Prison Saint-Lazare

Abbé Prévost, 1731 Explication N°1 « La rencontre entre Des Grieux et Manon Lescaux » de « J’avais marqué le temps de mon départ d’Amiens » à « et qui a causé dans la suite tous ses malheurs et les miens ». Explication N°2 « L’évasion de Saint Lazare » de « j’aperçus les clés qui étaient sur sa table » à « pour moi, je m’y emploiera jusqu’à ma vie ». Explication N°3 « La mort de Manon » de « N’exigez point de moi que je vous décrive mes sentiments » à « j’attendis la mort avec impatience

l'auteur s'inspire de la déportation, en 1719, de 180 filles de la prison Saint-Martin et de la Salpêtrière vers La Nouvelle- Orléans. 2. Le réalisme sociologique : a) La vie quotidienne. Les noms propres sont vraisemblables, certains sont même réduits à une initiale comme si l'auteur voulait masquer leur identité (ce qui suppose que ces personnages ont existé). Les transports, les domestiques, les armes… b) Une société de classe : Les prisons – la différence de traitement, pour Des Grieux et Manon (différence

notre chambre avec une demi-douzaine de gardes. » Le père supérieur de St-Lazare ; « Deux choses m’étonnent : l’une, comment, avec de si bonnes qualités, vous avez pu vous livrer à l’excès du libertinage ; et l’autre que j’admire encore plus, comment vous recevez si volontiers mes conseils et mes instructions,après avoir vécu plusieurs années dans l’habitude du désordre. » A Tiberge, venu le retrouver à St-Lazare : « Ce n’est pas à vos yeux, cher ami, lui dis-je, que je veux paraître ce

convaincre et le menaça de le dénoncer s’il ne revenait pas à la raison. Alors, l’amant, qui avait veillé à ne pas l’informer du fait que la fuite était prévue pour le petit matin, lui proposa de rencontrer sa maîtresse le lendemain à 9h. Ils partirent .A Saint-Denis, ils fraudèrent les lois de l’Église et se retrouvèrent époux. Un amour si ardent, passionné animait ces âmes. L’amant découvrit davantage Manon, il aurait été heureux pour toute vie, si elle lui eut été fidèle.Il s’installe dans un appartement

Manon et il s’aperçoit que celle-ci le trompe avec un autre homme, apparemment riche. Le jeune homme se voit retrouver par les laquais de son père et il est très vite ramener à Paris pour entrer avec son meilleur ami, Tiberge, dans le séminaire de Saint sulpice. Il y passe deux ans puis, un jour, il a la visite de Manon. Celle-ci lui explique que si elle lui a été infidèle, ce n’était que pour soustraire des sommes d’argent à son amant, afin qu’elle et le chevalier est une vie parfaite. Manon le convint

En 1717, il commence un second noviciat à La Flèche, puis s’engage à nouveau dans l’armée, cette fois comme officier. En 1721, il entre chez les bénédictins de l’abbaye de Saint-Wandrille, avant de prononcer ses vœux à l’abbaye de Jumièges et de passer sept ans dans diverses maisons de l’ordre, en Normandie. À l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, en 1727, il travaille à l’ouvrage des bénédictins, Gallia christiana. En 1728, il obtient une approbation pour les deux premiers tomes des Mémoires et aventures

convaincre et le menaça de le dénoncer s’il ne revenait pas à la raison. Alors, l’amant, qui avait veillé à ne pas l’informer du fait que la fuite était prévue pour le petit matin, lui proposa de rencontrer sa maîtresse le lendemain à 9h. Ils partirent .A Saint-Denis, ils fraudèrent les lois de l’Église et se retrouvèrent époux. Un amour si ardent, passionné animait ces âmes. L’amant découvrit davantage Manon, il aurait été heureux pour toute vie, si elle lui eut été fidèle. Il s’installe dans un appartement

Tiberge après lesquelles il semble être résolu de changer, de revenir dans le droit chemin de la religion qu’il avait emprunté. Il juge avec lucidité ses actes « je vais perdre…je le vois bien » mais cette sobriété ne lui permet pas de s’évader de la prison de sa passion, tout au contraire, elle fait accroître ses souffrances. L’amour fait le jeune homme tomber dans les excès de toute sorte. Tout d’abord, lorsqu’il comprend que sa maîtresse lui est infidèle, il est ébloui par la rage et le désespoir

malgré sa jeunesse et son manque d'expérience amoureuse. Mais Manon est envoyée par ses parents au couvent. Des Grieux et Manon s’entretiennent, ils pensent fuir à Paris où ils se marieront. Ayant trompé Tiberge, Des Grieux s’enfuit avec Manon. A Saint-Denis ils deviennent époux <<sans y avoir fait réflexion>>. A Paris, Des Grieux et Manon prennent un appartement dans la rue Vivienne : c’est le quartier favorisé des riches financiers de l’époque. Ils mènent une vie tranquille. Des

se rend à Londres, en 1787, comme secrétaire d’ambassade. À son retour, en 1790, il participe au mouvement révolutionnaire, mais reste cependant modéré, collaborant notamment à la défense de Louis XVI. Il est arrêté en mars 1794 et emprisonné à Saint-Lazare. Condamné à mort, il est guillotiné le 25 juillet 1794, deux jours avant la chute de son principal ennemi, Robespierre. Ses dernières paroles prononcées avant de monter sur l’échafaud en s’adressant au poète Jean Antoine Roucher ont été «