Philo Hume

Deux préjugés: tradition et autorité; Bayle-XVIIIs cf Lagarde et Michard Publié le 4 décembre 2009 par parventdebout "Un sentiment ne peut devenir probable…[que]… par la seule force d’un examen judicieux accompagné d’exactitude et d’une grande intelligence des choses…un témoin qui a vu est plus croyable que dix qui parlent par ouï-dire…   -  L’ on peut considérer que la vulgarisation ( du latin vulgus= foule) de l’esprit d’examen est une des caractéristiques importantes de notre XVIIIs, du

Kant est un philosophe allemand du XVIIIème siècle des Lumières. Ce texte a pour thème l’éducation ; plus précisément la façon donc Kant voit cette éducation, c’est-à-dire une éducation qui ne consiste pas à s’adapter au monde mais bel et bien une éducation permettant de rendre le monde meilleur. Kant fonde une philosophie basée sur une croyance envers le progrès ; il veut montrer que guidé par un idéal, l’homme peut avec le temps passer de l’inhumanité à l’humains accompli hors que fau-t-il entendre

 Devoir, société, morale. Nous avons tendance à penser que ces mots vont de paire. Le philosophe Alain, dans un extrait de Propos d'un Normand nous montrera qu'il n'est pas aussi simple d'associer ces termes. Alain était le pseudonyme de Émile-Auguste Chartier, né en 1868, il aura connu les deux guerres mondiale, car il décèdera en 1951. La problématique qu'il veut soulever dans cet extrait est : Qu'est-ce que le devoir ? Car dans son texte Alain ratisse assez large. Il se demande ce qu'est pour

(369b-372d) concevait la division des tâches comme résultant de l’impossibilité pour chacun de se suffire à lui-même, c’est-à-dire comme manifestant le caractère nécessairement social de la vie humaine, Adam Smith (1723-1790), continuateur de son ami David Hume dans ses Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, voyait dans un calcul d’intérêt l’origine de la division du travail au sens large [« Ce n’est pas de la bienveillance du boucher, du marchand de bière ou du boulanger, que

29/11/2013 Exercice 2 Les personnes sont généralement prudentes et conformistes. Ils valorisent la réussite mais n’apprécie pas le risque. La génération actuelle peut-être qualifié par la consommation de masse et la mondialisation Exercice 3 : La vitesse est un problème : elle peut tuer. Celle-ci sans fer de lance. Moins on roule vite sur les routes moins il va tuer. A travers les libertés prises par l’auteur pour illustrer sa critique, ce résultat conduit ce dernier vers une remise

nécessaire]. Gottfried Wilhelm von Leibniz (1646-1716) développa les mathématiques et le calcul infinitésimal. Sa philosophie des monades se démarquait également de celle de René Descartes. Les philosophes britanniques, comme Thomas Hobbes et David Hume, adoptèrent une démarche empirique, mettant l’accent sur les sens et l’expérience dans l’acquisition des connaissances, au détriment de la raison pure. Baruch Spinoza prit parti pour Descartes, surtout dans son Éthique2. Il se démarqua pourtant

Vie / Oeuvres Philosophe et historien écossais, David Hume commença comme commerçant, voyagea en France, fut sous-secrétaire d'Etat et finit comme bibliothécaire de la corporation des avocats d'Edimbourg. Hume s'inscrit dans le courant de l'empirisme anglais, qui considère que toute connaissance provient uniquement de l'expérience. Il remet en cause la métaphysique classique. Hume s'attaque à une philosophie qui se préoccupe d'objets métaphysiques comme l'âme ou Dieu. Selon lui, ce sont des

LA RELIGION Cela évoque l’idée « d’un lien » soit entre les hommes et le divin, ou soit entre les hommes eux-mêmes. Il n’y a pas de société humaine sans religion. a) la religion : * Un système de croyances. * Comme l’existence de divinités «  d’un autre monde »,  « sacré », « transcendance ». Ces croyances se trouvent dans la conscience de l’homme, à la fois qui lui fait sentir sa « finitude » et ce qui fait sa dignité comme être spirituel. b) un phénomène essentiellement

Dans le texte suivant, l’être humain va être le sujet mais surtout le bon ou mauvais de l’être humain. On va se fier sur la pensé de Thomas Hobbes et Jean-Jacques Rousseau pour justifier notre pensé. Thomas Hobbes pense que l’être humain est fondamentalement méchant et Jean-Jacques Rousseau pense que l’être humain est fondamentalement bon. Les deux hommes pensent très différemment et il se fie sur des points qu’on pourrait dire très différent. Cela me cause problème, car on ne peut pas vraiment comparer

Pièce de théâtre La conception de l’être humain d’Hobbes et de Descartes Descartes : Savais-tu, mon cher ami, que l’être humain ne vit seulement que par la pensée, qui est la faculté de concevoir le monde réel à l’aide d’idées? Hobbes : J’aime ton propos! Par contre, je crois plus que c’est l’animal en lui qui pense, ceci s’expliquant par la puissance du mouvement de la nature. (Qui est double) Descartes : Bien, sauf que c’est la communication entre l’âme et l’esprit qui fait en sorte que l’humain