Pneumopathie

[pic] III. Lexique des abréviations rencontrées dans le service. Abréviations des pathologies AC/FA : arythmie cardiaque par fibrillation auriculaire AEG : altération de l’état général BAV : bloc auriculo-ventriculaire BPCO : broncho-pneumopathie chronique obstructive CMNO : cardiomyopathie non obstructive CMO : cardiomyopathie obstructive EP : embolie pulmonaire ESA : extrasystole auriculaire ESV : extrasystole ventriculaire FA : fibrillation auriculaire FV : fibrillation ventriculaire

jéjunostomie sont surtout utilisées en cas de nutrition entérale prolongée, au-delà d’un mois. La nutrition entérale est bien tolérée, en dehors parfois d’épisodes diarrhéiques. Sa complication majeure, observée chez 2 à 5 % des sujets, est la broncho-pneumopathie d’inhalation par reflux du liquide nutritif dans les voies respiratoires. Cette complication doit être prévenue par un faible débit d’instillation et le maintien du sujet en position demi-assise, y compris la nuit. Il est important d’adapter les

respiratoire, surinfections de BPCO, infections urinaires récidivantes, infections stomatologie sévèresNourrisson : Otite moyennes aiguës, infections respiratoire basses et infections urinaires-Adulte : Otite, sinusite, surinfection, bronchite, pneumopathie, cystite, infection gynécologique, parodontite, infection stomatologie, traitement de relais | Mode d’administration | Enfant et nourrisson : * voie orale avec seringue gradué en Kg, dose prise en fonction du poids, et au moment du repas

Institutes of Health, HIV Medicine Association of the Infectious Diseases Society of America. Guidelines for the Prevention and Treatment of Opportunistic Infections in HIV-Infected Adults and Adolescents. Roxbury: AAC; 2016. Toxoplasmose et VIH Pneumopathie interstitielle Toxoplasmose disséminée Choriorétinites Localisation cérébrale British HIV Association and British Infection Association Guidelines for the Treatment of Opportunistic Infection in HIV-seropositive Individuals 2011. HIV Medicine

prise, 1 seule fois / semaine. Résultat bon, régulier. EI : toxicité hépatique ; fibrose ; sirose ; il faut surveiller les transaminases (Si le taux de transaminases > à 2 fois la normale : arrêter le traitement) ; toxicité pulmonaire ( : pneumopathie) ; toxicité hématologique (GB, GR, plaquette) * Ciclosporine (DC : SANDIMMUN)= Administré par voie orale si échec du traitement classique, car a beaucoup d’EI. 4. Les immunomodulateurs : * ARAVA (léflunomide) = Sous comprimé

programme de remise en forme pour lutter contre l’amyotrophie, améliorer le rendement musculaire à l’effort, redonner confiance au patient dans ses capacités physiques. Un tel programme peut être calqué sur la réhabilitation à l’exercice des broncho-pneumopathies chroniques obstructives avec la souplesse qu’autorise la normalité habituelle de l’état cardio-respiratoire des patients traités pour SHV. 5- TRAITEMENT DU TERRAIN La relaxation individuelle ou en groupe participe au traitement de fond du

Chez le sujet séropositif ou VIH immunodéprimé les signes sont plus francs et le virus provoque la maladie sur des organes cibler : le principale organe cible sont les yeux avec les rétinites, on trouve aussi plus rarement une atteinte pulmonaire(pneumopathie interstitielle), le cerveau (encéphalite), le colon(colite. E/ Diagnostic Examen complémentaire : Fond d’œil (recherche de rétinite) Biopsie tissulaire et notamment colique (recherche colite) Virémie (recherche du virus dans le sang)

Prise en charge : GIR1 Aide Sociale : non(APA) Allocation logement : oui Présentation physique : Poids : 75,4 kg le 18 /03/11 Taille : Antécédents : Schizophrénie ancienne AVC ischémique(1990) Hémiplégie droite avec aphasie Pneumopathie MALADIE ; THERAPEUTIQUE VECU ENVIRONEMENT DEVENIR Modes fonctionnels déficients. | Elément en faveur d’une fonction déficiente (donnée, signes). | Objectifs retenus en collaboration avec l’IDE, en lien avec les problèmes potentiels

Association for the Study of Liver Disease), Boston, Octobre 2007 (CA). Mentionné dans Hepatology 2007. 21. B. LASRY, J.C. NAVELLOU, J. CROUZET, S. PONSONNARD, E. BELLE, G. CAPELLIER. Facteurs de risques de rechute ou de récidive de pneumopathie en réanimation médicale: étude rétrospective sur trois ans. Congrès de la Société de Réanimation de Langue Française, Paris, Janvier 2008 (CA).

a un risque d’hémorragie ou d’hématome. Dans le cas où il n’y en a pas assez, il y a un risque d’embolie ou de phlébite. Cela implique d’éduquer le patient en regard de ces risques.  Les complications pulmonaires.  Risque d’encombrement ou pneumopathie.  Surveillance de la température.  Surveillance de la toux.  Surveillance des expectorations (crachats).  Surveillance de la fréquence respiratoire.  Faire des aérosols.  Faire des clapping (fait par le kiné).  Les complications urinaires