Postsynchronisation

Apports esthétiques, rythmiques et significatifs des effets spéciaux. Rythme, raccords et continuité. Postsynchronisation, doublage et mixage son. Finitions Trucages et effets spéciaux. Transferts, duplication et archivage. d. OPTION EXPLOITATION Définition et mise en œuvre des équipements d’éclairage, de prise de vue, de prise de son, de montage, de mixage, de postproduction, de postsynchronisation, en relation avec les techniques et mises en œuvre des autres options. Rédaction d’un « conducteur

images, ou de leur servir de contrepoint, en renforçant les accents émotionnels. | |Bande rythmo |Une bande calligraphiée défilant au 8e de la vitesse du film permet aux comédiens de postsynchronisation | |[pic] |d'être parfaitement synchrones avec l'image lors de l'enregistrement. | |Boite |« C’est dans la boite »

le choix des plans et les coupe sur ordinateur. Au niveau du son, le réalisateur peut choisir de garder le son direct enregistré sur le tournage ou décider de faire ré-enregistrer les voix par les acteurs eux-mêmes ou par d'autres: c'est la postsynchronisation. On enregistre aussi la musique ainsi que les bruits du film reconstitués par un bruiteur à l'aide de différents accessoires. Le film est ensuite développé pour obtenir une copie standard. Le distributeur est ensuite chargé de lancer le

aussi que la France des réalisateurs et de certains techniciens (pas tous), , à quelques exceptions près, défend jalousement “sa” conception du “son direct” comme étant la seule valable, voulant ignorer la richesse de la tradition de la postsynchronisation dans de nombreux pays, l’Italie, certes, mais aussi les pays de l’Est, le Japon, etc, l’Europe du Nord, etc....... . Autant je comprends et parfois même défend le protectionnisme économique dans le domaine de la production et de la distribution

s’est-il passé d’extraordinaire ? Révolution du parlant pour le cinéma documentaire. Phénomène très étonnant et révélateur. Il y a dans ces années une unité du corps humain dans le filmage. Avant la parole est séparée du corps. Galère de la postsynchronisation. Il a fallu 2 à 3 ans pour qu’on parvienne à régler précisément. * Les magnétophones portatifs ont révolutionné le procédé du son synchrone. Le son synchrone était une performance jusqu’alors. Même s’il y a eu des tentatives. 30 ans

du symptôme, Arte refoule les langues étrangères/[ii]. Le doublage est une atténuation : la langue de l’autre ne sera pas entendue dans toute son altérité (sa différence). Elle sera traduite, c’est-à-dire différée, sans pourtant, postsynchronisation oblige/[iii], que nous puissions percevoir l’écart. Un idiome se substitue à un autre, dans la même bouche, sur les mêmes lèvres, selon le même souffle, ou presque, par une opération qui n’est pas celle du Saint-Esprit, une opération d’annulation

de la scène, qui se fonde sur une durée réelle. Son : au moment du tournage, on peut enregistrer en son direct, en synchronisme avec l’image. Si les conditions de travail le rendent impossible, on enregistre en son témoin pour faciliter la postsynchronisation. On peut aussi enregistrer le son seul, sans chercher à le synchroniser, pour enrichir plus tard la bande son : il servira de son d’ambiance ( le fond sonore sans les dialogues), qu’on peut aussi recréer en auditorium. Le son postsynchronisé

stratégie WEB - Référenceurs - Hébergeurs - Prestataires mails - Fabricants d’enseignes et de signalétique - Imprimeurs (off-set, numérique, sur textes, adhésifs, bâches, sérigraphie…) - Spécialistes de l’audiovisuel : Edition DVD, Montage vidéo, postsynchronisation - Traiteurs, fleuristes, concepteurs de stands, fabricants de supports d’identification (badge) concepteurs de supports d’exposition (totem, kakemonos, chevalets) - Centre d’appel de télémarketing, spécialistes de l’e-mailing, routeurs Si l’on

système pneumatique ou hydraulique permettant de réaliser des travellings. Doublage : Procédé qui consiste à faire appel à des comédiens du pays où le film est distribué pour prêter leur voix à une traduction du film. Ne pas confondre avec la postsynchronisation (Voir ce mot). Flash-back : Analepse ou « retour en arrière ». Le contraire est le flash-forward, autrement dit la prolepse ou le « saut en avant ». Fondu : Ponctuation forte entre deux plans, le fondu peut être enchaîné (passage progressif

Herrmann Christopher PALMER, « Bernard Herrmann » in The composer in Hollywood, éditions Boyars, 1990. Ouvrages sur le son Laurent JULLIER, Le son au cinéma, Cahiers du cinéma, coll. Petits Cahiers, 2006. Christophe POMMIER, Doublage et postsynchronisation, éditions Dujarric, 1988. Claire VASSE, « Le dialogue comme matériau sonore » in Le dialogue : du texte écrit à la voix mis en scène, Cahiers du cinéma, coll. Petits Cahiers, 2003. Jean-Pierre VERSCHEURE. « Une réalisation de Cinévolution »