Plan Marshall

TPE Synthèse personnelle Représentations et réalités L'enfermement de la folie chez les fous Je voulais, au début de l'année, faire mon TPE sur quelque chose que j'aimais. Où j'étais sur de m'investir. J'ai alors décidé de travailler avec Joseph Mané, Taras Sourougiou et Neil Adam Mohammedi sur la représentation de la folie dans le cinéma. Ce thème m'intéressait énormément car j'étais depuis mon plus jeune âge, attiré par le monde du cinéma et les méthodes de montages. Nous pensions dès le

dans l'espace 1- Droite parallèle à un plan Pour qu'une droite soit parallèle à un plan, il suffit qu'elle soit parallèle à une droite du plan. Hypothèses : d' - la droite d est incluse dans le plan P - les droites d et d' sont parallèles d P Conclusion : La droite d est parallèle au plan P. 2- Plans parallèles Pour que deux plans soient parallèles, il suffit que l'un d'entre eux contienne deux droites sécantes parallèles à l'autre. Hypothèses : d1 d2 - le plan P' contient les droites sécantes d1

Scénario : Je me mêle à la nuit 1ère scène: vu sur le plafond, des yeux qui s’ouvrent. On filme ses jambes qui se lèvent du lit, il s’en va. Salle de bain= plan fixe sur un miroir (mais plus large de façon à ce qu’on devine qu’il s’agit d’une salle de bains) plein de bué, on distingue une silhouette qui passe de gauche à droite. Bruit du pipi. Bruit de la radio en fond. La silhouette repasse devant le miroir de droite à gauche. Puis une autre silhouette arrive de la gauche et s’arrête devant

coplanaire au plan (EHF) et sécante à la droite (GB). (b) Un plan parallèle au plan (IJG) et sécant au plan (EAD). (c) Une droite parallèle au plan (ABC), sécante au plan (FGC) et confondue dans le plan (HGF). 2. Étudier la position relative des droites suivantes : (a) La droite (BH) et la droite (BC). (b) La droite(EG) et la droite(BC). (c) La droite(EG) et la droite(AC). 3. Quel est, dans chacun des cas suivants, l’intersection des deux plans : (a) Le plan (EIA) et le plan (FIC). (b) Le plan (EHI) et

industriels à l'échelle des blocs géopolitiques de la Guerre froide. Longtemps cantonné au champ académique, il se généralise au cours des années 1990, d'une part sous l'influence des thèses d'émergence d'un « village global » portées par le philosophe Marshall McLuhan, et surtout par le biais des mouvements antimondialistes et altermondialistes, qui attirent, par leur dénomination même, l'attention du public sur l'ampleur du phénomène. Dans le monde anglophone, la popularisation du terme globalization

Fiche de lecture : Comprendre les medias Cet ouvrage a pour but de montrer comment les medias affectent le psychisme des hommes, non pas par leur message mais bien par la nature elle-même des medias utilisés. L’auteur prend ainsi du recul par rapport a la pensée ambiante qui considère le contenu comme essentiel dans la communication. Pour de ce qui est de Comprendre les medias, nous choisirons de nous intéresser à une seule partie, allant de l’introduction jusqu’au deuxième chapitre inclus

Le médium c’est le message Selon Marshall McLuhan, c’est le support du message qui est le médium. Cette phrase emblé-matique de sa pensée, signifie que la nature d’un medium (le canal de transmission d’un message) compte plus que le sens ou le contenu du mes-sage lui-même, et de fait, tout ce qui est support de communication est medium. Ainsi, lorsqu’un individu prend la parole, il est lui-même me-dium. Donc, lorsque vous êtes dans la position du blogueur vous devenez le médium. On peut donc

Gutenberg. De nos jours, une actualité peut faire le tour de la planète et ce quasi instantanément. Mais que véritablement penser de cette communication en temps réel caractérisant un "village global" qui façonne - selon le sociologue canadien Marshall Macluhan - un nouvel idéal de société ? Il est bien vrai qu'à l'heure actuelle "tout est communication" d'où il devient difficile de comprendre clairement les différentes notions du terme. Dans ce contexte, la mondialisation des informations

prêts à vendre ou à acheter à un prix donné. Si la théorie de l'offre et de la demande recouvre pour Roger Guesnerie une intuition ancienne, sa formalisation débute en 1838 lorsqu'Augustin Cournot introduit la courbe de demande. Plus tard, Alfred Marshall à travers la théorie de l'équilibre partiel entre l'offre et la demande va modéliser les phénomènes de variations de l'offre et de la demande en fonction du prix et donc de la quantité des biens échangés sur les marchés concurrentiels. Le modèle

industriels à l'échelle des blocs géopolitiques de la Guerre froide. Longtemps cantonné au champ académique, il se généralise au cours des années 1990, d'une part sous l'influence des thèses d'émergence d'un « village global » portées par le philosophe Marshall McLuhan, et surtout par le biais des mouvements antimondialistes et altermondialistes, qui attirent, par leur dénomination même, l'attention du public sur l'ampleur du phénomène. Dans le monde anglophone, la popularisation du terme globalization