Peut On Se Liberer De Toute Croyance

livre en livre, au point que sous leur stéréotype, elles semblent vide de sens… et donc de puissance. Je sus alors qu’il me restait alors à écrire ce livre qui me manquait et à le partager autour de moi. Surtout que je reste convaincu que « la parole » peut, par des mots imagés et des métaphores fortes, impressionner notre subconscient et nous offrir ainsi les clés d’une manifestation saine et confiante. C’est ce travail et cette philosophie qui ont inspiré les pages qui suivent. J’y ai réuni les affirmations

la première guerre mondiale et il succède au dadaïsme. Ce mouvement repose sur le refus de toutes les constructions logiques de l'esprit ce qu’on peut voir dans les peintures de René Magritte mais également sur les valeurs de l'irrationnel, de l'absurde, du rêve, du désir et de la révolte. Le mouvement surréaliste repose donc sur la volonté de libérer l'homme des morales qui le contraignent et qui l'empêchent d'agir, c'est-à-dire nuisent à la force créatrice. René Magritte a fait beaucoup des peintures

spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales

pauvres » acquiert une fonction médicale. Pour la première fois, un établissement de soins pour aliénés est enfin reconnu en France. Représentation de la folie. Pour reconnaître les aliénés des hommes dotés de raison, Pinel utilise la méthode de libérer les enchaînés afin de voir leur attitude face à la population de Bicêtre. Deux conséquences ont été constatées, tout d’abord en étant libre, une objectivité apparaît, rendant la différenciation possible. Ou au contraire, prisonniers et aliénés se

mauvaise et pour juger les motifs et les conséquences d'un acte. Pour Rimbaud, « La morale est une faiblesse de la cervelle. » Néanmoins, elle conditionne notre humanité puisque nous sommes perpétuellement à la recherche de ce qui est bien pour nous. Elle peut se diviser en trois catégories: la morale égoïste lorsque les actions ou les idées d'une personne sont uniquement orientées par ses propres intérêts, sans prendre en compte les nécessités d'autrui. La morale altruiste est lorsque les actions ou idées

 tout comme l’Homme se fait des illusions, c’est­à­dire qu’il a ses propres idées et  croyances, alors qu’elles ne correspondent pas à la vérité.    Selon  Platon,  pour  « guérir »  cette  « maladie »,  il  faut  libérer  un  des  prisonniers  et  lui  faire  découvrir  le monde  extérieur à la caverne, lui montrer la réalité des choses. Cela va  être  un  processus  difficile  pour  le  prisonnier,  car  d’une  part  il  a  été  toute  sa  vie  dans  cette  caverne,  incapable  de  bouger,  et  d’autre  part car 

sur certains points de vue. Kant vécu durant le siècle des « Lumières » et s’interrogea sur la condition humaine, tout en y répondant dans sa célèbre Réponse à la question : Qu’est-ce que les lumières ? « Les Lumières » incitent l’homme à se libérer des doctrines idéologiques, et le poussent hors de la minorité, qui est l’incapacité ou le manque de courage de se servir de son propre entendement sans être influencé par un autre. Cette conception fut une évolution sur la faculté de juger, une

principe au lendemain de la mort de Louis XIV, en 1715, et prit fin à l’avènement de la Révolution française en 1789 Le Moyen- Age, (Environ 500-1500): * Les droits de l'homme y étaient bafoués. * Aucun respect du Tiers état. * Toute puissance du clergé et de la noblesse. * Exploitation du tiers-état qui avait très peu voire aucun droits. * Les seigneurs/rois avaient les pleins pouvoirs sur le tiers-état. * La religion était omniprésente et participaient à la gouvernance

suivant la seule raison, n’est juste de soi, tout branle avec le temps. La coutume fait toute l’équité, par cette seule raison qu’elle est reçue. C’est le fondement mystique de son autorité, qui la ramènera à son principe l’anéantit. Rien n’est si fautif que ces lois qui redressent les fautes. Qui leur obéit parce qu’elles sont justes, obéit à la justice qu’il imagine, mais non pas à l’essence de la loi, elle est toute ramassée en soi. Elle est loi et rien davantage. [...]. Il faut, diton, recourir aux

de fin d’année Atiq Rahimi : Syngué sabour «  Livre de patience » [pic] 1. Introduction « Quelque part en Afghanistan ou ailleurs. » Un huit clos. Une pièce, un matelas, une femme et un mourant. Le mourant ne peut pas bouger. Alité, il est nourri sous perfusion., Face à ce corps sans réaction, elle se met à lui parler, à raconter , ce qu'elle n'a jamais dit, ce qu'elle n'imaginait même pas pouvoir dire ou avoir à dire. Lentement, son murmure s’intensifie et