Physiognomonie

comme le fait d'ailleurs la musique . » Chez Seurat, de même que chez Giorgione, la présence des instruments de musique dans la peinture est comme un indice qui manifeste au regard l'élément musical de la peinture elle même. -Spectateurs La physiognomonie du spectateur à droite est tellement démonstrative qu'elle a tout de suite été interprété ainsi par Khan «synthèse du public, voyez cet admirable groin de spectateur, archétype de noceur gras, placé tout près et au dessus de la danseuse, jouissant

fantaisistes et bizarres »Incipit qui commence par le portrait psychologique du personnage principalL’auteur s’insère dans une tradition romanesque (comme Balzac)=>> La psychologie d’une personne se lit sur son apparence physique=>> La physiognomonie = pseudo science, origine d’un scientifique italien Lambroso, étude sur des prisonniers, voulait identifier des traits physiques qui permettraient de déterminer la criminalité ou des traits de personnalitéPortrait qui reprend ses éléments du roman

aujourd’hui la caricature: ce fut l’œuvre des caricaturistes anglais du XVIIIe siècle. Le portrait en charge «amical», qui consiste à faire ressortir la drôlerie de certains visages connus, est un genre mineur qui ne vise qu’au divertissement. La Physiognomonie de Lavater (1741-1801), qui fut connue en France au début du XIXe siècle, a eu une grande influence sur l’art des caricaturistes. Si les théories du théologien suisse semblent maintenant périmées, elles n’en ont pas moins aidé les caricaturistes

mais par le style, la litterature ce qui est insignifiant devient lumineux. Il fait d’une société superficielle une œuvre profonde grâce au style. *Proust présente des personnages avec une psycologie dans le temps  ils changent. Il rejette la physiognomonie parce que pour lui ce u’on voit d’un personnage vient de notre imagination ( moi social  création des autres ). Il admire chez Balzac la construction de la comédie humaine. Dans on œuvre (Proust) on comprend le sens grâce à la structure –-> temps

différentes il composa notre espèce; il fit cet ouvrage qu'on appelle le petit monde. Ainsi ces fables sont un tableau où chacun de nous se trouve dépeint." Il faut aussi tenir compte de la caution scientifique apportée à cette analogie par la physiognomonie (le traité du Napolitain J.B. Porta, De humana physiognomonia a été traduit en 1655), qui établissait systématiquement des correspondances entre le tempérament et la morphologie des divers animaux, et ceux des divers types humains. Cette science

donc qu'il vous est impossible de voir la main de la personne que vous désirez juger, contentez-vous de considérer ses traits, qu'elle ne peut certes cacher, et vous saurez mille choses intéressantes à son égard. Il existe une foule de traités de physiognomonie, à commencer par l'œuvre justement célèbre de Lavater. Mais ces ouvrages manquent de lois générales, et le lecteur se perd en une foule de remarques de détails qui paralysent toute étude sérieuse. 4 Les Secrets Du Visage – www.les-secrets

nouvelles ainsi que la toute récente théorie de l’évolution que le naturaliste Charles Darwin (18091882) met sur pied après une série de voyages en Patagonie est phénoménal. Découlant de ces découvertes, d’autres suppositions font surface comme la physiognomonie ou la phrénologie, sciences qui affirment que l’on peut connaître l’âme et le caractère de quelqu'un en observant son visage ou la forme de son crâne. Tout ceci montre une envie de cerner l’humain dans l’immédiat, dans son corps, son allure et

heureux. 23/ Pour Foucault, le Pouvoir ne va pas sans le savoir et vice et versa. Je m'explique. La discipline pour s'exercer de manière indirecte, désindividualisée, doit constituer un savoir et des techniques de savoir (Archives...). 25/ La physiognomonie est une méthode fondée sur l'idée que l'observation de l'apparence physique d'une personne, et principalement les traits de son visage, peut donner un aperçu de son caractère ou de sa personnalité. Son principal représentant est Kaspar Lavater

enchâssé ou camouflé » par son « paraître » constitué par ses habits, son stat ut social autant que le signe d’une époque, le XVII ième siècle. Tout l’intérêt se porte sur les traits du visage et on sait l’importance accordée par Balzac à la physiognomonie comme « mir oir de l’âme ». Aujourd’hui, on parle de morphopsychologie, pour décrypter le caractère d ’un individu à partir de l’observation de ses traits et de ses attitudes. La phrase au présen t de vérité générale : « ces pensées qui

est accepté s’il est travaillé, comme la chevelure féminine ou la barbe des hommes, avec des ondulations, des nœuds, des boucles… Le poil fait l’individu, on donne une signification à sa couleur, son implantation, sa taille etc. il y existe une physiognomonie capillaire. Le chapitre sept, « La jeunesse des vieillards ou la trompeuse apparence. Quand Louis XIV décida de porter la perruque est rédigée par Joël Cornette. Il raconte comment la perruque a été introduite à la Cour de France, suite à une