits manufacturés et des biens culturels standardisés qui véhiculent partout les mêmes valeurs et normes (Coca-cola, Macdonald, films docs 4 et 5) et séries

au complexe agroalimentaire. Il faut aussi compter avec le développement important des coopératives.La mondialisation a aujourd'hui un impact sur certaines filières de l'agriculture. Deux tendances s'opposent alors : le productivisme d'un côté et le souci de l'environnement ainsi que le respect des animaux de l'autre. On peut distinguer trois ensembles régionaux caractéristique de l'agriculture intégrée aux marchés mondiaux :-

internationale prend un nouvel essor par l’intensification des marchés, des communications, des phénomènes migratoires. Cette évolution s’accompagne d’une mécanisation et d’une industrialisation dont l’idée majeure sera ce que l’on appelle : le productivisme. Le monde ouvrier issue d’entreprise semi familiale va connaitre une progression constante dans le domaine du rendement ainsi que par un nouveau système de travail lier à la notion de taylorisme. L’ensemble des sociétés vont croitre rapidement

de l’exécution en remplaçant les bonnes vieilles méthodes empiriques (acquises par l’expérience) qui prévalent jusqu’alors dans les ateliers - augmenter la productivité en entraînant les ouvriers à atteindre leur plus haut degré d’efficacité (productivisme) THE ONE BEST WAY - briser les résistances ouvrières par une nouvelle manière de gouverner les Hommes (individualisme). La direction se rend maître des modes opératoires, mais pour les appliquer et s’assurer que les salariés exécutent de travail

questions techniques et pas sur les enjeux (comme l’investissement à produire ou les agrandissements).  plus d’intensification des taches qui conduit à l’hypersolicitation. B. Une quête d’adaptabilité. Doc 12 p105 : 1. Le nouveau productivisme : (à compléter) 2. Dans le but d’être au plus près de la demande, flexibilité importante (modifier la quantité produite, type de produit) -> pour avoir le moins d’invendu possible. Les E de sous-traitance permettent de gérer la quantité

instaure un rapport utilitaire au monde. Notre contact à la nature et à la société est médiatisé par d'innombrables dispositifs techniques (aujourd'hui, par exemple, la télévision et le cellulaire). Et face à l'alliance du credo techniciste et du productivisme, qui courbe dans l'urgence les esprits vers la performance et le pragmatisme, la pensée méditante et la contemplation esthétique font parfois figure d'actes de résistance… C. Technique et responsabilité : maîtriser notre maîtrise

développement ». Nous récusons une telle vision, bien trop normative à nos yeux. Nous pensons, d'une part, que l'Occident a beaucoup à apprendre des autres cultures et sociétés, en particulier à l'heure où nous savons que le consumérisme et le productivisme occidental sont la cause principale du désastre écologique accéléré. D'autre part, nous croyons que, si espoir de « développement » il y a, il est entre les mains de ces multitudes de groupes de plus en plus nombreux mais souvent invisibles, qui

d’imposer des normes qui du point de vue des émergents freineraient leur croissance (émissions de carbone…). Et même entre pays développés les points de vue sont divergents. Les Etats Unis malgré la volonté de Barack Obama, restent attachés à un productivisme source de croissance pour eux (question des gaz de schiste). La gouvernance économique est passée du G8 au G20. Même si ces pays représentent les 2/3 de l’économie mondiale, ils ne peuvent pas imposer leurs décisions. D’autant plus que leurs intérêts