Note de synthèse
UV CCE105 Le 21 décembre 2009
Depuis les premières découvertes sur l’état de santé de la couche d’Ozone, chacun a pris conscience que la planète tout entière courrait un très grand danger, pas seulement les nations industrialisées dans lesquelles la pollution fait partie intégrante du paysage, mais aussi, les pays en voix de développement qui, malgré eux, car non pollueurs, sont amenés à disparaître de l’univers.
Nous verrons comment, à dix jours du sommet de Copenhague, Scientifiques, politiques et chefs d’états, même s’ils s’accordent tous sur la nécessité de réduire les émissions des gaz à effet de serre, parviendront-ils pour autant à un accord ?
L’état d’urgence est déclaré : mettre tout en œuvre pour sauver la planète
La préparation du sommet de Copenhague
Après le traité de KYOTO élaboré en 1997, ratifié par la plus part des pays industrialisés sauf les USA et entré en vigueur en 2005, la communauté internationale prépare l’ultime réunion pour tenter de convaincre l’ensemble des pays à s’engager dans la lutte contre le réchauffement climatique par la conclusion d’un accord global.
Depuis la conférence de BALI et le G20 en Italie en juillet dernier, l’objectif avait été fixé à l’unanimité et les pays industrialisés se sont engagés à diminuer le réchauffement de la terre de 2°C d’ici 2015 et de 50% d’ici 2050.
Donc trois rendez-vous majeurs ont été programmés avec l’ensemble des nations pour préparer ce nouveau sommet de Copenhague, l’un à Bonn, Bangkok et enfin Barcelone dont l’enjeu est de renforcer et d’élargir les mesures prises par les pays industrialisés, en amenant les Etats-Unis et les grands pays émergents à s’engager sur cette voie.
En parallèle à ces réunions, la France, considéré comme le Leader de l’écologie, représentée par Jean-Louis BORLOO qui part en pèlerinage pour sensibiliser et proposer des solutions aux pays en voie de