Peur De La Mort

deuxième partie un cavalier onirique. 1- Un poème lyrique avec un côté épique Un poème lyrique aborde généralement des émotions et des sentiments liés à l'existence. Verlaine revient souvent, dans ce poème, sur le thème de la mort, traduisant une grande peur de rejet vers la mort. Le cavalier est décrit avec une hyperbole « Tels un ouragan sur la grève »  ce qui montre sa grandeur et sa force extraordinaire. Son œil est comparer à l’aile d’une orfraie, un oiseau de proie ce qui nous montre encore le

avait peur. De quoi pouvait être capable cette femme au sourire sadique. Maintenant, ce sourire qui paraissait avant si accueillant et chaleureux maintenant paraissait froid et sadique. 'N'ai pas peur, ce sera rapide, douloureux, mais rapide. Tu ne peux pas vivre, si Tim est mort, toi aussi ! Mais au moins tu ne pourras pas souffrir après cela' 'Qui est Tim ? Ne me tuez pas, je vous en supplie ! Non, non, non !' répondit Billy au summum de la peur. 'Mon fils, qui est mort. Tué par

Accomplissement de la promesse faite à la mort : p.90 à 99 Situation : Le passage se situe au début du livre, on a appris que Jean-Valjean, un forçat est tombé à la mer et c’est noyé. La situation se déroule à Montfermeil au début et à Paris à la fin. Résumé : Pour commencer il y a une description de la ville de Monfermeil. On dit que c’est un endroit calme et paisible, que c’était bon marché mais que l’eau y était rare. Ensuite Victor Hugo parle aux lecteurs, on nous rappelant Cosette

premier objet qui nous prend, quon renonce au monde pour lui, et quon nait plus dyeux pour personne Style oratoire Rythme ternaire ( mieux imprgner lauditeur de ce quon veut lui monter. Comme un avocat plaidant. Mtaphores la mort sensevelir tre mort Antithse mort ( jeunesse Rfrence au droit Retournement de largument du droit il se bat pour lintrt des femmes, pour leur galit. Inexplicable, victime Les inclinations naissantes ( dbut sduction, attirance), aprs tout, ont des charmes

construction Mort intérieure, sentiment de vide. Vers 1. « Mourir à nous même » Expression - « Nous » (1ère personne du pluriel) - Renoncement, mort intérieure. - Seul image du coup dans le poème. Vers 2. - « ! » (Sous-entendu : Ne me demande pas si je t’aimais) - « … » + « , » 2Fortes pauses. - Seule action de colère dans le poème. Vers 3-4. « Au fond… jamais » (Métaphore) - Promesse de bonheur VS impossibilité définitive d’y accéder. Vers1. « Crains, peur » Lexique de la peur. - Peur

Séance 2 La nuit de Maupassant Voca sinistre : macabre, Qui apporte, qui donne la mort; que la mort accompagne. Fardeau : charge pesante à porter Impétueux : vif, avec grande force Invincible : qui ne peut être combattu, réprimé Braconnier : Celui qui se livre au braconnage, qui s'empare furtivement du gibier ou du poisson d'autrui Onduler : faire des vagues becs de gaz : lampadaires de l’époque, marchaient au gaz factice : faux, artificiel phosphorescents : qui brillent dans le noir

(au lieu de « je mourrai », « je serai mort »…) j’ai près de trente-quatre ans maintenant (là, ça va, mais ce qui suit nous rend perplexes:) c’est à cet âge / que je mourrai (emploi indifférencié du présent et du futur pour parler de sa mort). => L’auteur veut-il nous donner la certitude que Louis est une sorte de mort-vivant, un fantôme, peut-être ? Nous nous souvenons que les

l’époque. De plus le poème « Strophes pour se souvenir » est parsemé de termes faisant référence à la mort. "agonisants, mort, tache de sang, derniers moments, mourir…". Ce champ lexical très présent rappelle aussi les massacres de la guerre. Ainsi Aragon nous brosse le tableau d’un temps bien triste, ou le malheur et la désolation régnaient en maître. Il souligne aussi la peur à laquelle était soumise la population et les procédés par lesquels l’ennemi l'imposait. L'Affiche Rouge

Lucrèce, De natura Lucrèce nous montre dans son traité De natura, que l'homme ne doit pas avoir peur de la mort ni de l'au-delà, c'est-à-dire de la vie après la mort. En effet, l'homme se contraint à penser sans cesse à cela, il vit en fonction de sa peur de la mort et de ce qu'il pourrait bien s'y passer. Il suit des règles méticuleuses afin de se rassurer de sa peut-être prochaine vie dans l'au-delà. L'homme s'impose une ligne de conduite toute tracée pour ne pas avoir une vie dans l'au-delà

Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Les os, un squelette : 2 mots sont mis en évidence et évoque de manière réaliste la mort, la mort imminente « je » qui court tout au long du texte, anaphore, vision subjective de la réalité qui s’empare du poète Examen de lui-même