Plan Qul

1 Les stratégies de base 5.2 La stratégie de croissance CHAPITRE2 : le plan marketing Section1 : le plan marketing DEFINITIONS Section2 : contenu du plan marketing 2.1 Le résumé managérial 2.2 L’analyse de situation marketing 2.3 L’analyse attraits/atouts 2.4 Les objectifs 2.5 La stratégie marketing 2.6 Les plans d’actions 2.7 Les comptes de résultat prévisionnels 2.8 Le système de contrôle SECTION3 : plan d’action 3.1 Le mix-marketing 3.2 Le rôle du mix-marketing 3.3 Les composantes

| |(à apporter le jour |(Thierry Viquerat - L’Entreprise - avril 2005) | |de l'épreuve) |Comment présenter votre business plan ? p 8 | | |(Marion Silvente - L’Entreprise – novembre 2002) | | |Entretien avec

------------------------------------------------- Le business plan Le business plan ne doit pas être entièrement rédiger : on eut insérer des tableaux, des schémas, des photos…(40 à 50 pages). Il est constitué de 10 étapes : * Page de garde avec logo/nom du projet/slogan/noms des associés * Table des matières * Présentation du projet en ¼ pages * Présentation des associés et de leurs atouts * Présentation détaillée de l’offre + différenciation * Cible/Implantation/Zone

que la société nous indique. Ainsi, les attentats, surtout depuis le 11 septembre, figurent parmi les premières causes de peurs. Pourtant, il y a nettement plus de risques que nous mourrions en voiture. Et le fait est que, depuis quelques années, le plan Vigipirate n’est plus un état d’exception : nous sommes en alerte rouge permanente, ce qui apporte la pénible sensation que la menace est partout… L’état d’angoisse de notre société s’explique aussi par le décalage entre nos attentes fantasmatiques

Le plan marketing de votre entreprise doit être clair et contenir des informations qui couvrent tous les aspects essentiels pour bien faire connaitre vos produits ou services. En développant votre plan, posez-vous les questions suivantes, cela fera toute la différence. * Où sommes-nous maintenant ? * Où voulons-nous être dans un an, 3 ans, 5 ans ? * Quelles opportunités existent dans l’entourage? * Comment arriverons-nous là ? * Qui fera quoi ? * Comment saurons-nous que

En appliquant le théorème de Thalès dans les triangles et , on a : Par conséquent, le point cherché correspond à l’intersection de avec le miroir plan. 2. Loi de la réflexion Par raison de symétrie, nous retrouvons la relation (figure Avec . D’où, L’œil d’un observateur, en , regarde une source fixe ponctuelle , à travers un miroir plan (figure 4). En appliquant le théorème de Thalès dans les triangles et , on a : Avec . D’où, Figure 4 Donc : 4  Principe de moindre

IV- Stratégie de segmentation et cibles marketing Pour la stratégie de segmentation, certains critères sont à intégrer, tels que les besoins et les critères psychographiques. En ce qui concerne les besoins, il s’agit ici de la préservation de l’environnement. En effet, les lunettes de la marque Smith & Norbu sont toutes faites en corne, il s’agit donc d’un produit totalement écologique, ne comprenant aucuns matériaux nocifs pour l’environnement tel le plastique. Elle devra donc insister sur

Encadré par: M. Benghazala PLAN I. Introduction a) La normalisation comptable II. Principes comptables III. Le cout historique a. Définition des couts historiques b. Les principes des couts historiques c. L’intérêt du principe d’évaluation au coût historique IV. Divergences des principes : Importance accordée aux investisseurs Réalité économique et Forme

« Pourquoi le principe de prudence n’a-t-il pas empêché la crise financière? » Plan: Introduction I. La rôle de la comptabilité et de ses principes A. La comptabilité et les acteurs de la normalisation comptable B. Le principe de prudence C. Le principe de la juste valeur aux dépens de la prudence II. L'implication des principes dans la crise financière A. Chronologie de la crise financière B. L'effet de la juste valeur sur le cycle de la crise C. Les critiques attribuées

base des données considérées comme normale ; - Comparer ces données ensuite avec les coûts réels ou constatés ; - Analyser les écarts en vue d’en tirer les conclusions et de prendre les décisions qui s’imposent sur le plan technique, financier ou commercial. Le plan comptable général définit les coûts préétablis comme des coûts calculés à priori, c’est-à-dire des coûts calculés avant la période de production. L’analyse des écarts sur coût préétablis permet de mettre en évidence l’incidence