Prix Hugo du meilleur roman

littérature grecques. En 1874, Wilde obtient une bourse pour étudier au Magdalen College d'Oxford où il passe quatre années, et subit l'influence de la vision artistique de John Ruskin et de l'hédonisme esthétique de Walter Pater. En 1878, il remporte le prix de poésie de Newdigate avec Ravenne (Ravenna); plus tard, cette même année, il visite la Grèce avec Mahaffy. Il s'installe à Londres, et se rend rapidement célèbre par ses traits d'esprit et ses excentricités, tant dans sa manière de se vêtir que dans

n'ont pas fait ça pour me faire souffrir... mais ils ne savaient pas quoi faire. Ils n'ont pas fait ça pour me détruire, ils ont fait ça pour me sauver. » Bien des années plus tard, l’écrivain puisera dans cette expérience pénible le matériau de son roman Veronika décide de mourir. Pour faire plaisir à ses parents, Paulo décide de suivre des études de droit et met de côté son rêve de devenir écrivain. Mais il abandonne tout un an plus tard. Les années 1960 voient l’explosion internationale du mouvement

PLAN INTRODUCTION I/ DE LA QUERELLE DES ANCIENS ET DES MODERNES A LA NOUVELLE CRITIQUE I.1.1. du théâtre classique au théâtre romantique I.1.2. La Préface de Cromwell et la théorie du drame romantique I.1.3. Le théâtre de Victor Hugo ; une illustration de l’esthétique moderne I.1.4. La critique biographique et historique I.1.5. La critique biographique de Sainte-Beuve, ses adeptes et ses adversaires I.1.6. La critique historique d’Hippolyte Taine La Nouvelle critique et ses trois courants principaux

Lecture analytique Madame Bovary Flaubert A) L’auteur et l’œuvre Madame Bovary est un roman de Flaubert publié en 1857. Dans ce roman, qui fit l’objet d’un procès pour immoralité à sa parution, Flaubert dépeint un univers provincial étriqué et médiocre. Emma Bovary, l’héroïne du roman, intoxiquée par ses lectures romanesques et romantiques, se sent à l’étroit dans sa vie. Elle n’aime plus son mari Charles. B) Les éléments essentiels pour l’analyse du texte Il s’agit d’un PORTRAIT, celui de Charles

petite bourgeoisie. Enfance paisible. À 3 ans, sa famille et lui déménagent sur Paris. À 11 ans, il passe d’interne au collège Louis-le-Grand à externe au collège Charlemagne car il ne supportait pas l’internat. Il y rencontre Gérard de Nerval, son meilleur ami, celui qu’il le fera entrer dans les milieux littéraires. Il fréquente aussi les ateliers de peintres, mais surtout celui du peintre Rioult, qui l’initiera « à l’art et au beau ». * Vie sentimentale Il a eu beaucoup d’aventures. Mais

Des Mythes littéraires   Objets d'étude : Le personnage de roman - Les réécritures.  SOMMAIRE Don QuichotteFaustDon JuanRobinson CrusoéLe détectiveLe robotLe monstreLa ville.     e mythe est inséparable de la production littéraire. On pense d'abord aux traditions mythologiques inlassablement revisitées par les grands genres de la littérature, qui tissent ainsi, en un vaste intertexte, une trame universelle de motifs (thèmes, lieux, personnages...). On parle alors de mythes littérarisés. Mais

amoureuse (d'ailleurs, le terme romantique au départ veut dire « amoureux ». Mais le romantisme évoque aussi le début du registre fantastique. En effet, dans La Morte amoureuse, Théophile Gautier met en scène un vampire. On peut aussi parlé des romans gothiques qui marient hallucination et fantastique. Pour les poètes et les artistes de l'époque, ces nouveaux thèmes leur permettaient d'atteindre le véritable noyau du romantisme: les sentiments et expressions personnels. Hommes et femmes étaient

jamais que des extraits divers de la nature. »3 Quant à Flaubert, il suffirait de citer la célèbre phrase sur le livre sur rien comme le programme le plus radical de renonciation. Dans sa lettre à Louise Colet du 16 janvier 1852, il avoue son rêve d’un roman qui n’aurait presque pas de sujet : « Ce qui me semble beau, ce que je voudrais faire, c’est un livre sur rien, sans attache extérieure, qui se tiendrait lui-même par la force interne de son style… »4 Cet idéal dépasse même le souhait de Flaubert pour

est un roman naturaliste d'Émile Zola publié en 1890, le dix-septième volume de la série Les Rougon-Macquart. L'histoire évoque le monde du chemin de fer et se déroule tout au long de la ligne Paris-Le Havre. On a coutume de dire qu'elle comporte deux héros : d'une part le mécanicien Jacques Lantier et de l'autre sa locomotive, la Lison, que Lantier aime plus qu'une femme. Outre son aspect documentaire, La Bête humaine est un roman noir, sorte de thriller du XIXe siècle ; c'est aussi un roman sur l'hérédité

Certains, comme Victor Hugo dans Mors ou même Paul Fort avec sa Complainte du petit cheval blanc, considèrent la mort comme une fatalité, quelque chose d'inévitable. Mais cette fin peut arriver de plusieurs manières différentes : le meurtre dans La mort du Loup et dans les Strophes pour se souvenir est une des plus horribles. Vient ensuite l'Épitaphe de Gérard de Nerval, qui montre que la mort n'attend pas et qu'il n'y a pas de retour en arrière possible. Quant à Hugo et Malherbe, à travers Demain