Philosophie Peut On Critiquer La Démocratie

l'antiquité grec, dire la vérité c'est décrire le cosmos, l'harmonie de l'univers. A l'ère des monothéismes, il s'agit de la sublimité du divin. Dans nos démocraties humaines il est question de la profondeur et de la richesse du génie humain. Qu'il s'agisse du cosmos ou de la religion, la vérité est à l'extérieur de l'homme alors que la démocratie est faite par et pour les hommes : la loi démocratique procède de la volonté, des intérêts et de la raison des hommes. La culture et l'esthétique vont suivre

LA CRITIQUE DE c'est au nom de la liberté démocratique que l'on va critique la dcémocratie libérale. Alors que ds les autres critiques on cherchait a montrer que le pouvoir polit etait arbitraire ici on va montrer que la part de libertés accrodées a l'homme dans un pouvoir démoratique est bien maigre. Le pouvoir ne va pas se situer dans l'espace polit mais bureaucratique La démocratie : une dictature aux mains de velours ? A. La critique de la démocratie libérale par la pensée libérale

plaideurs, notamment Mélétos, et mène un argumentaire visant à démontrer son innocence et l'absurdité de l'accusation. Il réfute l‘idée que l’éducation qu’il offre soit dans un but lucratif (contrairement aux sophistes) et ensuite explique qu’il ne peut pas ne pas croire aux dieux car selon lui ce sont ces dieux, notamment Apollon (par un oracle rendu à Chéréphon), qui l'ont incité à être philosophe. C'est d'ailleurs Apollon lui-même qui a dit que Socrate était l'être humain le plus sage, même

tout, on peut appeler « mondes » le Ciel1, bien sûr, mais aussi les êtres vivants2 et les constitutions politiques3. Qu’est-ce qui fait la spécificité du monde politique ? Ni l’ordre du ciel, ni la « nature » ne peuvent fournir un modèle ou une norme auquel l’ordre politique devrait se conformer. Il ne se fonde que sur le pouvoir humain de délibérer et d’agir, ou, si l’on veut, sur des décisions4. A/ Politique et cosmologie. Contrairement à ce que soutiennent Ferry et Renaut5, on peut dissocier

relations entre « l’individus » et la société * Quelles sont les motivations des acteurs sociaux * Le sociale est-il plutôt un espace d’intégration ou de conflit II. les grands précurseurs. * Les précurseurs sont à mi-chemin entre la philosophie et la sociologie 2.1 Influence du climat sur les lois et les mœurs. Montesquieu « la grandeur et la décadence » « l’esprit des lois » « j’ai examiné les hommes et j’ai pensé que dans cette infinité diversité des lois et des mœurs il n’était

Faculté de droit Université Laval Colloque SPQ “Enseigner la philosophie” Collège de Bois de Boulogne, 1998 Pourquoi étudier la philosophie du droit? Quelques réflexions sur l’enseignement de la philosophie du droit Si nous nous mettons dans la peau d’un(e) étudiant(e) en droit qui consulte la liste des cours optionnels offerts, nous pouvons nous demander pourquoi choisir un cours de philosophie du droit? En fait, s’il n’y a pas de contrainte physique qui enlève tout

littéraire qui s'épanouit en France mais aussi en Europe tout au long du XVIIIe siècle. Elles désignent ce siècle en tant que période de l'histoire culturelle, marquée par l'exaltation des sciences, par le rationalisme philosophique mais aussi par la critique de l'ordre social. Dans la signification qu'on lui prêtait, le mot ''Lumière'' considérait l'esprit comme étant essentiel et plus important, il était donc le garant du raisonnement. La lumière se voulait être guide qui conduirait l'individu vers

rassemblent autour d’eux les partis dissidents. Mais ou sont ces choses publiques, ces “matters of concern” dans le domaine politique? Ou est passé le “Res” de la “Res Publica”? En essayant d rassembler et d’organiser les éléments intrapolitique, la philosophie politique a eu une forte tendance d’éviter les objets, les issues autour desquels on se rassemble. B. Latour essais d’incarner un principe de symétrie d’ordre supérieur a celui élaborée par le programme fort de Bloor et Collins, celui d’une symétrie

II) Le droit peut en même temps réduire la liberté d’une civilisation. A) Obéir est-ce renoncer à sa liberté ? 1) L’obéissance est un renoncement libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat : répression de la liberté ou au contraire garant ? 1) Etat et pouvoir : 2) Le contrat social : C) Le devoir peut être une contrainte sociale ou une obligation morale : 1) Obligation, contrainte ou effet de la volonté ? 2) Les critiques du devoir :

des conditions, aussi appelée "le fait générateur", intrigue Tocqueville. Il décide de l'étudier à travers le premier pays ayant adopté la démocratie, l'Amérique. Il analyse ce phénomène d'un point de vue sociologique. La démocratie est avant tout un état social, bien avant un état politique. Tocqueville veut nous faire capter une idée essentielle : la démocratie inaugure une nouvelle façon de faire société, une façon que l'humanité n'a jamais expérimenté. C'est par une comparaison entre l'ancien et