Philosophie L Enfer C Est Les Autres

son inconstance et ses tromperies, son jeu avec les apparences et sa capacité d’illusionner ceux qui l’entourent. Nous allons voir que la première scène de l’acte I est bien une scène d’exposition mais qu’elle propose également une vision de la philosophie qui sous-tend la pièce. I. Une scène d’exposition Si à plus d’un titre cette scène peut nous surprendre du fait de cette ouverture originale par une tirade faisant un éloge paradoxal, celui du tabac, il n’en est pas moins que cette première scène

entretiennent-ils et quelles conceptions du monde ont-ils ? Dans un premier temps, nous verrons leurs conceptions de la religion. Dans une seconde partie, nous étudierons les relations qu'ils entretiennent. Enfin, nous traiterons de leurs relations avec les autres. I Leurs conceptions de la religion : Don Juan ajoute à la définition du libertinage un sens d'athéisme et d'impiété, il en est d'ailleurs la figure exemplaire. Il blasphème, en poussant le Pauvre de l'acte III, scène 2 (p. 69-72) à jurer pour obtenir

entretiennent-ils et quelles conceptions du monde possèdent-ils ? Premièrement, nous verrons leurs conceptions de la religion. Dans une seconde partie, nous étudierons les relations qu'ils entretiennent. Enfin, nous traiterons de leurs relations avec les autres. I Leurs conceptions de la religion. Don Juan ajoute à la définition du libertinage un sens d'athéisme et d'impiété, il en est d'ailleurs la figure exemplaire. Il blasphème, en poussant le Pauvre de l'acte III, scène 2 à jurer pour obtenir un

une heure ou deux, l’action est simple : rencontre puis cohabitation de trois personnages, mais très vite on perçoit dans la structure dramaturgie une volonté de détourner les conventions pour mieux bâtir cet « ailleurs », pour mettre en scène la philosophie existentialiste de Sartre. L’unité d’action est cependant celle qui se trouve être la plus révélatrice d’une dramaturgie propre à l’auteur qui , au lieu de tout simplement balayer les conventions de la dramaturgie classique, semble les

réalité pris en enfer. Dans l’extrait, Estelle et Garcin sont en train de discuter de leur vie mortelle en essayant de se convaincre qu'ils sont pris en enfer par accident. Inès, ayant entendu leur conversation, commence à se moquer ironiquement d’eux, parce qu'elle sait qu'ils sont en train de mentir. Dans la pièce, le lecteur peut observer la souffrance psychologique que les trois personnages subissent à cause de leurs interactions. La phrase « l’enfer c’est les autres », démontre le

Khôlle – Huis Clos – Jean-Paul SARTRE Introduction C’est en mai 1944 qu’est présentée pour la première fois la pièce Huis clos de Jean-Paul SARTRE. D’abord philosophe, celui-ci re-présente sa philosophie à travers une large œuvre littéraire. Pour comprendre Huis-clos, il convient d’abord de s’appuyer sur la pensée de l’auteur, retranscrit dans L’être et le néant (essai d’ontologie phénoménologique) publié en 1943, puisque sa pensée prend une place prééminente dans ses textes littéraires. Dans

"L'enfer, c'est les autres" vient d'une pièce de théâtre de Jean-Paul Sartre: Huis Clos. L'auteur y décrit une image de l'enfer, qui ne contient qu'un salon et trois morts. A travers leur conversation, Sartre révèle un de ses sujets philosophiques------les rapports entre soi et autrui. A travers l'analyse des trois personnages dans Huis Clos et leurs relations tordues, ce mémoire se consacre à mieux comprendre comment le regard de chaque individu emprisonne la liberté des autres, ainsi que comment

ligne 75-76 : « Mais, pour l’amour de Dieu, est-ce que vous ne pouvez pas réfléchir ? ». Il manque singulièrement de politesse pour un employé d’hôtel, ce qui fait réagir Garcin ! Ce Garçon-là semble être l’auxiliaire d’un possible tribunal ou d’un enfer singulier dans un décor bien matérialiste avec un « Bronze de Barbedienne». Et Garcin  qui semble n’être qu’un simple client inquiet sur son confort et son hygiène dentaire. Cela ne paraît pas du tout le cas car il envisage déjà son « futur » dans

coincés les uns avec les autres, incapables de s'échapper ou de se soustraire à la compagnie des autres. Cela reflète le concept existentialiste de la "mauvaise foi", où les individus se cachent derrière des mensonges et des faux-semblants pour échapper à la responsabilité de leurs actes. 4. La Vérité et la Révélation : Dans cette salle close, les personnages sont contraints de se confronter à la vérité sur eux-mêmes et sur les autres. Le huis clos devient

pas avec un seul verbe, il continue en utilisant des adjectif numéraux comme « millier d’homme », « 9000 à 10000 coquins » qui nous montre que la guerre provoque beaucoup de victime et nous fait imagine des scènes plus horribles les unes que les autres. Ces adjectifs sont accompagné d’adjectif indéfini tel que « environ », « à peu près » et « quelques » qui contraste fortement avec le nombre de mort, un de plus ou un de moins, il n’y a pas vraiment d’importance. Voltaire nous montre donc que peu