Pilastre

cariatides. Celle-ci fait la synthèse entre les éléments caractéristiques de  l'Antiquité gréco-romaine et les canons de la Renaissance italienne. De nouveaux meubles apparaissent, tel le buffet Henri II ou la caquetoire ou caqueteuse. Sculptés de pilastres et de colonnes, décorés d'arabesques, de cariatides, de feuillages, on trouve aussi des figures en médaillons. Les assemblages évoluent sensiblement : de la construction par tenons et mortaise, les ébénistes de la Renaissance utilisent les assemblages

cycle malgré la diversité des styles. Il y a une unité stylistique : usage commun : unité décorative. (Cette norme, (unique) va être contestée vers 1509 à partir de Michel Ange. : Changement d’échelle.) Il y a un système d’encadrement, avec des pilastres, qui assure une unité visuelle et narrative. Titulus : titres, qui accompagne la visibilité des tableaux, qui vont éclairés sur la portée symbolique des œuvres. Les artistes ont optés pour une mise en scène de la représentation, que prônait Alberti

« deux pilastres ». De plus le cheminement du texte est particulièrement construit : le premier paragraphe correspond à la découverte de l’église par Jules, puis les deux paragraphes suivants permettent la mise en place du plan, enfin le dernier paragraphe voit l’aboutissement de ce plan. Stendhal a tenté, par la précision, de rendre cette église la plus réelle possible pour le lecteur. En effet, il y a un vocabulaire lié à l’architecture important : « marbres et dorures », « pilastres en marbre

Monastère de Reichenau : Monastère établit sur les îles du lac de Constance. Eglise de Saint-Georges d'Oberzell sous la direction de l'abbé Witigowo (985-997) : décor peint dans l’édifice grands panneaux rectangulaires dessinés par de faux pilastres représentations de guérisons miraculeuses opérées par l’église Guérison de l'hémoroïsse + Résurrection de la fille de Jaïre : Christ identifié grâce à son nimbe crucifère et accompagné de ses disciples silhouettes dansantes non figées qui animent

renfermant la porte d'entrée, le grand escalier, la chapelle et la salle des Etats) Le château de Chenonceaux, embelli et habité tour à tour par François Ier, Diane de Poitiers et Catherine de Médicis Le château de Chambord, avec ses trois ordres de pilastres et, au centre, le curieux escalier à jour et la lanterne si originale qui le surmonte Le château de Fontainebleau, dont les principales parties, telles que la cour ovale et la porte dorée, sont l'oeuvre d'artistes français; mais dont la Cour des

pâle, il regarda vers l'éternelle aurore. Les soleils étaient loin, mais ils brillaient encore. Satan dressa la tête et dit, levant ses bras : - Tu mens ! - Ce mot plus tard fut l'âme de judas. Pareil aux dieux d'airain debout sur leurs pilastres Il attendit mille ans, l'oeil fixé sur les astres. Les soleils étaient loin, mais ils brillaient toujours. La foudre alors gronda dans les cieux froids et sourds, Satan rit, et cracha du côté du tonnerre L'immensité qu'emplit l'ombre visionnaire

���������������������������������������������������� escalier métallique hélicoïdal fig. 13.38 rampe pour La maison de A à Z - 128 - LES ESCALIERS ������������ ������������� �������������� ��������������� ■ Le pilastre ou poteau de départ (fig. 13.40) : poteau situé au pied de l’escalier, en début de rampe. Le gabarit du pilastre est parfois supérieur à celui des poteaux courants. ■ La lisse (fig. 13.41) : pièce horizontale ou inclinée reliée aux montants et recevant les éléments de remplissage (barreaux, balustres)

fig. 13.38 rampe pour ���������������������������������������������������� escalier métallique hélicoïdal ������������������������������������������ - 128 - LES ESCALIERS ������������ ������������� poteaux fig. 13.39 pilastres fig. 13.40 ������������� ������������������ ��������������� �������������� ■ La lisse (fig. 13.41) : pièce horizontale ou inclinée reliée aux montants et recevant les éléments de remplissage (barreaux, balustres). On distingue la

à droite, les 2 personnages contemporains de Masaccio en bas et la colombe) sont en construction pyramidale et en contre-plongée. La colombe symbolise les cieux, le paradis et l'élévation spirituelle. - Le point de fuite est au pied de la croix pilastre cannelé. L'architecture représentée en berceau plein-cintre montre un chapiteau ionique corinthien avec entablement, une architrave et des médaillons en haut (droite et gauche). - La vierge Marie sur la gauche montre son fils le Christ. Elle fait

classé monument historique 1875 -chef d’œuvre architectural et décoratif du 17eme -classique : -fassade ordre ionique +ordre dorique (ordre architecturaux grecs) elle est divisé en travée comprenant un nb impressionnant de pilastre avec une coupole au centre -fronton triangulaire comportant bas relief :2 sculptures couchés :