Peut On Admettre Toutes Les Opinions

COMMENTAIRES DE CITATION Exemple Citation : « Suspendre son jugement personnel en dissipant les erreurs d’autrui et rechercher dans toute discussion ce qui peut être le plus vraisemblable ». (Méthode de la philosophie selon Socrate) – CICÉRON, Les Tuculanes 1. Mise en contexte et intention de l’auteur (environ 150 mots) [RÉFÉRENCE] Cette citation est tirée de la lecture du texte de Cicéron : Apologie de la philosophie, lu pour le cours 2. Ce cours avait pour objectif de nous introduire

démocratie sont l’égalité, la liberté, le pluralisme, la discussion… Vu comme ça, on peut se demander si un régime tourné ainsi vers les libertés de l’homme peut rencontrer des ennemis. En effet, l’inimitié semble être un impensé de la démocratie. Clausewitz définit l’ennemi comme quelqu’un qu’il faut exterminer, celui qu’i faut soumettre à sa volonté par la violence et la force. Est considéré comme ennemi tout ce qui est antagoniste et cherche à nuire. Comment comprendre que l’on puisse vouloir

La volonté d’avoir raison est-elle un obstacle au dialogue ? Pour le scientifique comme pour le philosophe, pour n’importe quel homme recherchant la vérité, la «  volonté d’avoir raison » repose avant tout sur la volonté de convaincre. Cette volonté manifeste l’intention de faire triompher le point de vue qui semble légitime à un homme soit parce qu’il estime que les motifs rationnels qu’il a de les soutenir rendent cette thèse universalisable, acceptable pour tous, soit parce que la conviction

domaines où la science n’aurait rien à voir et où elles seraient équivalentes à celle de la science. Or la science, la religion et la philosophie sont toutes trois en quête de vérité. Mais ont-elles de la même façon un droit à la vérité ? La vérité est-elle la même dans les différentes domaines? Si la vérité est en quelque sorte partageable, l’homme peut donc choisir en quelque sorte sa vérité, ses convictions, sa foi ? C’est ridicule, puisqu’il n’existe qu’une unique vérité. Prenons comme exemple l’allégorie

Dortmund - Schüler-Portfolio : Methodik Hier : Thème - thèse - arguments - exemples le thème le sujet principal l’idée directrice Le thème est le domaine particulier abordé dans l’argumentation. C’est ce sur quoi l’auteur exprime une opinion. On dégage le thème général en répondant à la question : De quoi le texte parle-t-il ? Le thème correspond à un mot ou un groupe de mots : exemple : l’immigration . Le thème concerne en général des grands domaines comme la société, la nature, le progrès

de séparer le savoir et les croyances, ces dernières étant issues des habitudes de pensée, des traditions, etc. Le savoir se constitue contre la croyance. La croyance est une simple opinion et la connaissance est un savoir vrai. !" Ignorance et doute • • • L'ignorance n'est jamais un état statique et définitif ; tout esprit ignorant est toujours capable de savoir et de science ; cf. Descartes : « le bon sens est la chose au monde la mieux partagée ». L'accès au savoir passe par la reconnaissance

Ana Pinto T°ES1 Texte 1 «  Penser, c’est dire non… » La capacité de penser est ce qui différencie, entre autres caractéristiques, l'homme des animaux. Or l'acte de penser peut se présenter sous trois formes de démarche intellectuelle distinctes. La première est celle de la simple prise de conscience.  Ainsi, lorsque l'on pense à quelque chose, on se le représente mentalement : si je pense à une maison, je me la représente en image ou en idée. Penser, c'est aussi, à un degré supérieur, conceptualiser :

l’enfant mais de ne pas injecter la dose qui causerait sa mort. Cet acte le conduit à une réflexion interne sur l’euthanasie, sur la morale individuelle et la morale collective.L’euthanasie peut-elle être vue comme une réponse à la souffrance des personnes agonisantes, son point de vue est présenté de manière claire tout au long de l’extrait ou il oppose sa logique habituelle, sa morale individuelle avec la morale collective et l’éthique médicale.I / Morale Sociale : les pensées d’Antoine prohibées pour

en effet ? On peut le définir comme un jugement hâtif et approximatif  fondé sur une expérience vague ou reçue pas ouï-dire. Un préjugé, c’est donc une idée préconçue et reçue sans examen ni critique mais néanmoins tenue pour vraie. Toutefois, si l’on ne considère que le contenu du jugement, celui-ci peut s’avérer faux mais être également vrai ou moralement bon, et tenu dans ce cas pour très utile. S’il y a des préjugés vrais et/ou utiles, ne peut-on pas se contenter de les admettre sans critique

un poids que chacun subit fatalement tout au long de sa vie. De ceci découle l’idée que toute action a pour unique but la fuite de cette solitude. Ainsi l’écrivain énonce-t-il : « Notre grand tourment dans l’existence vient de ce que nous sommes éternellement seuls, et tous nos efforts, tous nos actes ne tendent qu’à fuir cette solitude. » Mais dans quelle mesure la solitude est-elle fatale ? Est-elle réellement toujours considérée comme un fardeau ? Ne peut-elle pas aussi être recherchée et associée