Phèdre Argumentation De Sa Culpabilité

à tour exprimés dans le monologue. Se succèdent chez Tristan le désespoir et l’apitoiement sur soi de la plainte initiale, le remord suggéré par la reconnaissance du tort causé au roi Marc, le regret de la vie qui aurait pu être la sienne, la culpabilité éprouvée à l’égard de la reine et finalement l’espoir, perceptible dans la prière. 2. Le discours de Tristan à son oncle On s’assurera que les élèves resituent la relation du vassal à son seigneur et qu’ils recourent à l’ensemble des arguments

infernale » ; antithèses « le bonheur de faire égorger », « pour comble de grâce quelque ville a été détruite » ; fausse naïveté dans la phrase finale concernant le chant du « Te Deum ». 3. a. Le texte produit un effet de pitié et de crainte ou d’effroi, car Phèdre est à la fois victime de la fatalité et coupable d’un amour monstrueux. Il s’agit donc du registre tragique. b. La tirade utilise les procédés caractéristiques de ce registre : lexique de la fatalité avec « en vain », « vaines », « cruelle destinée » ;

----- Bouillard Dorine : 1 SMS3 Perrault, Le petit chaperon rouge. Question : en quoi peut-on dire que ce conte est un apologue ? Kafka : le procès. Séance n° 1 : introduction à la vie de Kafka et à la problématique liée à la culpabilité . Lettre au père I) Portrait du père II) Portrait de Kafka III) Les rapprochements entre le Procès et la lettre au père. ------------------------------------------------------------------------------------------- Contexte de la lettre

les choses à leurs justes proportions et les supporter avec bonne humeur : il est d’ailleurs plus conforme à la nature humaine de rire de la vie que d’en pleurer. SENEQUE QUESTIONS : 1° Dégagez l’idée principale du texte, puis les étapes de son argumentation. 2° Expliquez : a) « c’est le dégoût du genre humain qui nous envahit à l’idée de tous ces crimes qui réussissent à leurs auteurs » ; b) « Aussi devons-nous prendre l’habitude de ne pas nous indigner de tous les vices de la foule, mais d’en rire

clarté doit se [71] renoncer s'il veut être satisfait. Le péché n'est point tant de savoir (à ce compte, tout le monde est innocent), que de désirer savoir. Justement, c'est le seul péché dont l'homme absurde puisse sentir qu'il fait à la fois sa culpabilité et son innocence. On lui propose un dénouement où toutes les contradictions passées ne sont plus que des jeux polémiques. Mais ce n'est pas ainsi qu'il les a ressenties. Il faut garder leur vérité qui est de ne point être satisfaites. Il ne veut

les segments cités et l’incidence sémantique de leur insertion dans le texte Le commentaire présenté retient deux effets d’une écriture que la visée polémique ne pouvait dispenser d’être agréable : vivacité (de la dramatisation, de la pseudo argumentation) et ironie, sous ses diverses manifestations. Sous réserve de « mises en faisceaux » montrant bien la complémentarité des formes linguistiques et rhétoriques, un plan articulé sur les dominantes formelles soutiendra également une démonstration

des réseaux d'associations et d'images qui ordonnent l'ensemble de l'oe puis dégage une structure symbolique fondamentale, inconsciente, comparable au sens latent d'un rêve, dt le critique cherche ensuite confirmation ds les données biographiques. Phèdre transpose ainsi un fantasme oedipien: en aimant Ariste, Hippolyte (le Moi) tente d'échapper à une mère possessive (Ca) et se heurte à un père implacable (Surmoi). Plus généralement, l'oe de Racine exprime sa lutte contre "la menace de la névrose janséniste"

plutôt « naturelles », en deçà et au-delà des notions de bien et de mal) parce qu’elles sont un don de Dieu. Les refuser, c’est refuser l’ordre instauré par Dieu, et donc rejeter Dieu lui-même (cf. texte 10). On comparera avec profit cette argumentation à la position de saint Jacques, pour lequel c’est la soumission aux passions qui signifie le reniement de Dieu – thèse rigoureusement inverse (cf. texte 19). Il ne s’agit pas bien entendu du même Dieu : celui de saint Jacques n’est pas celui

bien de la patience ») ou de certains compliments à double tranchant (« tu es homme de conscience »), la satire contre les médecins (effet de chute du parallélisme « mille vœux à Esculape, et autant d’écus à leur médecin »). - - II UNE ARGUMENTATION D’UNE LOGIQUE SUSPECTE : LE TRI ENTRE LES ARGUMENTS DE LA NATURE ET CEUX DE LA SOCIÉTÉ OU DE LA MORALE La logique implacable du raisonnement : succession des trois conjonctives en « que » au deuxième paragraphe après l’argument général (longueur

personnages qui évoluent dans un contexte social dont le lecteur s’imprègne, presque malgré lui. Exemples : Thérèse Desqueyroux de François Mauriac, l’action se situe dans la bourgeoisie du bordelais, Ce qu’il ne faut pas faire Développer une argumentation tranchée dans un seul sens, l’expression « dans quelle mesure » invitant à rechercher des nuances. © rue des écoles & Le Monde, 2015. Reproduction, diffusion et communication strictement interdites. REPÈRES UN SUJET PAS À PAS EXTRAITS CLÉS