Pour le plaisir

L’art maniériste et le plaisirL’art maniériste et le plaisir Les humanistes du XVe et XVIe siècles, avec leur goût pour la traduction et la écrits antique, ont découvert tout un corpus littéraire sur le plaisir tournant autour de la pastorale, des thématiques bachiques, ou encore le motif du locus amoenus. En philosophie aussi, le Grec Épicure, dans La Lettre à Ménécée pose la question du plaisir. Il mentionne, parmi d’autres, les désirs naturels  : qui ne sont ni nécessaires ni vains, mais

En quoi le plaisir est-il condamnable ? Le plaisir est chez l’homme une sensation agréable. On le traduit certaines fois par du contentement, de la volupté, de la satisfaction… Il s’oppose au déplaisir, témoin d’un malaise, d’un désagrément ou d’un mécontentement. Le plaisir est généralement associé à un adjectif qui le qualifie, comme le plaisir alimentaire, professionnel, sexuel… On peut donc supposer que le but de tout homme est de jouir le plus possible des plaisirs qui s’offrent à lui ; néanmoins

INTRODUCTION Le plaisir est l’une des raisons essentielles qui motive l’adhésion à une activité, à une pratique sportive. « Les émotions incitent l’individu à poursuivre son engagement et atteindre le but ou à se désengager et à opérer la transition vers d’autres buts » (Rimé, 2005). L’investissement et l’engagement à long terme sont surtout liés à la satisfaction et au plaisir que peut avoir l’individu dans sa pratique. On peut se demander plus largement quelle est la place des émotions

Le plaisir conduit il au bonheur ? Le plaisir est une sensation de bien être, il est recherché par tous les hommes du fait que l’homme ne cesse de désirer. Le plaisir intervient quand il y a accomplissement des désirs. Etant donné que « Tout plaisir est un bien » et que seul les conséquences des plaisirs sont mauvaises. Le bonheur est différent du plaisir dans la mesure où l’homme serait en ataraxie. Il ne connaitrait aucun trouble de l’âme. Nous pouvons alors se demander si le plaisir est

trouve-t-il dans le plaisir ? Le bonheur peut être considéré comme le but de la vie humaine, seulement il est très difficile à atteindre. Kant le définit ainsi : «  le concept de bonheur est un concept indéterminé,[…] le bonheur est un idéal non de la raison mais de l’imagination ». Le bonheur est une notion subjective et dont la définition est personnelle pour Kant. Néanmoins certains philosophes comme Epicure pensent que le plaisir est un moyen d’accéder au bonheur. Le plaisir est le contraire

Que nous apprend le plaisir esthétique ? Doit-on avoir une conception absolue de la beauté mais cet absolue nous permet de nous rapporter à la beauté en soi est ce que cela nous nous arrache pas des beautés particulières mais on ne voit plus les belles choses. La beauté en soi c’est la beauté de chaque chose, point de vue universelle. Il y a une pluralité indéfinie des belles choses. Si la beauté est relative a qui est-elle relative ? Est-ce que c’est ce qui nous plonge dans une beauté rayonnante

Le bonheur n’est il qu’une succession de plaisirs ? Le bonheur a une place importante dans la vie d’un individu ; pour l’un il en a une idée précise pour l’autre plutôt vague dans le fait de lui donner un véritable sens . Faut il connaître différents plaisirs pour déterminer celui que l’on va considérer comme le bonheur ? Le bonheur évolue au travers de toutes les époques fidèle et prends le sens de la tendance qu’on va lui donner ou du moins c’est ce que l’on pourrait penser. Le bonheur

Les hommes et les animaux, dès leur naissance , cherchent le plaisir et fuient la douleur. Le plaisir dont il est question pour épicure n'est pas intellectuel. Le plaisir épicurien est celui du coprsuniquement, plaisir de la chair, plaisir du ventre : "je ne peux imaginer le bien si je supprime les plaisirs du goût, ceux de l'amour, ceux des sons, ceux des formes visibles." Tous les plaisirspeuvent être rapportés au corps. Même le plaisir de l'amitié est lié au corps puisque, pour epicure, l'ami est

67iLe plaisir absence de douleurs En s’inspirant de la physique atomiste de Démocrite : Epicure : Univers = corps + vide * Vide = nécessaire permettant le mouvement des corps. * Corps = formés d’un ensemble d’atomes, d’éléments simples, insécables et immuables (constant), * L’âme = particules abstraites dispersés dans l’agrégat du corps. L’âme et lié étroitement au corps (corporelles) / disparaitre une fois le corps se décompose. Rapport très fort entre l’atome et le sensible

culture est-elle compatible avec le plaisir et les loisirs? La question de l'alliance du docere (instruire) et du placere n'est pas récente. En témoignage Horace lui-même (I siècle après J-C) qui disait que l'utile devait être mêlé à l'agréable... Depuis il a fait de nombreux adeptes (Molière, La Fontaine, Voltaire...) Ainsi on s'interroger sur la possibilité de lier le plaisir et le divertissement avec la culture. Peut-on prendre plaisir à se cultiver? Et le plaisir ne favorise t-il pas un apprentissage