Philosophie Spontanée Et Réfléchie

remplace celui de "pensée") dans notre esprit : 1) Non réfléchies : petites perceptions - je "pense" ou je "perçois" quelque chose, sans y faire attention, sans m'en rendre compte- "conscience spontanée", conscience de quelque chose (est-ce avoir conscience au sens minimal ? Ou quelque chose d'inconscient ?) 2) Réfléchies : aperceptions - je pense ou perçois quelque chose, et je sais que je le pense ou le perçois - conscience "réfléchie", ou "réflexive" : conscience d'avoir conscience de quelque

faire confiance ou reconnaître l'autorité de quelqu'un revient toujours à céder à une crédulité naturelle que la raison a normalement surmonté en fixant à l'homme un idéal d'autonomie, il faut en conclure que cette confiance renoue avec une attitude spontanée et irréfléchie qui n'est pas très éloignée de l'aveuglement du préjugé.   Lorsque les matières qui se fondent sur l'expérience et le témoignage, nous bâtissons notre connaissance sur l'autorité d'autrui, nous ne nous rendons ainsi coupable d'aucun

Dans cette période des temps modernes que nous vivons à l’aube du troisième millénaire, j’ai eu envie ce soir de vous parler un peu de philosophie antique, et même grecque. Pourquoi ce désir ? Tout simplement parce que il y a quelques jours une charmante amie, me disait avec un sourire qui en disait long : « Quel épicurien tu fais ! ». Vous demandez sans doute ce que j’étais en train de lui faire ou de faire…je vous rassure je n’étais simplement occupé qu’à lui préparer un délicieux risotto aux

remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ne pouvaient l 'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela

et, avec elle, l'idée même de sujet à laquelle se réfère toute notre tradition occidentale. (4)                    → Le texte se déploie en deux paragraphes. Le premier établit que le " Je pense " est une vérité première et le fondement de la philosophie (" Mais...cherchais "). Le deuxième examine la nature de la pensée et du sujet pensant : l'âme est une substance distincte du corps (" Puis...ce qu'elle est "). (5)    II. Etude ordonnée (partie explicative)      (6)                    → Dans

de la littérature. Ces efforts sont récents. Pendant longtemps, la théorie de la littérature – ou de ses ancêtres – a seulement consisté en une description formelle et atemporelle de ses genres ou de ses techniques. Il a fallu la naissance de la philosophie de l’Histoire – au XVIIIe siècle – pour que l’on prenne aussi conscience que la littérature, jusqu’alors considérée sub specie eternitatis, était un fait de part en part historique : cette prise de conscience a bouleversé notre conception de la

 Commentaire de philosophie : Kant, extrait de la Critique de la faculté de juger (1790) Dès l'Antiquité, les philosophes tentent de décrire la vie : < Tout corps qui reçoit son mouvement de l'extérieur est inanimé ; mais celui qui le reçoit du dedans, de lui-même est animé, puisque c'est en cela même que consiste la nature de l'âme >(Platon). Aristote, après Platon, considère l'âme comme réalisation de la vie. En effet, pour lui, tout vivant possède une âme (anima) qui anime le corps. L'être

parallèlement une médiation technologique de l’apprentissage par un dispositif techno-sémiopragmatique (Peraya). Le dispositif pédagogique Ce dispositif est issu d’une démarche de recherche-action et sa configuration est orientée selon les concepts d’une philosophie socio-constructiviste de l’apprentissage (Vygostky, Piaget). Le dispositif pédagogique est centré autour des situations-problème qui sont traités en groupe de travail tutorés. Ce modèle s’inspire de l’approche du conflit socio-cognitif (Perret-Clermont)

Dissertation de philosophie : Ma conscience peut-elle me tromper sur moi-même ? La conscience c’est la connaissance que l’Homme peut avoir de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes, la conscience fait de l’Homme un sujet qui pense. Elle est le propre de l’Homme, et est nécessaire à la recherche de vérité et de sens. Elle est le fondement et la condition de toute connaissance en soi (cum scienta). De même, ici tromper signifie faire croire quelque chose d’imaginaire, de faux, on cache

29.inddDÉVELOPPER LA PENSÉE CRITIQUE DANS LES COURS DE PHILOSOPHIE Romain BEAULIEU, professeur - Cégep de Baie-Comeau RÉSUMÉ Les professeurs accordent beaucoup de valeur au développement intellectuel de leurs élèves. Les professeurs de philosophie savent d’expérience que leur discipline se déploie souvent dans un mode conceptuel abstrait, étrange pour plusieurs élèves, novices dans la vie intellectuelle. En philosophie, la pensée critique est recherchée pour sa capacité à développer une réfl exion