Productivisme

doctrine exaltant les capacités ouvrières , le stakhanovisme,(véritable doctrine de propagande) l’économie soviétique a réussi à se redresser en axant sa reconstruction sur les secteurs militaires et l’industrie, lourde particulièrement. Mais ce productivisme extrême voulu par Staline afin de combler son retard a des conséquences néfastes : contrôle draconien du travail, réquisition de l’or des ouvriers, inflation généralisée. 2) Sous Khrouchtchev (1953-1964) La mort

sommes soulagés, notamment pour toute l’industrie qui n’aurait pas supporté ce nouveau handicap de compétitivité. » (source: Medef) 2. Pour les adeptes de la décroissance, la préservation de l’environnement passe par la fin du consumérisme et du productivisme.(voir notre article à ce sujet) II. Pourtant croissance économique et DD peuvent aller de pair A. La croissance économique rend possible le DD 1. D’un point de vue social, la hausse des revenus distribués (salaires) et des montants de

représente la moitié de l’agriculture française. L’autre moitié est basée sur la polyculture dans des régions agricoles en déclin = déprise : grosse hypothèque sur leur passé. -Les transformations des paysages : deux objectifs contradictoires : productivisme (paysage openfield pour gain de temps et d’espace) et respect de l’environnement (retour au bocage). Conclusion : - L’espace agricole est façonné par plusieurs acteurs (L’UE qui influence beaucoup par ses subventions, L’Etat - la région - les

rendements sont arides. .Les régions arides qui eux connaissent la diversification. .La révolution verte est à l'origine de dérive environnementale. .Utilisation d'engrais et de pesticides pollue les sols et les nappes phréatiques. .Le productivisme , entraîne l’épuisement des sols. A l'échelle mondiale , ces situations peuvent être aussi observer. Et cela montre que la capacité a se nourrir dépend souvent de la capacité a produire. 3)L'échelle de développement locale. L'échelle

n’est pas assuré . Il n’en est pas trop tard. Une troisième voie, étroite mais désirable, empruntant à la démocratie la possibilité de changements radicaux négociés peut nous conduire à un monde qui renonce à la démesure et à l’illimitation du productivisme, un monde fondé sur les valeurs de solidarité entre les humains et de responsabilité vis-à-vis de la planète, un monde « soutenable ». Pour emprunter ce troisième chemin, c’est à une modification de notre second postulat qu’il nous faut procéder

l’environnement est bien entendu connu de tous, mais ses méfaits concernant les aspects sociaux, culturels et démocratiques sont loin d’être négligeables. Ces 4 crises remettent en cause, comme jamais, le dogme de la croissance économique sans limite et le productivisme qui l’accompagne. Elles révèlent également l’inefficacité flagrante, pour les résoudre, du « développement durable ». Mais au-delà de ces aspects économiques, physiques, biologiques, sociologiques et politiques, se profile en réalité une crise

de l’Informatique et de la Communication, toujours dans l’optique de satisfaire une demande qui, avec la mondialisation et le « rétrécissement du monde », accentue ses exigences de délais pour viser l’instantanéité de l’offre. Cette notion de productivisme réactif s’illustre avec l’exemple de l’entreprise Zara qui communique quotidiennement l’évolution de ses stocks, fréquemment renouvelés, sur son propre site internet et adapte en temps réel sa production aux marchés internationaux grâce à l’achat

l'épuisement progressif des vertus du « fordisme », apparaît surtout comme une justification des progrès accomplis face aux critiques de la vague de 1968, à la remise en cause de la société de consommation, voire à la contestation d'une certaine forme de productivisme importante dans les années 1960. Mais, dans une conclusion modeste au regard de l'hymne au progrès matériel que constitue l'ouvrage, Fourastié perçoit des faiblesses qui à ses yeux sont importantes : coûts salariaux trop élevés, productivité insuffisante

ou 20 %, y compris dans les plus grandes villes, dont Paris. Au début ces mouvements, qui aspiraient à une profonde remise en question de la société, ne se prononçaient (donc) pas pour la gauche ou la droite, toutes deux assez marquées par le productivisme et un certain conservatisme au niveau des questions environnementales. Jean Jacob repère dans un premier temps une opposition entre un « naturalisme subversif » qui se développe autour de Brice Lalonde et un « naturalisme conservateur » incarné

des ressources, émission des déchets empreinte écologique * Problèmes liés à la société de consommation = dépendance aux objets, frustration, matérialisme à outrance… * Problèmes liés à la détérioration des conditions de travail dus au productivisme et à la recherche de l’efficacité maximum Retour sur la relation d’agence entre l’employeur et le salarié Définition : il y a relation d’agence entre un principal (employeur) et un agent (salarié) quand le principal cherche à obtenir quelque