Peur De La Mort

état ». Nous avons sélectionné ce poème pour la dernière phrase qui est « Qu'autant près comme loin je n'attends que la mort ». L'auteur est désespéré, c'est un des états que la souffrance peut donner. Puis Jean De La Fontaine. Auteur du XVIIème siècle, il est surtout connu pour ses très réputés fables. Nous en avons sélectionné une se rapportant à notre thème qui est « La Mort et Le Bûcheron » , tiré du premier livre de l'auteur publié en 1694. Il est composé de vingt vers comprenant une morale

Problématique : en quoi la description de la ville permet de décrire le personnage ? I)                   LA DESCRIPTION DE LA « VIEILLE VILLE »   1)      Une ville dégradée et déserte -     Champ lexicaux du vide (« personne »), de la mort (« haleine de mort », « froid de mort », « tombeau ») et de la clôture (« fermées », « les volets sont tirés »). -      L’accumulation des termes « des soupiraux, des caves, des fenêtres noires » sans conjonction de coordination pour les relier (et) renforce l’idée

perturbe un grand nombre de personnes, à tel point que certaines personnes et plus précisément dans notre sujet, certains poètes, en deviennent malade. L'âge qui augmente suit cet écoulement du temps, il précipite la fin de toutes choses, vers la mort. La mort, celle si redouté, celle qui pétrifie. Ce sont les poètes du XIXe siècle s'inscrivant dans le mouvement romantique qui on développés profondément ce thème, notamment Alphonse de Lamartine avec Méditations poétiques. L'expression « Tempus

tu vie une vie heureuse et remplie de bonheur, une bonne vie, et bien la mort sera douce et facile. Par conséquent, lorsqu’on apprend à bien vivre, c’est comme si on apprenait à bien mourir, à mourir heureux et paisiblement puisqu’on a accompli ce que Question 4 : * La peur de l’inconnue : personne ne sait ce qu’il y a après la mort et c’est exactement ce qui la rend si terrifiante aux yeux des mortels. * La peur de souffrir : puisque personne ne sait ce qui arrive lorsque l’on meurt,

(Nosferatu, maison hantée, tableau La tentation de Saint-Antoine, etc.) afin de constater les impressions éprouvées à leur vue et de découvrir les grands thèmes du fantastique : présence de la mort, importance de la nuit, des cimetières, personnages surnaturels (morts-vivants, vampire, fantômes…), prégnance de la peur, importance des couleurs rouge et noire (évocation du sang, de la pénombre…), importance aussi de la folie (surtout chez Maupassant notamment, rappelons-nous le Horla ; ici le personnage

Pridamant écoute l’histoire de son fils, Clindor, raconté par un magicien. Dans la scène 7 de l’acte IV, Clindor, emprisonné pour avoir tué par légitime défense Adraste, exprime dans un monologue tragique et pathétique, son désespoir d’être promis à une mort certaine et d’être privé de son amour pour Isabelle. En quoi cette scène met-elle en avant la vraie personnalité de Clindor ? Dans un premier temps, nous étudierons ce monologue aux sentiments paradoxaux, puis nous verrons comment le personnage se

Immortalité L’immortalité se définit comme un état qui permet d’échapper à la mort et d’exister pour une période de temps indéfinie, voire éternelle. Si l’immortalité s’affranchit du terme de la Vie, elle repose néanmoins sur un commencement, donc un Temps. Les hommes ont de tout temps essayé de comprendre ce qui se passe au-delà de cette échéance ultime2, inconnue donc anxiogène et que les profanes nomment la mort. C’est pourquoi ils ont cultivé depuis l’antiquité l’idée apaisante d’une survie

et elle ne veut pas l’aimer, cependant pour Bérénice il est vraiment difficile de combattre ce sentiment. Bérénice ne veut pas être dépendent de personne, et l’amour fait que les personnes deviennent dépendantes, Bérénice ressent peur d’être manipulée, ainsi elle a peur d’aimer sa mère, car si elle l’aime, elle va être manipulée; « Je suis contre l’amour. Je me révolte contre l’amour, comment ils se révoltent contre la solitude. Aimer veut dire : éprouver du goût et de l’attachement pour une personne

parler de la peur que les pères ont de perdre leur identité. Ils se sentent comme des machines et finissent par oublier qui ils sont face à toute cette horreur qu’est la guerre. Ceci se déroule dans un contexte particulièrement affreux. La guerre bat son plein, les soldats sont séparés de leur famille et les morts sont nombreux. Leur vision du monde est totalement détruite et est remplacé par l’horreur qu’ils vivent désormais au quotidien. Le soldat Léon Pénet confiera à sa femme : « Une peur vous obsède :

Apollinaire, contrairement au premier texte on connaît le destinataire dès le vers 2 : « Ô Lou ma bien-aimée ». A travers l’écriture de ces vers il veut lui faire part de sa peur qu’elle l’oublie trop vite si jamais il venait à mourir, mort qu’il craint tant, au combat ; il est quasi certain que celle-ci est proche. On remarque aussi sa peur de mourir et de rester quelqu’un d’inconnu à travers la métaphore au vers 16 : « Le fatal giclement de mon sang sur le monde » peut être pris au sens propre ce qui voudrait