Philippe d'Orléans

roi de France Philippe le Bel meurt en 1314, il laisse trois fils et une fille, Isabelle de France. L’avenir de la couronne semble bien assuré mais les fils meurent tour à tour, sans héritier. Deux successeurs indirects sont alors possibles : le fils qu’Isabelle de France a eu avec le roi d’Angleterre, qui est lui-même devenu roi sous le nom de Édouard III d’Angleterre ; et un cousin du dernier garçon de Philippe le Bel, Philippe de Valois. Les seigneurs français choisissent Philippe de Valois au

de son neveu (d’après Blanche-Joséphine Le Bascle d'Argenteuil dans ses Souvenirs, Charles X eut du mal à convaincre son fils de signer). Cette abdication, contraire aux lois fondamentales du royaume, est de toute façon sans effets, car Louis Philippe d’Orléans se fait proclamer roi des Français par les chambres le 7 août, et la famille royale part pour l’exil le 16 août. Le prince Louis prend alors le titre de « comte de Marnes ». Au décès de son père à Göritz (Autriche) le 6 novembre 1836, Louis-Antoine

 Lettres patentes de Philippe IV le Bel pour l'Université d'Orléans, juillet 1312 Philippe  Le Bel précise que l'enseignement du droit romain dans les universités est utile, mais qu'il est interdit à Paris pour éviter que l'enseignement de la théologie du droit soit supplanté par la venue en masse d'étudiants voulant enseigner le droit romain. Mais nul doute n'est posé sur le fait que l'enseignement du droit romain perfectionne le raisonnement juridique et qu'il est utile à la compréhension

caricaturés. Genre de l’article : étude historique de façon chronologique. Thème : De façon chronologique, Pierre-Paul SAGAVE balaye en France de 1830 à 1870, le rapport entre la presse (avec principalement ici les caricatures des dirigeants : Louis Philippe et Louis Napoléon Bonaparte) et les divers pouvoirs accablant par la censure celle-ci. Thèse : Pierre-Paul SAGAVE tient à démontrer le rapport ambigu entre satire et pouvoir. D’un coté la façon dont la presse attaque le pouvoir, de l’autre les

l’aide du peuple parisien : les « Trois Glorieuses » (27, 28 et 29 juillet 1830) renversent Charles X. Aidé de Talleyrand, Lafayette manœuvrent pour faire accepter Louis-Philippe d'Orléans qui est le fils de Philippe Égalit qui a servi dans les armées et devient le nouveau roi. III. La Monarchie de Juillet (1830-1848) • Louis-Philippe Ier reprend la Charte de Louis XVIII et la rend plus libérales. Le pouvoir de la « monarchie bourgeoise ». Avec la paix en Europe, le gouvernement poursuit ses objectifs

l’Ordonnance de Philippe le Bel. Philippe le Bel précise que l’enseignement du droit romain dans les universités est utile, mais qu’il est interdit à Paris pour éviter que l’enseignement de la théologie du droit soit supplanté par la venue en masse d’étudiants d’Europe voulant enseigner le droit romain. Mais nul doute n’est posé sur le fait que l’enseignement du droit romain perfectionne le raisonnement juridique et qu’il est utile à la compréhension des coutumes. Philippe IV fils et successeur

des faveurs du régime: il est reçu à l'Académie française en 1841, nommé pair de France en 1845.         La révolution de 1848 voit Hugo toujours incertain: le pair de France est républicain en principe, mais soutient la régence de la duchesse d'Orléans pour se rallier enfin au prince Louis-Napoléon qui porte un si grand nom... Peu à peu, son opposition devient irréductible et il se range résolument aux côtés des ouvriers qui subissent la répression sanglante de l'armée. Au lendemain du coup d'État

l'insurrection. Une opposition républicaine se développe : en juillet 1830, pendant 3 jours, des barricades couvrent Paris. Charles X est obligé de s'exiler, et les partisans du Duc d'Orléans l'imposent comme roi.   La monarchie de Juillet I - La monarchie censitaire Le duc d'Orléans, surnommé maintenant Louis-Philippe Ier, conserve la Charte instaurée sous Louis XVIII, en la révisant. La bourgeoisie peut accéder au droit de vote. Le roi perd le droit de faire des ordonnances (des textes de loi

eut lieu en 1830 , elle avait pour but d’abdiquer Charles X et sa politique absolutiste. Cette révolte étant soutenue par les libéraux , combattant pour les libertés, et les républicains espérant une république. La monarchie de juillet avec Louis Philipe comme roi des français sera fortement contesté et finira par être abandonné au profit d’une deuxième république en 1848. La notion de « parti » politique n’apparaitra pas avant 1901, cependant cette notion existe. La politique Française aux XIXème

Duc d’Orléans proposé au peuple comme l’homme qui leur faut. Le Duc d’Orléans pendant la révolution française était du côté des révolutionnaires parce qu’il est rival des bourbons mais il veut également moderniser le pays en rompant avec l’ancien régime, il participera au club des Jacobins ainsi qu’aux grandes batailles républicaines où il combattra pendant la bataille de Valmy. Ce duc est l’homme le plus riche de France. Le peuple parisien avant tout hésite à s’accorder sur le duc d’Orléans, mais