Productivisme

Début d'application du taylorisme début du XXème siècle (ex : abattoirs de Chicago, Détroit en 1909 par Henry Ford, Renault en 1912). L'introduction du taylorisme symbolise deux grands thèmes économiques du XXème siècle : croissance intensive et productivisme. B. Processus de concentration industrielle et financière Passage du capitalisme individuel (début de l'industrialisation) à un capitalisme de grands groupes capables eux-seuls de mobiliser des moyens humains et financiers. Subsistance des petites

environnementale, de protection de la santé … José Bové s’inscrit dans cette perspective en suscitant la résistance à la « malbouffe ». Cet agriculteurest devenu un des leaders de la résistance à l’extension de la logique marchande et du productivisme qu’elle suppose, et tire sa légitimité de son statut d'agriculteur du Larzac. La malbouffe est le nom péjoratif donné par les écologistes et les altermondialistes, entre autres, à un certain type d'alimentation avec peu de choix, un goût

la singularité du sujet proposé, sans ignorer sa dimension politique. Il est important de tenir compte de la nature, et de la fonction des mots constituant le sujet posé. Il apparaît important d’éviter d’en rester à la dénonciation vertueuse du productivisme mercantile en oubliant que les avancées scientifiques et technologiques ont aussi développé le champ de la liberté de l’homme, et ont pu avoir une certaine vertu civilisatrice. Il s’agit donc de mettre en évidence les difficultés d’une prise de

grande ampleur Force est de constater que les managers, confrontés à une crise qu’ils n’ont pu anticiper en 2008, ont par conséquent modifié certaines de leurs pratiques managériales. Résultat d’une financiarisation à outrance et d’exigences de productivisme toujours plus grandes, la crise a mis en exergue les dysfonctionnements de l’économie. Directement exposées au retournement des marchés, les premières entreprises touchées furent les banques qui ont alors répondu aux failles du système par le renforcement

la mesure où la recherche de croissance économique nécessite l’utilisation de ressources naturelles non renouvelables et/ou génératrices d’émission de CO2. Ainsi le réchauffement climatique serait lié aux excès de la croissance économique (du productivisme) depuis la révolution industrielle. Réponse Question 2 : Afin de lutter contre la pollution, il existe deux instruments principaux : o des instruments réglementaires : c’est-à-dire des lois, des règles, des normes qui régissent

important volume de production et une force sociale de pression sur les pouvoirs en place pour obtenir avantages fiscaux ou équipements collectifs. Les Etats-Unis favorisent les grandes entreprises. 2 Nouveaux modèles  en réaction aux excès du productivisme, dangereux pour l’équilibre écologique Un modèle moins intensif, plus respectueux de l’’environnement : produire tout autant mais avec moins d’intrants, faits d’agriculteurs expérimentés qui suivent programmation de leur assolement (cas en beauce)

chimiques et produits phytosanitaires, etc.). Par la suite, dès les années 1960-1970, les producteurs et les consommateurs ont commencé à prendre conscience de l'importance de l'environnement et c'est dans ce contexte d'opposition au productivisme agricole que l'agriculture biologique s'est développée. Elle a connu son véritable essor dans les années 1980 : accroissement du nombre de producteurs et premières initiatives significatives dans la transformation et la commercialisation de

sélection. [pic] Rodtchenko, L’escalier, 1930, utilisation de l’escalier comme représentation graphique, oblique. Même quand la photo par son cadrage est presque abstraite, on est obligé de dire « ça a été », troublant. Donne naissance au productivisme, mouvement soviétique qui pense que les arts plastiques n’ont plus lieu d’être dans une société révolutionnaire, mais doivent être au service de la production : arts appliqués. Bauhaus, 1919, école d’arts appliqués, à la fois productrice et créatrice

d’André Gorz, 1977, Écologie et liberté, Éditions Galilée. Enfin ce cours étudiera directement ou de manière transversale les questions du développement durable, de la croissance verte, du green new deal, et les critiques de la croissance et du productivisme, notamment à partir de l’ouvrage de Tim Jackson, Prospérité sans croissance, cité en bibliographie. 2 Catherine Larrère, «Question d’éthique environnemtale», Les grands dossiers des sciences humaines, 2006, n°2, p.87. BIBLIOGRAPHIE Les

réorganisé à partir d’une exigence de réactivité, de souplesse et de flexibilité. Les préceptes du taylorisme et de l’OST n’y suffisent plus. L’organisation des entreprises s’est radicalement transformée en un « productivisme réactif », qui s’est substitué au taylorisme. Ce nouveau productivisme engendre un enrichissement certain du travail par l’intellectualisation, la polyvalence, ou la mise en responsabilité des travailleurs qu’il propose, mais ses effets sont d’une autre nature. En plus des méfaits