Peut On Affirmer Que La Force De L état Fait La Liberté Des Citoyens

notions parfois complexes que beaucoup de gens on du mal à comprendre vont être expliquées par ce père attentif au questionnement de sa fille. « liberté, égalité, fraternité » Cette devise inscrite partout est elle réellement respectée dans la vie de tous les jours? 1905, loi de séparation entre l’église et l’état, la république est elle laïque ou fait elle semblant de l’être? Le principe fondamental de notre République « égalité » est il appliqué à l’ensemble de la population? Notre République

idées de JJ ROUSSEAU qui dit dans le contrat sociale « la loi est l’expression de la volonté général » qui a été tout de suite repris dans la DDCH de 1789. Il fallait faire entrer dans la pratique juridique constitutionnel cette idée : c’est ce qu’à fait la révolution notamment par MIRABEAU et SIEYES qui ont créé la souveraineté nationale : la souveraineté n’appartient plus au roi mais appartient à la nation et qui implique que la loi est faite par le peuple représenté par ses mandataires ou députés

distincte des élément qui le compose. II) Qu'est ce qu'un état ? Les théories de l'Etat : 1. La théorie de Machiavel Pour Machiavel, l'Etat c'est la personne du prince. C'est un outil permettant de concerver le pouvoir, et ce quelque soit la methode employée. Toujours selon Machialvel, il y a 2 methodes pour gouverner :les lois et la force. Dans son ouvrage, il explique que les lois seules ne suffisent pas et qu'employer la force est necessaire. 2. La théorie de Bodin Il a un point de

» désigne les rapports qui existent entre les abstractions que sont les Etats. Nous allons donc étudier les relations de force entre les Etats mais en aucun cas étudier les individus qui constituent ces Etats ; le rôle du droit international privé est d’analyser les relations interétatique alors qu’il appartient au droit constitutionnel d’analyser les rapports entre le citoyen et l’Etat (ou les Etats). TITRE Préliminaire : Introduction générale Chapitre 1 : Brève présentation de l’histoire

L'expression « servitude » définit l'état d'une personne ou d'un peuple privé de leur dépendance, c'est une entrave à la liberté d'action, une contrainte, un assujettissement. Par « volontaire », il faut entendre, un état de dépendance morale et intellectuelle, la personne ou le groupe agit sans contrainte, il effectue une tache intentionnellement, il a donc une certaine liberté. Le problème philosophique soulevé ici apparaît alors: Les expressions « servitude » et « volontaire » sont elles en corrélation

pour autant perdre sa liberté. Si la liberté première de l’état de nature est limitée pour que l’homme devienne citoyen, son nouveau statut doit lui permettre de la retrouver intégralement en étant désormais sous le joug de la loi. Rousseau a été marqué par les bouleversements politiques de son temps et a tenté d’apporter une réponse à la difficile conciliation de la gouvernance, de l’obéissance et de la liberté. Dans cet extrait, Rousseau nous présente une thèse qui peut sembler paradoxale : l’ordre

apparu comme une évidence pour refléter à la fois la puissance militaire américaine, sa capacité de dissuasion grâce au nucléaire mais également tout le « soft power » que possède le pays : allant d’Hollywood jusqu’au valeur dites américaine comme la liberté d’expression et de propriété. Le terme d’hyperpuissance renvoie aussi à l’idée que les USA se place au-dessus des autres « simples » puissances, c’est elle qui influence et qui guide les autres états en quelque sortes : aucun autre pays ne semble

Florence LONG Être juste, est-ce être dans son droit? Les actes de la Résistance, lors de la seconde guerre mondiale, étaient prohibés par un État qui défendait l’idéologie nazie. Celle-ci, en affirmant la supériorité de la race aryenne, pointait l’inutilité des autres races sous prétexte de leur infériorité. C’est ainsi que les races dites “inférieures” se voyaient privées des droits les plus élémentaires quand on ne s’efforçait pas de les éradiquer. Du point de vue du droit, le système

théories contractualiste (dans la pensée de certain philosophe la société tire son origine d'une convention tacite conclu par les individu qui sont alors guide soit par leur besoin soit par la crainte, les Hommes rompent avec l’état de nature, et affirme leur volonté de vivre ensemble sous une autorité commune pour obtenir la paix, la sécurité ou tout simplement pour consolider leur bien, leur droit) la Constitution apparaît comme la confirmation de ce pacte fondateur de l’état Paragraphe 1: Le

moitié du XXème siècle, affirme: « L’oisiveté est la mère de tous les vices, mais aussi de toutes les vertus. ». Il établit une aporie soulevée dès l’origine de la philosophie. Ce paradoxe a traversé l’histoire et les différentes organisations sociales. Dans les mentalités communes, l’oisiveté, souvent assimilée au désœuvrement fait toujours l’objet de jugements moraux défavorables, tandis que le travail est valorisé. Si l’oisiveté est la source de tous les vices, comment peut-elle être dans le même