Plan incliné

d’attente, de suspense, a une présence dynamique puisqu’il est toujours susceptible de faire irruption dans le champ ( exemple : le gros plan sur la victime apeurée laisse deviner la présence d’une menace située « hors-champ » ). Le contre-champ est l’espace frontal au champ. L’effet champ-contrechamp est très courant dans les dialogues. B.    LES PLANS Un plan est une prise de vues effectuées sans interruption. Il ne dure généralement que quelques secondes. Il constitue l’unité de base du

Commun à tous les candidats A -Vrai ou faux ? 1. Faux : contre-exemple : il suffit de prendre P 1 et P 3 perpendiculaires à P 2 . 2. Faux : contre-exemple : on reprend l’exemple précédent. 4 points 3. Vrai : si deux plans sont parallèles, tout plan sécant à l’un est sécant à l’autre. 4. Faux : P 1 et P 2 sont parallèles : si la droite D est incluse dans P 1 elle n’est pas sécante avec P 2 . B - Intersection de trois plans donnés → − → − 1. Le vecteur n 1 (1 ; 1 ; −1) est normal à P 1 , n 2 (2

dans le plan de face ou dans les plans parallèles au plan de face sont représentés en vraie grandeur. Le cube : (*1) [pic] 2 Positions relative 1 Règles de base : ← R1 . Dans l’espace deux points distincts A et B définissent une droite unique notée (AB) Trois points distincts A, B, C non alignés définissent un plan unique, noté (ABC). ← R2 . Si deux points distincts A et B appartiennent à un même plan P, alors tous les points de la droite (AB) appartient au plan P.

diverses (plan d'ensemble, gros plan...) selon l'effet recherché. Le Plan général montre un vaste paysage. Le Plan d'ensemble présente un personnage qui est situé dans un décor, un environnement : c'est ce décor, qui est important. Avec le Plan de demi-ensemble, le personnage prend le pas sur le décor mais celui-ci reste très présent. On met alors l'accent sur l'action des personnages dans un décor. Dans un Plan moyen (plan-pied) le personnage est montré en entier, de la tête aux pieds. Le Plan italien

influe principalement sur le choix des axes de prises de vue, mais aussi d’une manière plus générale, sur ce que l’on choisit où non de montrer à l’image. Les valeurs de plan La valeur d’un plan correspond à la taille qu’occupe le sujet principal au sein de l’image. On distingue traditionnellement six ou sept valeurs de plan différentes. Les définitions exactes de ces plans peuvent varier, mais l’idée générale reste la même. Ces valeurs de plans ne sont pas des règles absolues, mais permettent

Le plan fixe y est ainsi que le travelling et le panoramique qui sont extrêmement présents tout au long du film. Pour ce qui est des types de plans, les plus fréquents sont le plan de grand ensemble ainsi que le gros plan. Le plan général montre une très large fraction d’espace. Le film commence d’ailleurs avec ce plan du désert et finit avec l’image du cheval de Blondin qui galope à toute allure dans le grand environnement. Dans le film, le gros plan est un classique. En effet, le gros plan qui

tout son film sur le scénario original de James Toback. * Trouvez 4 séquences qui sont racontées selon le point de vue de Tom (en focalisation interne) Le plan en voiture vers 54min 42 raconte l’histoire sous le point de vue de Tom. Le plan à 3min 10 est lui aussi une vue subjective se basant sur un raccord regard du personnage de Tom. Le plan vers 8min 37 est du même ordre. Le mouvement de caméra à 59min 54 permet aussi d’obtenir une focalisation interne. *Citez 2 moments où Tom est observé du point

d'abord dans un plan fixe une envolée de ballons ; des femmes au balcon on entre alors dans la même représentation que nous donne le roman. La fête est annoncée par les confettis, les « papelillos ». Les sons sont également très représentatif de la scène du roman on peut entendre comme il est écrit dans le livre : « des cris, des appels, des rires bourdonnent ». L’interprétation du film reprend le carnaval comme il est décrit dans le roman, avec de nombreuses femmes dans un plan d’ensemble. Il y

comporte 18 plans qui durent tous entre 1 et 7 secondes chacun sauf le premier plan qui dure lui, 15 secondes. Dans cette séquence qui se déroule en pleine journée, cinq cow-boys arrivent en ville et des enfants s'amusent à faire combattre des scorpions et des fourmis rouge. Tout cela est mis en pause à certain moments pour faire apparaître le nom des acteurs et autres techniciens. Le générique commence sur un plan large où cinq cow-boys sont à cheval. Nous pouvons entendre une musique extra-diégétique

le prologue). Le premier plan est un panneau en gros plan « no trespassing » (ne pas entrer en français), ce que la caméra enfreint puisque nous franchissons la propriété avec elle. Tout cela avec un éclairage assez sombre (il fait nuit) et toujours la musique angoissante. Le plan est un travelling vertical vers le haut, qui continue dans le plan suivant, un gros plan d'un grillage. Puis on se rapproche encore plus de la propriété puisque le plan d'après est un gros plan du portail. Une fois le portail