Porte des Ternes

organisation blanche contre les noirs). La peinture utilise le contraste entre les couleurs claires et lumineuses telles que les couleurs ternes blanches, jaunes et rouges et sombres comme le gris et beige afin de mettre en évidence l'héroïne de la peinture. (Nous avons vraiment le sentiment qu’ils marchent). Analyse : Notre attention est attirée sur la petite fille noire qui porte des vêtements blancs. Donc, avec le contraste des couleurs le peintre veut insister sur l'innocence de la jeune fille. Elle n’est

une sculture : roue de bicyclette une vrai roue de vélo et un tabouret sont assemblés et collés l'un sur l'autre donc rien ne sort de la main de l'artiste. Ensuite c'est en 1914 qu'il élabore pour la première fois le concept de ready-made avec son porte bouteille. La présentation d'objets « tout faits » a pour but d'attirer l'attention sur les qualités esthétiques souvent négligées des objets de tous les jours. Il connut une grande popularité auprès des dadaïstes. Ce concept emploie des objets fabriqués

également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craint pas l'attaque. * Prédelle: le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif. On peut noter que le panneau a les mêmes proportions que le cadre d’un cercueil et est aussi fait de bois. Les couleurs sont sombres et ternes comme l’univers de la guerre et de la boue (saleté).

regarder, mais plutôt de tenter de traduire par les mouvements et les émotions que nous procurent les interprètes. -J'ai pour finir adoré les costumes car bien qu'ils soient simples, avec des couleurs plutôt ternes, ils étaient épurés et donnaient une impression de légèreté. -J'ai été émerveillée face au fait que le corps des danseurs soit autant confronté à la scénographie mise en place par Mourad Merzouki, ils semblent se battre contre celle-ci

scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craint pas l'attaque. * Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort (aussi représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim) * Les couleurs sont sombres et ternes comme l’univers

champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est la couleur représentative du sang mais aussi pour sa valeur symbolique, le rouge symbolise en effet la violence et parfois la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est l’univers guerrier que dépeint Otto DIX : une guerre qui se déploie dans la boue et « la crasse » et qui répand la violence et la mort. Panneau de gauche : des soldats en armes portant un sac à dos tournent le dos au spectateur

prothèse mis sur son crane , on peut aussi lui voir les os , il n'a pratiquement plus de peau et d'oreille. Personnage de droite : Il a une main et un bras artificiel , un bandeau pour cacher le nez , il a aussi une prothèse pour sa machoire. Il porte un uniforme avec sa croix de fer. Il est posé sur la chaise et avec son sexe apparant . Les corps des personnages servent à faire le lien entre la guerre et la médecine. Absence de membre inferieurs , remplacés par des jambes de bois donc estropiés

gauche et de droite sont principalement droites, celles du panneau centrales son courbés et enchevêtrées. Il semble le peintre veux faire passer par là l’idée du chaos et de la désolation du champ de bataille Les couleurs utilisées sont principalement ternes : le gris et le noir pour les gravats, la mort et les cendres. On repère cependant des couleurs plus chaudes notamment le rouge et le marron pour le sang et la boue. Analyse panneau par panneau Le panneau de gauche, représente les soldats

seul qui fait face au spectateur et qui avance (avec une grande détermination) vers le premier plan, le seul aussi qui possède la capacité de voir (et quelle intensité dans ce regard !) enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre. Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre

seul qui fait face au spectateur et qui avance (avec une grande détermination) vers le premier plan, le seul aussi qui possède la capacité de voir (et quelle intensité dans ce regard !) enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre.Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre