Philosophie Sur Le Conformisme

groupe15 Chapitre IV : Conformisme et normalisation16 4.1. Définitions 17 4.2. Expérience d’Asch18 4.3. Conformisme utilitaire18 4.4. Etat agentique et expérience de Milgram19 4.5. Avantages et inconvénients du conformisme21 Conclusions23 Introduction Dans le cadre de la partie « relations humaines » du cours de management, nous avons été amenés à réfléchir aux problématiques de groupes. Après discussion au sein du groupe, notre intérêt s’est porté sur le conformisme. Ce thème nous a intuitivement

nous fournit des outils conceptuels, l’autre nous fournit des outils symboliques. Toutes deux n’apportent pas de réponses préconçues ; elles sont davantage une sollicitation de la conscience. La méthode spécifique de l'enseignement en Philosophie est zététique, comme la nommaient les Anciens, c'est-à-dire qu'elle est une méthode de recherche. Ce qui est recherché, ce n’est pas l’acquisition d’un savoir purement théorique, mais c’est nourrir une réflexion personnelle

INTRODUCTION Durkheim est le père fondateur de la sociologie et des sciences de l’éducation. Durkheim : « L’homme que l’éducation doit réaliser en nous, ce n’est pas l’homme abstrait, idéal, d’une perfection humaine vue à travers une philosophie éternelle, mais c’est l’homme tel que le veut la société. Elle le veut tel que le réclame son économie intérieure ». L’éducation a pour mission de former le citoyen de demain. C’est une mission normative (s’insérer dans les normes de la société)

INTRODUCTION À LA PHILOSOPHIE CHAPITRE 1 : DU MODE DE LA PENSÉE MYTHIQUE AU MODE DE LA PENSÉE RATIONNEL La naissance de la philosophie : un nouveau mode de pensée La philosophie occidentale est née autour du VIe siècle avant notre ère, en Grèce (aussi ou se retrouve actuellement la Turquie et l’Italie). Elle se distingue du mode de pensée mythique par sa démarche rationelle pour répondre à nos interrogations sur l’univers et sur la condition humaine. Aujourd’hui, la philosophie coexiste avec d’autres

utilisée par l’auteur pour présenter un personnage. Puis, il faut faire attention aux nouveautés dans la narration chez Camus. EXPLICATION «Cycle de l’absurde» c’est le thèrme utilisé par Camus pour l’ensemble de ses oeuvres qui présentent sa philosophie de l’absurde. Dans ce cycle nous pouvons énumérer les livres comme: L'Étranger (roman, 1942), Le Mythe de Sisyphe (essai, 1942) , Caligula (pièce de théâtre, 1944), et Le Malentendu (pièce de théâtre, 1944). Dans ses romans Camus présente des

crée notre propre individualité. Lutter contre nos passions c'est aller contre la nature. Il faut mettre le courage et l'intelligence au service des passions. Cet idéal de vie nécessite des capacités, des qualités individuelles. b- critique du conformisme moral : Ce modèle de vie est réservé à une élite. Certains sont plus capables que d'autres d'assouvir les désirs. La « masse » , le peuple, la majorité n'en est pas capable à cause de sa faiblesse. Il y a des gens qui n'en ont pas la capacité physique

place une biographie en tête du recueil de 1668, était alors connu de tous il convient de saisir cette œuvre comme un regard qui se veut lucide, et constater que la pensée s’y interroge autant ou plus qu’elle ne répond. La Fontaine est nourri de philosophie épicurienne de libertinage, mais il est certain aussi qu’il a éprouvé des sympathies pour les jansénistes. De même, en matière de politique, il a critiqué les monarques absolus, victimes de leurs ambitions, de leurs conseillers flatteurs, notamment

déterminisme social, et cette rupture tient avant tout à la situation conflictuelle où se trouvent des écrivains voulant écrire une œuvre à la fois esthétique et authentique. Ils tendent en effet à renier leur classe d’origine pour son inhumanité, son conformisme, son “ matérialisme ”, mais d’autre part ils se savent nécessairement voués (sous peine de trahir la vérité) à dépeindre (et à critiquer) les seuls groupes, les seuls rapports sociaux qu’ils peuvent observer directement. Cette contradiction caractérise

hommes religieux de tout ce qui n’était pas lié au sacré, coexistaient donc dans leur esprit la certitude religieuse et un négationnisme extrême face aux idées extérieures. Cette certitude qui fut imposée par l’église, imposa par la même manière le conformisme dans la manière de penser des gens : une seule vérité détenue et dictée par la même occasion par le ‘tout-puissant’ sans que l’on puisse émettre la moindre objection. Bien différente de la certitude religieuse sur laquelle nous venons de nous

GRINCOURT Guillaume TS3 DM de philosophie « Vivre, ce n'est pas seulement satisfaire aux besoins matériels des organes, c'est aussi, plus encore peut-être, être conscient de la dignité humaine; c'est ne compter que sur soi et se donner aux autres; c'est être fort; c'est être bon » (Jules VERNE in Les naufragés du Jonathan). « la vie, c’est l’ensemble