Productivisme

divers vers le milieu marin. Les littoraux sont souvent à l' exutoire des eaux douces issues des bassins versants. Pour nourrir une population toujours plus nombreuse et gagner des parts de marché , la filière agricole bretonne a fait le choix du productivisme dans les années 1960. Les résultats sont certes spectaculaires en termes de performance productive mais on commence aussi à mieux cerner les effets secondaires provoqués par le recours sans doute excessif à une fertilisation chimique des sols responsable

Comte est lier a Saint Simon, il était son secrétaire. Saint Simon croit au libéralisme , il est le fondateur de la sociologie utopique contre les libéraux et les conservateurs. Il est pour une organisation politique. Il est le père fondateur du productivisme. Dans la société, il y a les frelons et les abeilles (ouvriers, producteurs). La société idéal serait celle où le pouvoir appartient à l'ensemble des producteurs et la richesse serait redistribuer entre eux. Saint Simon est allé jusqu'à écrire

inquiétudes de la planète. Mais elle suscite de très nombreux débats. Certains refusent cette notion car elle ne remet pas vraiment en question les modèles de développement économique actuels, caractérisés par la course à la production, le productivisme (agriculture), l’intégration à la sphère marchande d’un nombre toujours plus grand d’objets et d’activités. Pour eux, il est illusoire de penser que la poursuite de la croissance aille dans le sens d’une protection de l’environnement. Ils critiquent

doivent être « réparées », normalisées. © Handicap International juin 2007 Photo : ministère des martyrs en Afghanistan Sur le plan économique, la montée en puissance de la « science » peut aller de pair avec l’industrialisation et le productivisme qui excluent les personnes handicapées du travail (contrairement aux travaux agricoles). Ce mouvement a commencé lorsque les Etats se sont sentis responsables de la situation des mutilés, blessés ou invalides de guerre à la suite des 2 guerres

économique.  Le défi du développement durable L'Europe est un « gros pollueur » ( mais moins que la Chine et les USA ) et a donc mis en place une réforme de la PAC ( Politique Agricole Commune) avec un souci environnemental pour sortir du productivisme ( produire plus à tout prix ) car cela avait un coût environnemental fort. Avec cette réforme, la priorité est de respecter les normes en matières d'environnement, de sécurité alimentaire et de bien être des animaux. Il y a aussi des nouveaux défis

Vauban : établit les bases de la comptabilité en France (1er recensements)  développement de l’économie empirique (basée sur des faits) III- Puissance de l’Etat et protectionnisme Le fond commun du mercantilisme est : le métallisme, le productivisme et le nationalisme. a- Les métaux précieux au fondement de la puissance de l’Etat Selon les mercantilismes, la richesse dépendant de l’accumulation d’or et d’argent. Un état riche se devait d’accumuler les lingots (« bullion ») => bullionisme

(organisation) : amélioration de la productivité de la filière, transition avec la production agro-alimentaire, mission étendues ensuite.   2 traits dominants : → Productivisme → Protectionnisme Mais autosuffisance alimentaire atteinte avant la réforme de 1972.   3) Aberrations de la PAC et paradoxe du progrès Productivisme = abondance de l’offre = baisse des prix… Mais demande peu évolutive, concentration des centrales d’achat…   D’où : → Baisse des revenus des agriculteurs

A) La diversité des risques technologiques : Certains risques sont directement liés aux activités agricoles et industrielles. Dans l'Ouest de la France l'eau potable vient à manquer car les traitements chimiques induits par le productivisme agricole polluent durablement les nappes phréatiques. Les activités industrielles génèrent également des risques. En 1976 à Seveso en italie , une usine chimique a laissé échapper des vapeurs de dioxine dans l'atmosphère qui ont eu de graves conséquences

les pays pauvres. Elle n’est pas si difficile à résoudre. On pourrait supprimer la production d’armes, abolir les dépenses de publicité, renoncer à quantité de fabrications, d’activités et de transports inutiles. Mais cela irait à l’encontre du productivisme capitaliste, de la course au profit qui nécessite la croissance. Alors que les émissions mondiales doivent diminuer de 80% au moins d’ici 2050, alors que les pays développés sont responsables de plus de 70% du réchauffement, la seule mesure

de constituer un empire économique qui laverait le Japon de sa défaite lors de la deuxième guerre mondiale. De fait l’organisation est complexe et ambiguë reposant sur le consensus (ringi-sho) et le respect total de la hiérarchie tourné vers le productivisme. Comment une jeune diplômée, fille de diplomate, peut-elle ignorer ce contexte et cette évolution? Comment peut-elle commettre, pages après pages, autant de maladresses ? Pour elle, tout Nippon se retrouve alors «parmi des milliers, à la fois esclave