Peut N Aimer Sans Souffrir

Que gagne t-on à aimer autrui ? On définit généralement autrui comme un alter-ego, c'est-à-dire, un autre moi-même. Cet autrui va nous poser certains soucis, à cause du complexe du « Je » sujet et du « Je » objet. En effet, autrui et moi-même voulons toujours être sujet et porter un regard sur l’autre pour ne jamais se faire engluer. Sartre dira même « l’enfer c’est les autres » comme si nous étions incompatible, sans possibilité de se comprendre. Pourtant, si l’autre est relativement identique

sans désir est une vie véritablement heureuse. Il peut arriver qu'un amoureux, emporté par sa souffrance, jure de ne plus aimer ; mais pourquoi ne tient-il jamais parole ? Sans doute sa douleur présente lui fait oublier à quel point il avait été heureux d'aimer, avant d'être repoussé, à quel point aussi il se sentait vivant et libre lorsqu'il était animé par son désir. Placer le désir sous le signe du manque et de la douleur, c'est oublier qu'il peut nous rendre heureux. Le désir lorsqu’il est satisfait

me tue Oh, oh, oh M'aime t’elle ? Me vois t’elle ? Ne vois t’elle pas que je l'aime ? Oh, oh, oh je t'aime: Chaque matin je m'aperçois, que ce n'était qu'un rêve Mais je ne cesse de penser a toi, a notre vie qui sera si belle Je me dis que peut être un jour tu viendras Que tu entrera dans ma vie, comme je le rêve a chaque fois Je te vois entrain de m'aimer De me prendre dans tes bras pour m'embrasser Chaque jour sans toi, est compté En espérant qu'un jour, ce temps sera rattrapé Je

racine de « critique » = juger *krinein) qui fait preuve v.5 de « méthode », « tranche » et opère des différenciations cf. « différence » v.27 et se soucie de « distinction » (v.26). * se caractérise par l’omniprésence du « je » : « « je ne puis souffrir », « je refuse », « je veux ». Alceste ne parle que de lui. b. L’objet de la pièce, l’intrigue. Aucune intrigue n’est annoncée, il ne se passe rien (pas d’action au sens courant du terme). Les personnages ne font que parler, et surtout le personnage

ici de l’amour passionnel qui fait souffrir et qui déchire les coeurs. Je parle ici des ruines consacrées de l’amour et de l’ambition. Le philosophe et écrivain Pascal Blaise affirme « Qu’une vie est heureuse quand elle commence par l’amour et qu’elle finit par l’ambition! [...] C’est pourquoi l’amour et l’ambition commençant et finissant la vie, on est dans l’état le plus heureux dont la nature humaine est capable[3]. » Je pense que l’humain est fait pour aimer. De tout son être autant de l’esprit

n'a rien, n'est rien.Il peut éviter la souffrance mais il n'apprend rien ne ressent rien ne peut ni changer ni se développer, ne peut ni aimer ni vivre.Enchaîné par sa certitude,Il devient esclave, il trahit sa liberté.Seuls ceux qui risquent d'aimer sont libres." Parce que finalement, je n'existe que lorsque tu es là... J't'avais dit que j'essayerais de vivre sans toi. J'ai essayé, vraiment. Le truc le plus dingue dans tout ça, c'est que plus tu me fais souffrir, plus je m'entête à t'aimer

rapelle qu'elle est française et se distingue donc de Lady Dudley et affirme également qu'elle n'aurait pu épouser Henriette si elle eu été à la place de Félix. Nathalie semble blessée et prend également la défense des deux autres femmes qu'il a fait souffrir de la même manière:"vous aviez considérablement ennuyé Lady Dudley en lui opposant les perfections de Madame de Mortsauf et fait beaucoup de mal à la Comtesse en l'accablant des ressources de l'amour anglais". La colère de Nathalie , jusqu'ici contenue

est partout. Elle nous semble et, souvent, elle est naturelle. Celui qui n’a pas encore aimé aimera demain, disait le poète latin. Qui n’a pas encore éprouvé la jalousie, la ressentira quelque jour. La jalousie est liée à l’amour. On ne peut pas aimer sans aimer jalousement. Il faut même dire que la jalousie est la condition de l’honnêteté de l’amour, car un amour honnête ne supporte ni le partage, ni l’idée même du partage. Mais si l’amour est le terrain favori de la jalousie, toutes les passions

vivre fort. Vous vous enivrez de cette complémentarité qui devient dépendance. Car au fond, vous n'avez toujours voulu que ça: les effusions du coeur, les effusions de sang. Vous avez peur de vivre parce que vivre c'est prendre le risque de souffrir. ____________________________tu sais, il y a dans mon coeur ____________________________une histoire d'amour qui parle toi ____________________________qui fait résonner ton nom ____________________________partout à l'intérieur de moi Un

Le ton paternaliste « pauvre enfant », c’est l’enfant qui est en dessous par rapport au père, Camille est donc mise en situation d’infériorité. • Le ton didactique « tu me parles de », « tu dis que » quand il reprend les paroles de Camille. Ce ton peut s’inscrire dans le souci dramatique pour récapituler ce qui a été débattu mais aussi dans la volonté de Perdican de réduire et assécher le discours de Camille. • Les questions, le questionnement systématique et rhétorique est très appuyé (Camille