Processus De Gestion Des Demandes De Location

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Contrôle de gestion chez Sernam ------------------------------------------------- Table des matières INTRODUCTION 1.1. Cadre spatio-temporel. 1.2. Bref aperçu du groupe Sernam 1.3. Motivations Problématique et objectifs du rapport Annonce de plan PARTIE 1 : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DU SECTEUR TRANSPORT ET LOGISTIQUE 1. Le groupe Sernam 1.1. Historique 1.2

Aurélien Neyret 3 Rapport de stage de seconde année, spécialité International Business Gestion Des Conteneurs Reefers Sur La Zone ASIA-OCEANIE Tuteur Entreprise : Mr François Lelièvre Ecole Supérieur de Commerce de Chambéry Savoie Stage Seconde année Mai-Août 2011 Remerciements : Je tenais à remercier dans un premier temps mon école qui m’a apporté du soutien et de l’aide lors de mes recherches de stage et de son élaboration. Ensuite, je tenais à remercier tout particulièrement

effectué ma période de formation dans le cadre de mon baccalauréat professionnel Secrétariat, à ...(voir présentation de l'organisme p. 3) qui se situe au ... C'est une filiale de l'organisme ... qui se trouve au ... J'ai choisi le thème de la gestion locative car en tant qu’activité principale de ..., elle permet de participer à différentes tâches et d’être en relation avec les locataires. Ce thème m'a attirée car j'ai eu l'occasion : ( D'accueillir des locataires ; ( De

: 2008 - 2009 Sommaire Introduction …………………………………………………………………………………………………………………………………….3 I.les produits de placements …………………………………………………………………………………………………………...4 A- La gestion des portefeuilles …………………………………………………………………………………………………….….4 1-Définition …………………………………………………………………………………………………………………………………....4 2-Gestion d’un portefeuille ………………………………………………………………………………………………………….…4 B- Les crédits accordés aux entreprises …………………………………………………………………………………………..5 1- Les crédits de fonctionnement

| | |INTITULÉ DU PROJET : Comment améliorer son positionnement par un nouveau mode de commercialisation ( création d’un service de location pour bijoux) ? | |DATES DE RÉALISATION : du 10 Novembre 2008 au 07 avril 2009 | |

d'études Supérieures en Gestion Suji6iIeur" Comjilibl~ di lIMque et de FIIaIce (lSCBF1 ES C MIISIIIr PtUiLSsiomel en '-ii4~1é et GeSllon FII..w:Ike (MPCGF) AG Promotion 1 (2007-2008) IB -B Mémoire de fin d'étude O LI T1ŒME EQ TH ANALYSE DU PROCESSUS DE RECOUVREMENT DES CREANCES A LA SOCIETE DE PROMOTION ET DE GESTION IMMOBILIERE (SO.PRO.GI) EN REPUBLIQUE DU CONGO E U Présenté par : Jeon Médatd,KAMA _IN ~par: AJrxis /COI/ASSI Sous -Directeur du Contrôle de Gestion au CESAG M0007MPCGF09

dernier stade de la production. Il se peut que la production conjointe de deux produits coûte moins cher que leur production disjointe. Ainsi plusieurs unités de production peuvent économiser des coûts en partageant un même service financier ou de gestion du personnel. Des Entreprises vont donc s’associer pour la réalisation des étapes antérieures de la production et ce afin d’économiser des frais. CAS TOYOTA : Alliance Toyota/PSA Peugeot-Citroën. Les deux groupes ont décidé d’investir ensemble 1.5

d’être et les avantages de la comptabilisation des immobilisations corporelles, les considérations liées à la mise en œuvre, les exigences comptables ultérieures, et la façon dont ces informations peuvent être associées aux pratiques usuelles de gestion des immobilisations.» Kent Kirkpatrick, Directeur municipal, Ville d’Ottawa Guide de comptabilisation et de présentation des immobilisations corporelles Indications à l’intention des Administrations locales et des entités des Administrations

CONCOURS FINANCIERS ALLOUÉS PAR LE FMI VI. LE RÔLE DU FMI DANS L’ÉVOLUTION DE L’ÉCONOMIE MONDIALE 1. L’immédiat après-guerre. 2. Les désordres monétaires des années 1970. 3. Les années 1980 : la gestion de la dette 4.  Les années 1990 : les institutions financières internationales sous les feux de la critique C. Les Critiques adressés à la Banque Mondiale et le FMI 1 Critiques des institutions financières internationales

.......................28 I-3.LE RISQUE DE PERTE :..........................................................................................................................28 II. LES REGLES PRUDENTIELLES EXIGEES PAR BANQUE AL MAGHREB DANS LA GESTION DU RISQUE DE CREDIT :------------------------------------------------------------------------------------------------------ 29 III. CAPACITE D’UN ETABLISSEMENT A SUPPORTER LES RISQUES ENCOURUS : -------------------- 30 III-1LE COEFFICIENT DE